J'ai trop chaud. Et surtout je suis mort. J'étais le Romain Cannone champion olympique du coup il fallait que j'agisse d'une certaine manière. T'as l'impression que chaque compet’ t'es forcément obligé de gagner. Mais je trouve que c'est important au-delà de ça de ne pas être défini que comme des sportifs parce que quand c'est le cas souvent,
on est vu comme des machines, on n'a pas le droit d'avoir des émotions. Salut, je viens répondre au défi de Romain sur une leçon à l'épée donc je compte sur mes qualités
de sprinteur et d’explosivité pour lui mettre des touches. Et aujourd'hui, on va voir s'il mérite ses titres, allez c'est parti ! Ça va ou quoi ? - Ça va ma poule ?
- Ça va, ça va. C'est parti ! -Tu m'as préparé une séance aujourd'hui ?
- Un truc, on va vraiment s'envoyer. Avec le tee-shirt je ne t'impressionne pas plus là ? T'as pas peur maintenant ? Franchement, non ! Non, vraiment. Je vais essayer d'être gentil avec toi, c'est surtout ça. J'ai pas envie de te dégoûter de l'escrime. Non, t'inquiète. D'habitude on fait 100 touches avec 1h d'échauffement. Là, je te propose on fait 10 minutes d'échauffement. Histoire que tu sois un peu plus chaud que tu l'es déjà. Vas-y je te suis ! Tu essaies de me suivre cette fois, allez go ! Je te fais des montées de genoux de sprinteur là. Je vois ça. - T'as chaud là, non ?
- Ça va. Comment t'as trouvé la séance ? Ça t'a plu ou pas ? Franchement ça m'a plu, j'ai trouvé ça super ludique,
j'étais dans le jeu. Franchement c'était top mais très physique. J'avais l'impression de faire un 100m sur chaque touche. - Et tu prends pas de pause entre tes gammes comme ça ?
- T'es déjà essoufflé ? Je suis sprinteur moi mec. Je suis plus un marathonien. Tu te mets en garde et tu te déplaces pendant une petite minute, histoire d'avoir les bonnes sensations. - On va faire de l’épée ?
- Tu vas être pas mal, tu vas être pas mal. - Oui l’épée
- Tu peux me toucher partout, tu me peux toucher au masque, tu peux me toucher aux pieds. On va faire la fente, histoire de bien lancer un peu les attaques. Du coup tu vas tranquillement mettre en garde
et tu vas faire une fente comme ça et tu vas l’étirer pour ne pas que tu te claques. Ok. Parfait. On bouge un peu et quand tu le sens, tu m'imagines moi. Et quand t'as envie de m'attaquer, tu m'attaques. T'as compris.
Ce que je trouvais qui était vraiment intéressant chez toi c'est que t'avais vite compris les appuis, aller devant, derrière et surtout aller vers l'avant, comment appuyer sur ta jambe arrière
pour vraiment aller chercher la touche. Je trouve que t'avais déjà compris. C'est mon job, après c'est la retraite pour
me défendre j'avais un peu plus de mal. Me fais pas de cadeau comme ça
on voit si je peux t'en mettre une, legit Par contre quand tu mets une touche tu cries parce que c'est un sport d'opposition. - Donc ça, ça va permettre de nous relier à la cellule ?
- Exactement. - Pour capter la touche.
- C'est bon. Et là, tu vois. Ma main je la mets dans le dos ? Tu peux, tu peux si ça t'aide. En garde.
Prêt ? Allez ! Ça surprend quand t'attaques. Allez ! - Quand tu fais une touche...
- Hein ? C'est violent quand tu reçois une touche. T'as l'impression d'avoir un impact. Ça reste un duel. Après je te laisserai boire un peu d'eau. C'est quoi que t'as trouvé le plus dur sur la séance, sur la séance d'assaut ? Le cardio parce que j'avais l'impression
de mettre un effort intensif à chaque fente et le même effort à chaque fois et de ne pas savoir quand est-ce que je dois relâcher mon corps pour m'économiser. - Parce qu'en même temps, 15 touches, ça doit être long.
