Chronique de Kill Bill : Volume 1 de Quentin Tarantino
Published: Aug 25, 2024
Duration: 00:15:53
Category: Nonprofits & Activism
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histoire d'en dire plus 40 le N tu m'as demander mon [Musique] petit on mappelle il conna pas ce me plus que ce soir je vais conclure tu m pas là non pas là non bonjour bienvenue dans le podcast histoire d'en dire plus cinéma aujourd'hui nous allons plonger dans l'univers sanglant et stylisé de KillBill volume 1 le film culte de Quentin Tarantino sorti en 2003 attaché aux ceintures ça va [Musique] trancher KillBill volume 1 marque le retour fracassant de Quentin taantino à la réalisation après 6 ans d'absence et moins qu'on puisse dire c'est qu'il a pas fait les choses à moitié on va commencer par le pitch humatman incarne une ancienne tueuse d'agage connu le nom de la mariée un jour le jour de son mariage elle est sauvagement attaquée par ses anciens collègues du deadly vaper assassination Squad sur ordre de leur chef le mystérieux Bill laissé pour morte elle se réveille 4 ans plus tard après un Comat avec une seu idée en tête la vengeance ce pitch pour être celui d'un banal film d'action vengeance mais c'est sans compter le style inimitable de Tarantino killb volume 1 est un feu d'artifice visuel et sonore un hommage délirant au cinéma de genre en particulier au films d' d'ARM marciau asiatique et au West western spaghetti parlons un peu de la structure du film fidèle à son habitude Tarantino joue avec la chronologie découpant son récit en chapitre non linéaire le film s'ouvre sur une scène choc un gros plan en noir et blanc sur le visage ensanglanté de la mariée juste avant que Bill ne lui tire une balle dans la tête et là on peut je met pas pour les droits mais on pourrait mettre la M chansons sont Bang Bang my baby shot me down de Nan Sinatra qui est exactement qui passe à ce moment-là cette ouverture donne immédiatement le ton on est dans un univers violent stylisé ou la vengeance et ben ça sera le moteur de l'action le reste du film alterne entre le présent vous la Marie poursui méthodiquement sa vengance et des flashback qui nous en apprennent plus sur son passé et ses motivations c'est cette structure éclaté maintient le suspense tout au long du film distillant peu à peu les informations aux spectateurs parlons maintenant des personnages au centre de tout il y a bien sûr la mariée interprété par humatman c'est c'est sans doute l'un des rôles les plus iconiques de de sa carrière elle incarne à la perfection cette femme blessée mais déterminée à la fois vulnérable et terriblement dangereuse son costume est devenu culte combinaison jaune et basket Onitsuka Tiger c'est un clin d'œil au costume de Bruce Lee dans le jeu de la mort mais c'est aussi devenu un symbole à partentière immédiatement reconnaissable my name is BCK here to fuck ça c'est l'extrras sonore que je pourrais mettre à ce momentl mais j'ai pas la VO de Kilby je l'ai qu'en VF et elle est moins drôle en VF mais à ce moment-là il dit ça dans ce premier volume la Marie affronte deux de ses anciens collègues Vernita Green alias coperhead joué par vivicia aox et orenishi alias cottonmous incarné par Lucy Liu chacune a son style de combat et sa personnalité propre offrant des affrontements variés et spectaculaire quant à bille le grand méchant du film Il reste mystérieux et peu présent à l'écran dans ce premier volet on entend surtout sa voix interprété par David [Musique] notre défun David caradin c'est une présence mençante qui plane sur tout le film et qu'on ne voit jamais vraiment l'un des aspects les plus marquants de kilbeam volume 1 c'est son esthétique visuelle flamboyante Tarantino puis son inspiration dans divers genes cinématographique pour créer un style unique et reconnaissable entre tous les scènes d'Acon sont chorégraphiées avec un soin maniaque Tarantino alterne entre les plans larges qui permettent apprprécier les les chorégraphies des combats et les gros plans saisissants sur les visages des protagonistes il n'hésite pas à utiliser différentes techniques visuelles comme le noir et blanc l'animation ou encore le ralenti pour sublimer certaines séquences la palette de couleur est particulièrement travaillée avec une prédominance du jaune la combinaison de la mariée et du rouge le sang omniprésent ces choix chromatiques renforce l'aspect pictural et presque irréel de certaines scènes notamment le combat final dans un jardin japonais ennigé impossible de parler de Kill Bill sans évoquer sa bande son comme dans tous ces films Tarantino accorde une importance capitale à la musique la bande son de KillBill volum 1 volume 1 se distingue par son éclectisme mlant composition originale de RZ membre du woutang Klang et morceaux préexistants piochés dans divers genes musicaux on y retrouve des extraits de musique de film notamment des compositions d'O moricon du rock naninatra The Five si se e de la musique classique Verdi ou encore des sonorités world musique cette variété musicale accompagne parfaitement les changements d'ambiance et de rythme du film passant de moment de tension à des scènes d'action frénétique kilb l'umain est truffé de référence ethommage à l'histoire du cinéma Tarantino puis son inspiration dans le cinéma de Hong Kong les films de samouraï japonais mais aussi les western spaghetti ital on peut citer notamment l'influence du film Lady snowbloud du toshidia Fujita pour la trame narrative de vengeance ou encore celle de la saga de la fureur de vainc avec Bruce Lee pour certaines scènes de combat le personnage de atorianzo interprété par sunny Chiba est lui-même une référence à une série télévisée