Poème sur le désastre de Lisbonne | Voltaire

Published: Aug 29, 2023 Duration: 00:10:21 Category: People & Blogs

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bon malheureusement tel aux terres déplorable ou de tous les mortels assemblage effroyables d'inutile de douleur éternelle entretien philosophe trompé et qui criait tout est bien à courir contempler les servi nos affreuses ces débris c'est l'embaucheuses ces femmes ses enfants l'un sur l'autre entassés sous ses marbres rompus ses membres dispersés sans mille infortunité que la terre dévore qui s'englant déchirés et palpitants encore enterrés sous leur toit termine son secours dans l'horreur des tourments leur lamentable le jour au cri de m'y formés de leurs voix expirantes ou spectacle effrayant de leur cendres fumante tirez-vous c'est l'effet des éternels loi qui est libre et bon nécessite le choix direz-vous en voyant cet amas de victimes Dieu sait venger leur mort et le prix de leur crime quel crime quelle faute on commit ses enfants sur le sein maternel écrasé et sanglants Lisbonne qui n'est plus utile plus de vis que Londres que Paris plongée dans les délices Lisbonne est abîmé et l'endroit à Paris tranquille le spectateur intrépie deux esprits de vos frères mouvants contemplant les naufrages vous recherchez en paix les causes des orages mais du sort ennemi quand vous sentez les coups devenus plus humains vous pleurer comme nous croyez-moi quand la terre entoure ses abîmes ma plainte est innocente et m'écrit légitime partout environné des cruauté du sort des fureur des méchants des pièges de la mort de tous les éléments éprouvants les atteintes compagnons de nos mots permettez-nous les plaintes c'est l'orgueil dites-vous l'orgueil c'est vicieux qui prétend qu’être en mal nous pouvions être mieux allez interroger les rivages du Taj fouillez dans les débris de ce sanglant ravage demandez aux mourants dans ce séjour d'effroi si c'est l'orgueil qui crie au ciel secourait moi au ciel ayez pitié de l'humaine misère tout est bien dites-vous et tout est nécessaire quoi l'univers entier sans ce gouffre infernal sans engloutis à Lisbonne il était plus mal elle te vous assurer que la cause éternelle qui fait tout qui sait tout qui tout pour elle ne pouvait nous jeter dans cette liste climat sans former des volcans allumés sous nos pas pour neuriez-vous ainsi la suprême puissance lui défendriez vous d'exercer sa clémence l'éternel artisan n'a-t-il pas dans ses mains des moyens infinis tout prêts pour ces dessins je désire humblement sans enfoncer mon maître que ce gouffre enflammé de souffre et de salpêtres ont allumé ses feux dans le fond des déserts je respecte mon dieu mais jamais l'univers quand l'homme aux eugénières d'influence est terrible il n'est point orgueilleux et là si il est sensible des tristes habitants de ces bords désolé dont l'horreur des tourments serait-il consolés si quelqu'un leur disait tomber mourrait tranquille pour le bonheur du monde en détruit vos asiles d'autres mains vont bâtir vos palais vont braser d'autres peuple naîtront dans vos murs écrasés le Nord va s'enrichir de vos pertes fatales tous vos mots sont un bien dans les lois générales Dieu vous voit du même œil que les villes vers misso dont vous serez la proie au fond de vos tombeaux à des infortunités calories de langage cruelle à mes douleurs n’ajouter point outrage non ne présentez plus à mon coeur agité ces immuables lois de la nécessité cette chaîne décore des esprits et des mondes aux rêves de savants au chimères profondes dieu tient au mal à la chaîne et les points enchaîner par son choix bienfaisant tout est déterminé il est libre et les justes il n'est point implacable pourquoi donc souffrons-nous sous un mètre équitable voilà le 9 Attal qu'il fallait délier guérirez-vous non nous enligner tous les peuples tremblants sous une main divine du mal que vous niez ont cherché l'origine si l'éternel loi qui me les éléments fait tomber les rochers sous les efforts des vents si les chaînes touffus par la foudre s'embrasse il ne ressentent point les coups qui les écrase mais je vis mais je sens mais mon cœur opprimé demande des secours au dieu qu'il a formé enfant du Tout-Puissant mais né dans la misère nous étendons les mains vers notre comme un père le vase on le sait bien ne dit point au potier pourquoi suis-je civile si faible et si la parole il n'a point la pensée Saturne on se formant qui tombe fracasser de la main du petit Hainaut reçu point un cœur qui désira les biens senti son malheur ce malheur dites-vous et le bien d'un autre être de mon corps tout son gland mille insectes vont naître quand la mort mais le combleau que j'ai souffert le beau soulagement d'être mangé des vers triste calculateur des misères humaines ne me consolez point vous égrisez mes peines et je ne vois en vous que l'effort impuissant d'un filière infortuné qui fait d'être content je ne suis du Grand Tout qui ne faible partie oui mais les animaux condamnés à la vie tous les êtres sont en est sous la même loi vivent dans la douleur et meurent comme moi le vautour acharné sur sa timide proie de ses membres sanglants se répètent avec joie tout semble bien pour lui mais bientôt à son tour un agglobet tranchant dévora le vautour l'homme d'un plan mortel atteint cet aigle altière et le Mouchon de Mars se coucher sur la poussière sanglant percé de coup sur un tas de mourant sert d'aliments affreux aux oiseaux dévorants