- Même sur la piste, ça s'entendait que quand tu réceptionnais ça faisait du bruit. On sentait vraiment que tu étais crispé et que moi je jouais sur
ça parce que du coup je te faisais des feintes, tu te crispais, et derrière je sentais que ça te fatiguait.
De temps un temps, je voulais même pas mettre la touche juste te fatiguer pour que tu vois que le cardio monte vite et le faire redescendre, c'est compliqué. Prêt ? Allez ! En plus, c'est une des caractéristiques de mon handicap. Je vais avoir tendance à me crisper assez facilement. Donc pour moi, le relâchement, c'est un vrai effort. Puis ça va se caractériser aussi
par un déficit d'amplitude articulaire, une difficulté de coordination d'où peut-être
aussi le fait d'avoir du mal à tenir l’allonge quand j'envoie la fente. C'est vrai que ça m'arrive parfois de perdre des courses. Ça m'est arrivé d'en perdre même d'en gagner parfois. Je vais finir une course et je vais être tellement crispé, tellement tendu, qu'à la fin de la course
je vais plus avoir mal aux épaules qu'aux jambes, on est d'accord que
quand tu fais un 100m c'est pas logique. C'est pas logique donc j'essaie vraiment
de penser à ça et de l'intégrer aussi dans ma préparation mentale
et dans ma préparation physique, de faire des exercices où vraiment
j'apprends à me relâcher par la respiration. Et le cri, c'est plus une récompense
que je me garde pour continuer de kiffer les moments où je bats mon record. Let's go ! Prêt ? Allez ! - Première manche 5/1.
- Oh la vache ! Ça va t'as pas trop chaud ? Si, j'ai trop chaud. Et surtout, je suis mort. - Toi, tu récupères entre chaque touche ?
- Oui. Petite pause stratégique et après on repart. Après tu bouges bien. Tu bouges bien parce que t'as pas peur d'aller vers l'avant. Non, non. C'est mon truc. Déjà, ça aide bien. Je sais pas comment tu fais. Moi j'ai bu deux bouteilles d'eau déjà. Toi, t'as même pas touché ta bouteille. Franchement, respect.
On ne fait pas le même sport. Tu me dis de courir à la même vitesse que toi sur un 100m,
mais je vais être là, non mais c'est pas possible. Déjà c'est très psychologique, c'est à dire qu'il faut être concentré sur ce que tu fais. L'effort dure 11 secondes. Pendant 11 secondes techniquement
il ne faut pas que tu te poses de questions. Tu laisses ton corps faire ce qu’il sait faire après t'as forcément des facteurs de stress en compétition. T'as le stade qui grouille. T'as le fait du faux départ aussi. Tu peux pas te manquer. Ça c'est sûr.
100m c'est très court. Et malgré le fait que ça soit très court,
t'as quand même une stratégie de course. C'est à dire que si j'ai tendance à me
redresser beaucoup trop tôt sur la phase d'accélération, c'est un peu comme si j'avais une barre de nitro et que j'utilisais ma barre de nitro sur les 15 premiers mètres, puis après il m'en reste 85 et je peux t'assurer que 85m c'est long quand t'as pété toute ton énergie sur 15m. C'est quoi tes exercices par exemple ? Moi personnellement, c'est un moment que j'aime bien la chambre d'appel. Moi, je discute avec mes adversaires
parce que je sais en quoi je suis concentré. C'est 20 min où t'es huit chaises avec les 7 gars avec qui tu vas courir et c'est à ce moment-là tu peux déjà
perdre ou gagner ta course juste en titillant un peu l'adversaire ou en te laissant
happer par justement, les adversaires. Et là où c'est difficile, c'est que nous on fait un sport d'opposition comme l'escrime. Sauf que l'adversaire, il n'a pas d'impact sur notre performance, il n'a pas d'impact direct. C'est à dire que s'il gagne,
c'est juste qu'il est plus rapide que moi alors que toi ton adversaire, il a un impact forcément
direct sur ta perf à toi. Du coup c'est une question aussi que
je me posais, c'est comment toi t'appréhendes ça ? Parce que nous justement sur 100m, je pense à la finale des Jeux par exemple, où je me redresse et je vois les mecs qui sont 5m devant, et je me dis c'est bon ma médaille c'est fini. Alors qu'il me reste 90m à faire. C'est un peu comme une cocotte minute en fait. En plus t'es soutenu alors ça aide à chauffer. Mais c'est vrai que tu dis quelque chose d'intéressant, c'est que c'est vrai que si tu projettes et que tu dis il me reste 80m, nous typiquement
on peut être derrière dans le score il peut nous manquer huit touches
parce que l'autre commence à nous mettre la tête à l'envers. Il a compris notre jeu, il nous tend les bons pièges. Et c'est vrai que si tu commences à
penser à ces choses extérieures, tu ne vas jamais revenir au score. Nous, on pense à chaque touche, un peu
comme si chaque sprint, c'est ce qui va nous permettre de gagner. Et c'est un peu comme ça que tu reviens dans le match. - Pour vous, chaque touche c'est un 100m ?