japonaise des années 80 ces nombreux clin d'œil font de kilbvumain un véritable hommage au cinéma de gant tout en créant une œuvre originale qui transcende ses influences parlons maintenant des scènes d'action qui sont vraiment le clou du spectacle dans ce film il y en a plusieurs qui sont restés dans les annales du cinéma il y a d'abord le combat entre la Marie et Vernita Green dans une paisible maison de baneu le contraste entre le cadre domestique et la violence de l'affrontement est saisissant ensuite on a la séquence animée qui retrace le passé d'orenchi c'est réalisé dans un style proche des animés japonais et ça apporte une variation visuelle intéressante au film mais la scène d'action la plus mémorable c'est c'est sans doute le massacre des 88 fous au House Of Blue leaves où la mariée affronte seule une armée de Yakuza dans une chorégraphie sanglante et virtuose qui dure près de 20 minutes et enfin il y a le duel final entre la mariée et orenishi dans un jardin japonais enneigé cette scène mêle beauté visuelle et tension dramatique d'une manière vraiment impressionnante on ne peut pas parler de kit Bill sans aborder la question de la violence elle est presque omniprésente dans le film mais elle est traitée de manière très stylisée presque cartoonesque par moment le sang gicle flot les membres sont tranchés le tout est filmé de manière tellement chorégraphiée qu'il en devient presque irréel cette approche de la violence a suscité pas mal de débats à la sortie du film certains euont vu une glorification gratuite de la brutalité tandis que d'autres ont salué la manière dont Tarantino transforme la violence en art visuel la vidant en quelqu sor de sa substance pour n'en garder que l'aspect esthétique il est intéressant de noter que malgré l'omniprésence du sang à l'écran le film ne montre que peu de mort explicite la plupart des victimes de la mariée sont des figurants anonymes ce qui contribue à déréaliser la violence et à la rendre moins choquante qu'elle ne pourrait l'être un autre aspect intéressant de kidb volume 1 c'est sa représentation des femmes le film une femme au centre de son intrigue et pas n'importe laquelle une guerrière redoutable capable de tenir tide à des hordes d'ennemis de plus ses principaux adversaires dans ce prier volet sont également des femmes cette représentation des femmes fortes et complexes a conduit certaines critiques à voir dans Kid Bill un film féministe la mariée n'est pas présentée comme une victime passive mais comme une protagonist active qui prend en main son destin et se bat pour obtenir justice cependant d'autres ont pointé du doigt certains aspects problématiques comme l' l'objectification du corps féminin dans certaines scènes où le fait que la motivation principale de l'héroïne reste liée à son rôle de mère elle cherche à Vanger la mort de son enfant à ître le débat reste ouvert mais il est indéable que kilbin volumain offre des rôles féminins forts et mémorables rares dans le cinéma d'action de l'époque à sa sortie kilb volumain a reçu un accueil critique globalement positif les critique on salelu et l'audace visuelle de Tarantino les performances des acteurs en particulier humurman et l'énergie débordante du film certains ont cependant reproché au film son côté excessif fait sa violence parfois gratuite d'autres ont regretté l'histoire coupée en deux parties estimant que cela nuisait à la cohérence narrative de l'ensemble malgré ces quelques réserves le film a été un succès commercial apppportant plus de 180 millions de dollars au boxofice mial pour un budget de 30 millions il a contribué à consolider la réputation de Tarantino comme l'un des réalisateurs les plus originaux et influent sa G génération et pour conclure kil Bill volumain reste 20 ans après sa sortie un film marquant dans la filmographie de Quentin Tarantino et dans l'histoire du cinéma d'action mêlant avec brio homage chinfil violence stylisée et narration non linéaire il offre une expérience visuelle et sonore unique le film a eu une influence durable sur le cinéma inspirant de nombreux réalisateurs dans le approche de la mise en scène d'action et de la représentation des personnages féminins forts il a également contribué à populariser certains genres cinématographiques auprès du grand public occidental notamment les films de samouraï et les armau Asiatiques kilbill volume 1 n'est que la première partie d'unptique et laisse le spectateur sur un cliffanger qui trouve sa résolution dans le volume 2 ensemble ces deux films forment une œuvre ambitieuse qui explore les thèmes de la vengeance de la rédemption et des liens familiaux tout en offrant un spectable visuellement et poustouflant que l'on adérounant à son esthétique de la violence on ne pe nier l'impact et l'originalité de kitbill volume 1 dans le paysage cinématographique des années 2000 il reste aujourd'hui un film culte régulièrement rediffusé et étudié témoignage du talent unique de Tarantino pour M les cultures populairire et ciném d'auteur sur ces mots de orench il est temps de conclure ce podcast n'oubliez pas si vous croisez une femme en combinaison jaune brandissant à katana alors courez je vous remercie d'avoir écouté ce podcast sur kidbill volume 1 si vous avez apprécié n'hésitez pas à laisser un commentaire à vous abonner mettez 5 étoiles ça coûte rien et ça fait beaucoup avancer le podcast abonnez-vous pour pas manquer les prochains épisodes et je vous dis à bientôt pour de nouvelles aventures cinématographiques ciao ciao histoire d'en dire plus 40 chez le N tu m'as demandé mon petit mon on m'appelle MAM m il conna pas RA ce mec en plus je sens que ce soir je vais conclure tu pas