ainsi du monde entier tous les membres gémissent n'est tous pour les tourments l'un pour l'autre il périsse et vous composerez dans ce chaos fatal des malheurs de chaque être un bonheur général quel bonheur aux mortel et faible et misérables vous criez tout est bien d'une voix lamentable l'univers vous démon et votre propre cœur sans foi de votre esprit à réfuter l'erreur élément animaux humains tout est en guerre il le faut avouer le mal sur la terre son principe secret il nous est point connu l'auteur de tout bien le mal est-il venu est-ce le noir typhon le barbare Riemann dont la loi tyrannique a souffrir une condamne mon esprit n'a de mes points ses monstres odieux dont le monde entier autrefois des dieux mais comment concevoir un dieu la bonté même qui prodigua c'est bien à ses enfants qu'il aime et qui versa sur eux les mots à pleinement quel œil peut pénétrer dans ses profondes et saints de l'être tout parfait le mal ne pouvait naître il ne vient point d'autre lui puisque Dieu seul est maître il existe pourtant rotriste vérité oh mélangé ton nom de contrariété un dieu vient consoler notre race affligée il visita la terre et ne la point changer un sophiste arrogant nous dit qu'il ne l'a pue il le pouvait dit l'autre il ne l'a pas voulu il le voudra sans doute et tandis qu'en résonne des foudres souterrains engloutis the Lisbonne et de 30 cités dispersent les débris des bords sanglants du Taj à la mer de caddie où l'homme est né coupable et Dieu punit sa race ou se mettre absolu de l'être et de l'espace sans courroux son pitié tranquille indifférent de ses premiers décrets suit l'éternel torrent où la matière informe à son maître rebelle pour ton choix des défauts nécessaires comme elle ou bien Dieu nous éprouvait ce séjour mortel n'est qu'un passage étroit vers un monde éternel nous essuyons ici des douleurs passagères le trépas est un bien qui finit nous misère mais quand nous sortirons de ce passage affreux qui de nous prétendra mériter d'être heureux quelque part qui comprennent on doit frémir sans doute il n'est rien qu'on connaît c'est rien qu'on ne redoute la nature est muette ton interroge en vain on a besoin d'un Dieu qui parle au genre humain il soutien qu'à lui d'expliquer son ouvrage de consoler le faible et d'éclairer le sage l'homme au doute à l'erreur abandonné sans lui cherchant l'un des roseaux qui lui servent d'appui lightnite ne m'apprend point pas qu'elle ne visible dans le mieux ordonné des univers possibles un désordre éternel un chaos de malheur mais la nouvelle plaisir de réel douleur ni pourquoi l'innocent ainsi que le coupable subissent également ce mal inévitable je ne conçois pas plus comment tout serait bien je suis comme un docteur hélas je ne sais rien Platon dit qu'autrefois l'homme avait eu des ailes un corps impénétrable aux atteintes mortelles la douleur le trépan approchait point de lui de cet état brillant qui diffère aujourd'hui il rentre il souffre il meurent tout ce qui n'est expire de la destruction à la nature et l'Empire un faible composé de nerfs et doucement ne peut être insensible aux chocs des éléments se mélangent de sang des liqueur et de poudre puisqu'il fut assemblé fut fait pour se dissoudre et le sent de s'énerve délicat fût soumis aux douleurs ministres du trépas c'est là ce que m'apprend la voix de la nature j'abandonne je rejette Épicure belle on sait plus que tous je vais le consulter la balance à la même balance assez grand pour être son système il les a tous détruits et ce combat lui-même semblable à cet aveugle lombuteau Finistère qui tomba sous les murs abattus par ses mains que peut donc de l'esprit la plus vaste étendue rien le livre du sort se ferme notre vue l'homme étranger à soi de l'homme est ignoré que suis-je où suis jouvais-je et d'où suis-je tiré atome tourmenté sur cet amas debout que la mort engloutit dans le sort se joue mais attend me pensant atome dans les yeux guidés par la pensée en mesuré les cieux au sein de l'infini nous allons son notre être sans pouvoir à un moment nous voir et nous connaître ce monde ce théâtre d'orgueil et d'erreurs et plein d'infortunés qui parlent de bonheur tout se plaint tout gémit en cherchant le bien-être je voudrais mourir nul ne voudrait renaître quelquefois dans nos jours consacrés aux douleurs par la main du plaisir nous essuyons nous pleurent mais le plaisir s'envole et pas se communombre nos chagrins et nos regrets et nous perdent sont son ombre le passé n'est pour nous qu'un triste souvenir le présent est affreux s'il n'est point d'avenir si la nuit du tombeau détruit l'être qui pense un jour où tout sera bien voilà notre espérance tout est bien aujourd'hui voilà l'illusion les sages je me trompais et Dieu seul a raison humble dans mes soupirs soumis dans ma souffrance je ne m'élève point contre la Providence sur un temps moins légubre en me fit autrefois chanter des doux plaisir les séduisantes lois d'autre tant d'autres meurent s'instruient par la vieillesse des humains égarés partageant la faiblesse dans une épaisse nuit cherchant à m'éclairer je ne sais que souffrirais non pas à murmurer un calife autrefois à son heure et dernière où Dieu qu'il adorait dit pour toute prière je t'apporte tout seul roi cela être est limité tout ce que tu n'as pas dans ton immensité les défauts les regrets les mots et l'ignorance mais il pouvait encore ajouter l'espérance

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