Grand reporter : décryptage d'un métier passionnant avec Dorothée Olliéric !

Published: Feb 08, 2024 Duration: 00:11:55 Category: Education

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il y a eu pas mal de moments où je me suis dit je vais y passer des bombardements des mines des rebelles qui viennent et qui me posent un pistolet sur le front c'est arrivé le pire moment c'est peut-être en Égypte en 2013 où on a été arrêté avec l'équipe on nous a bouré les yeux et on s'est retrouvé face à un mur comme un pleoton d'exécution et là on nous a demandé de baisser la tête en anglais c'était head down shut up taisez-vous baissez la tête j'ai entendu quand ils ont chargé leur armes et là je me suis dit bon dans 30 secondes je suis morte tout va bien ils ont pas tiré mais à ce moment-là ce qui est étonnant c'est qu'on a plein de pensées pour mes enfants bien sûr d'abord et ensuite je me suis dit mais tant qu'à mourir autant mourir dignement je vais pas pleurer je vais pas supplier mais c'est surtout parce que j'avais le sentiment que si je me retournais en disant please don't kill me j'allais me prendre la première balle bonjour je suis Dorothée oleri grand reporter à France Télévision et je couvre des terrains de guerre depuis maintenant 30 ans mon rôle c'est vraiment de témoigner de ce qui se passe et de raconter ensuite ce qu'on aime aussi nous les reporters c'est vivre ces moments parce que c'est là où l'histoire s'écrit on a vraiment l'impression d'être au premières loges d'un pays en guerre mais pas seulement notre rôle c'est un rôle de passeur de témoignage pour que les gens sachent parce que si nous on va pas sur les terrains de guerre alors qui ira le journalisme c'est une passion une envie depuis toute petite l'envie de découvrir le monde l'envie de repousser un peu les frontières et surtout d'aller découvrir ces pays avec mes yeux mes oreilles et de rencontrer les gens parce que ce métier avant tout ce sont des rencontres quand j'avais 19 ans je suis parti au ch à Santiago du Chili à une époque où il y avait une dictature celle du général Pinochet et j'avais cette envie de voir comment les jeunes vivaient survivait s'amusait éventuellement dans des pays très difficiles avec beaucoup de répressions donc ça c'était mon premier reportage pas encore de guerre et assez naturellement quand j'ai commencé le journalisme cette même envie cette même motivation m'a poussé à aller là où c'est dangereux avec toujours l'envie de voir de comprendre et de transmettre dans les pays en guerre il se passe quelque chose d'assez magique tous les sentiments sont exacerbés l'amitié la solidarité l'amour la fraternité mais aussi la peur on partage des moments d'une force avec les gens qui est difficile à trouver ailleurs c'est pas pour l'adrénaline on n'est pas des têtes brûlées mais mais les partages les moments quand on est sous les mêmes bonvardements quand on sert dans les bras quelqu'un qui vient d'échapper à un tir d'obus c'est viscéral c'est très très fort parmi les moments qui m'ont vraiment le plus bouleversé je repense à ce siège de Sarajevo en Bosnie en 95 où vraiment on était au contact avec toute la population civile j'ai suivi des jeunes qui étaient amputés qui avaient perdu une jambe un bras c'était des civils c'était aussi des militaires la plus jeune avait 18 ans pendant les 15 jours où j'ai fait ce magazine pour envoyer spécial je me suis dit faut pas pleurer ces gens ils ont des situations terribles donc garde tes larmes pour toi et à la fin toutes les larmes gardées pendant 15 jours sont sortis et ces jeunes qui avaient perdu une jambe un bras qui vivaient dans des conditions terribles encore sous les bombes était là à me réconforter à me dire mais t'inquiète pas doroté tout va bien on est heureux la vie est belle et je me suis dit c'est une leçon de vie comme j'en aurais jamais et le titre de ce reportage pour envoyer spécial je l'ai appelé le prix de la vie le reportage sur la vente des petites filles afghan je l'ai vraiment au fond du cœur à jamais on savait qu'il y avait