- Exactement. C'est comme si je gagnais une compétition, et c'est pour ça aussi qu'on crie sur chaque touche. C'est peut-être pour ça que j’étais cuit aussi. C'est pour ça aussi je pense que t'as crié dès
que t'as mis une touche, t'as crié parce que tu sens que chaque touche est importante. Allez ! - Très bien. À la main non ?
- À la main oui. - Let's go !
- Si tu progresses comme ça au bout du 5ème match on sera ex-aequo. Il n'y aura pas de 5ème match parce que je vais mourir avant. Je suis cuit. Comment quand tu glanes comme ça un titre olympique,
alors je ne sais pas si toi dans ta tête quand tu y allais, tu savais que t'allais l'être, ou c'était prévu, mais comment, quand ça te tombe comme ça
sur le coin de la tête, comment tu te remets en selle et tu dis je conserve mon titre dans trois ans. Je pense que le bascule, je pense que je l'ai jamais fait. En fait, je commence à le faire dans le sens où l'année dernière, j'avais vraiment ce sentiment où vu que tout le monde me disait que j'étais une surprise, il fallait que je prouve à tout le monde
que je ne suis pas une surprise même si nous en tant qu'athlètes, on sait que, arriver aux Jeux, t'es pas une surprise parce que, forcément, t'es aux Jeux - Tout le monde peut gagner
- et ça c'est normal mais je sentais que moi-même ça me reniait en disant,
il faut que je prouve à tout le monde et aussi à moi-même que je vais pas juste m'arrêter là. Et c'est ce qui m'a permis je pense de faire
une bonne saison l'année dernière, mais là je sens que justement
heureusement que j'ai mis des choses en place, comme peut-être travailler un bon rythme de vie,
quelque chose de stable, un peu comme un cocon. Je pense que souvent, comme on dit, les athlètes on pense que juste ils travaillent, ils n'ont pas d'émotions,
mais en fait on ne fait que se - remettre en question,
-Tout le temps, tous les jours. - que ça soit sur un match ou même sur une saison ou même sur une compétition mais après je suis comme toi, je sais que je vais pas me satisfaire d'une 4ème place pour Paris. - Je ne suis plus une surprise,
- Maintenant, on t'attend. - comme toi aussi on ne t'attend plus pour une 4ème place. Je pense t'as déjà tout compris sur l'état d'esprit dans le sens où il faut se qualifier d'abord et
gagner après c'est une autre compétition. Mais l'entraînement que tu dois faire, c'est dans l'esprit de se dire je vais gagner les Jeux. Il faut qu'on garde de se dire comment
je fais pour m'entraîner pour gagner l'or. Je ne sais pas toi comment tu vis cette pression autour de ça ? Au début c'est vrai que c'est comme un tsunami, t'es pas prêt. Tu ne sais pas surfer, c'est un tsunami qui vient sur toi. C'était compliqué, j'ai eu des compétitions où ça s'est mal passé parce que justement j'avais l'impression qu'il fallait que je joue un statut et que j'étais plus le Romain Cannone que j'étais. J'étais le Romain Cannone champion olympique, du coup il fallait que j'agisse d'une certaine manière. Est-ce que tu t'es senti obligé de gagner ? Oui, ça totalement. T'as l'impression que chaque compète
t'es forcément obligé de gagner et que tout le monde attend que tu perdes. Et ça c'est vraiment horrible,
c'est que même à travers tes proches ou tes amis malheureusement, vu que t'as gagné,
tout le monde pense que tu vas tout le temps gagner. Et là, tu arrives et tu fais une médaille d'or surprise comme ça, Comment tu l'as vécu ?
