Législatives : le patron du Medef « n’a pas compris l’objectif du RN » sur la réforme des retraites

vrai pour le rassemblement national il y a quand même des ambigués sur le chiffrage il y a du côté du nouveau front populaire ce Paris qui n'a jamais marché de la relance par la consommation vous êtes beaucoup trop jeune pour avoir connu ça moi je l'ai connu on a vu que en 81 c'était ça il y a eu le virage de la rigueur derrière et on n coupera pas et on sait que ça se traduira séance tenant par un creusement de notsre déficit commercial et par ailleurs de nos déficit budgétaire donc je ne retire rien à ce que j'ai pu dire sur le nouveau front populaire quand au rassemblement national pardon de me répéter je trouve qu'il y a beaucoup d'ambiguité il y a du flottement on n pas absolument pas compris malgré les relances qui ont été faites on n absolument pas compris quel serait le calendrier et la réalité en définitive de l'annulation de la réforme des retraites qui nous paraît absolument fondatrice pour rééquilibrer les comptes publics mais ça a été dit par ailleurs également pour doper la production on ne peut pas dire d'un côté ce qu'a dit Monsieur Bardella il faut que le pays produise plus et s'amputer d'une partie notre force de travail étant convaincu et les chiffres le démontrent que quand on reporte l'âge légal de départ en retraite on remet au travail un certain nombre de personne donc voilà j'ai trouvé ça très très intéressant j'ai trouvé que il y avait de la considération réciproquement mais je je reste sur l'analyse que j'ai exprimé et qui préférez-vous entre si vousouz choisir écqu mais je crois qu'on s'est exprimé j'ai pas dû être suffisamment clair l'enjeu n'est pas de distribuer les bons et les mauvais points c'est simplement d'amener les différentes formations politiques à se positionner par rapport aux attentes des entreprises on a un petit peu cheminé sur cette voie la présence d'éic soti est-ce qu'elle a pu rassurer les patrons aujourd'hui je vais vous faire la même réponse moi je je ne distribue pas les les bons et les mauvais points je je pense mais c'est vrai du nouveau front populaire que il y a malgré les avancées de ce matin il y a encore un gros effort de clarification à faire j'ai bien entendu comme vous Eric cotti dire qu'il était libéral moi je n'ai pas compris jusque là et pas plus aujourd'hui que le corps de doctrine qui est respectable dans son principe du rassemblement national était libéral c'est c'est une doctrine de tout temps dirigiste voilà donc il y a encore quelques jours de campagne on saaon plus les choses vont-elles se clarifier donc je reste de ce point de vue un petit peu sur ma fa sur le front populaire il y a justement un point qui qui crise que les patrons c'est l'augmentation du SMIC à 1600 € net cocrel er cocrel a a promis des dé les entreprises est-ce qu'il a réussi à vous convaincre ou cette idée d'augmenter le le SMIC à 1600 vous trouvez ça totalement abérrant comme c'est la vie que partage des patrons ce matin ben je je pense que c'est abérrant parce qu'il y a bon nombre d'entreprises qui sont économiquement dans l'incapacité de le faire ça supposerait qu'elle puisse répercuter ça au clients et il y a un grand absent dans toutes ces savant de considération économique c'est qu'à la fin des fins il y a un marché et donc si vous avez des entreprises françaises dont les coûts de production augmentent en l'occurrence à travers l'augmentation du SMIC elles sont confrontées à des concurrents internationaux on sait que la compétitivité salariale française n'est pas bonne à ce jour elle se dégraderait donc et puis il y a beaucoup de clients dont je tiens à le préciser des clients publics qui refuseraient des augmentations de salaires pour permettre aux entreprises de répercuter dans leur prix de vente ces augmentations importantes et quand vous êtes dans des métiers à forte intensité de main d'œuvre ça peut-être des toutes petites entreprises dans la restauration dans la propreté mais c'est vrai également dans dans de grandes entreprises les marges sont extrêmement courtes donc si on veut précipiter la faillite d'entreprise allons-y gamment il y a d'autres voies nous on a assume de longues dates une conviction très profonde c'est que il faut d'un côté baisser raisonnablement le coût de la protection globale protection sociale pardon dans sa globalité et par ailleurs transférer vers la fiscalité les charges sociales une partie des charges social que supportent massivement les entreprises je rappelle que les entreprises françaises supportent par rapport à l'Allemagne 60 milliards d'euros de charg social de plus sans même parler des impôts de production donc c'est là la voie de passage et c'est certainement pas en augmentant les cûs de produ des entreprises Monsieur Martin allons au bout des choses vous dites que il y a un danger avec les extrêmes si demain Jordan Bella est à matigon concrètement si on va au bout de ce mot ça veut dire quoi ça SERAD comment pour l'économie française mais écoutez je ne sais pas ce qu'il ferait je reprends ce que je viens de dire sur la réforme des retraite est-ce que vous-même vous avez compris quel était l'objectif quel était le calendrier 45 minutes à vous l'exliquer et ben je l'ai pas compris on a vu beaucoup de patrons être rassuré par Jordan B ils m'ont dit non mais il a l'air maléable il l'air pragmatique qu'on pourra finalement pe-être c'est c'est exactement ce que je viens de dire qui est-il quel est son programme et moi si vous voulez je ça n'est pas mon auteur de référence mais je vais me permettre de citer Martine auri quand c'est flou c'est qu'il y a un loup on populaire et des applaudissements à la phase ah non écoutez moi j'ai trouvé que les expressions et c'était voulu comme ça à nouveau c'est pas les jeux du cirque et on n'est pas là on n'est pas là pour distribuer les les bons et les mauvais points moi je n'ai pas dans les réactions de de l'assistance compris un enthousiasme pour l'un et au contraire une grande défiance pour l'autre on garde ça pour nous puis finalement c'est dans le secret de l'isoloir que ça se décide parce que nous sommes des citoyens en tant que nous sommes des chef d'entreprise