Es-ce que t'as senti que t'as boosté toute une équipe ? J'espère que j'ai boosté une équipe. Franchement, je ne sais pas si je le sens parce que j'étais tellement dans mon monde à ce moment-là que peut-être je ne voyais pas les signaux. où tout le monde me souriait et me disait bravo, merci. Mais c'est vrai que je l'ai senti quand le lendemain où je suis descendu chez les kinés
parce qu'on devait se préparer aussi pour l'équipe. Et là tu sentais que tous les athlètes qui venaient avaient vu ma finale. Et ils se disaient mais t'inquiète je suis le prochain. Beaucoup me disaient mais t'inquiète
la prochaine elle est pour moi. C'est parti quoi ! Pour moi, le boulot c'est vraiment hyper important d'avoir une vie professionnelle et une vie de sportif
parce que on sait tous les deux que ça peut s'arrêter du jour au lendemain. Pour moi, c'est super important de s'épanouir dans les deux milieux pour pouvoir aussi à un moment
donné relâcher la pression du sport au travail et inversement relâcher la pression du travail au sport. Ça fait un balancier.
C'est que même en plus, ça peut t'aider à rebasculer. Le sport va pas bien, je me concentre plus sur mon travail et
ça va peut-être me permettre de mieux basculer dans mon sport. Mais je trouve que c'est important au-delà de ça de ne pas être défini que comme des sportifs parce que quand c'est le cas,
souvent on est vu comme des machines, on n'a pas le droit d'avoir des émotions,
on doit être juste des machines à gagner, on ne peut pas perdre. Alors que quand t'as un boulot, t'apprends aussi qu'il y a des objectifs au boulot que tu ne pourras pas réaliser etc. Donc ça t'aide aussi à appréhender parfois un peu l'échec,
voir les choses autrement. Quand j'ai eu une journée de boulot qui a été compliquée, j'arrive à l'entraînement et je retrouve ce truc de j'ai commencé le sport parce que je kiffe et
parce que ça me fait plaisir et ça me fait penser à autre chose. Je vais pouvoir sprinter, tout donner. Je vais pouvoir gueuler à la fin de la course,
là où quand je suis au bureau je peux pas claquer le dossier et gueuler un coup. Non, c'est ça. Prêt ? Allez ! - Let's go !
- Ok. 2-2 Prêt ? Allez ! Oh ! Double ! - Bien joué.
- Bien joué, ma poule. Normalement, pour chaque 10m
parcourus au 100m, on prend 1 minute de récup. Je ne sais pas combien j'en ai fait, mais je n'ai
pas pris ma minute de récup par 10m. - Bien joué, mec !
- Avec plaisir. J'ai envie d'aller voir Paris pour avoir
la foule, être là et vraiment faire la médaille que j'ai envie. C'est cette médaille d'or. Je pense que toi aussi. En tout cas, moi je serai là pour te soutenir si t'as besoin. Je serai sûrement en stage mais effectivement l'objectif c'est clairement la médaille. Dire la couleur je serai bien malin, parce qu'à Tokyo, ça s'est joué à 4/100s entre le premier et le troisième. Donc t'arrives 5/100s derrière t'es quand même quatrième. Après c'est la magie de notre sport et
à la fois le côté terrible de notre sport. Mais moi je serai là pour t'encourager
en tout cas pendant mon stage et puis je serai ravi de prendre la force
des collègues du Team qui resteront. Après s'ils veulent aller fêter leur
médaille et nous encourager. Je pense qu'on pourra tous les
deux aller les fêter après aussi. C'est à la maison donc on pourra
vivre les choses un peu plus ensemble. Donc hâte, en tout cas, de vivre cette
aventure et puis je te souhaite le meilleur. Oui carrément ! Ah je suis cuit ! Ah merci ! Tu m'as fait des belles touches quand même, - Franchement un beau match.
- Merci.
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