des mariages forcés pour des gamines à l'âge de 10 ans qu'on rencontre cette petite Amina vendu pour 2500 dollars et qui devait être emmené quelques semaines plus tard par son mari deuxième petite fille Sabera 4 ans vendu 500 dollars pour être adopté tout ça parce que les parents n'avaient pas assez d'argent pour manger donc ils vendent leur filles pour survivre alors on a fait ce reportage avec une petite Amina en larme moi aussi évidemment ce qui a été formidable c'est qu'il y a eu énormément de réactions de gens qui ont voulu aider et beaucoup de propositions de Don j'ai trouvé une association qui s'appelle too young to Wade trop jeune pour se marier j'ai adressé tous ces dons à cette association qui s'occupe justement des mariages forcés et les deux gamines Sabera et am Mina ont été toutes les deux sauvées de ce mariage forcé de cette adoption forcée là c'est un moment on est fier c'est une toute petite goutte d'eau bien sûr mais mais on a sauvé ces deux gamines elles ont été déménagées de leur camp misérable à une ville elles sont prises en charge elles vont à l'école elles ont un nouvel avenir et c'est un petit peu grâce à ce reportage et je suis toujours en contact avec elles et elles vont bien le retour c'est toujours un moment difficile parce que notre cœur notre esprit est toujours sur ce terrain qu'on vient de quitter alors je prendre l'exemple de l'Ukraine je suis restée jusqu'à 5 semaines en Ukraine au début de la guerre et quand on revient on a le cœur lourd on pense à ceux qu'on a laissé on se demande si on les reverra on se demande s'ils seront toujours en vie on culpabilise nous de rentrer et d'avoir effectivement cette vie facile hein c'est tout bête hein il y a de l'eau il y a de l'électricité il y a pas de sirène il y a pas de bombe donc il y a quelques jours qui sont un peu difficiles nous aussi comme les militaires et bien on peut souffrir de stress post-traumatique parce qu'on voit beaucoup d'horreur on voit beaucoup de cadavres on a peur de mourir parfois ça ça passe pas loin pour ceux qui en ressentent le besoin ce n'est pas obligatoire on va voir un PSI au retour en ce qui me concerne moi c'est ma maman qui fait office de PSI depuis toujours c'est surtout d'être entendu et de partager ces moments les plus difficiles qui est le plus important à chaque départ depuis que mes enfants sont petits je les regarde dans les yeux et je leur dis maman t'aime parce que je me dis que si je ne revenais pas je veux que ça soit la dernière image le dernier son c'est maman t'aime et là je pars je les embrasse je ferme la porte et et en général dans le taxi là il y a les larmes qui cool mais c'est important parce que quand on fait ce métier là il faut le savoirin on peut ne jamais revenir ma fille qui a 20 ans aujourd'hui me dit maman tu as de la chance parce que tu fais un métier de passion alors elle elle est en licence elle sait pas trop quoi faire elle étudie l'économie la gestion et elle ne m'en veut même pas une seconde d'avoir pris autant de risqu pendant autant d'années elle me dit maman tu as un métier de passion et il y a rien de plus beau au monde je dirais que par an on peut partir entre 4 et 6 mois en fonction de l'actualité avec ce qui se passe en Ukraine on part de longue période don on y part deux trois fois par an et c'est important de dire qu'on rate aussi des anniversaires des Noëls pas mal de choses comme ça il faut le savoir mais ce métier a tellement tellement de de bonheur à donner que ça vaut le coup parmi les qualités qu'il faut pour aller sur ce genre de terrain je dirais avant tout la curiosité l'empathie faut aimer les gens parce qu'il y a des moments où ça va pas être facile où rien ne va marcher comme on veut où on va dormir dans des conditions pas possible où on va pas dormir où on va avoir peur donc si on aime les gens si on aime rencontrer partager j'ai le quotidien même si c'est dormir dehors à la belle étoile dans le froid il y a quelque chose qui porte qui est cette espèce d'humanité et aimer raconter faut aimer les mots faut aimer les gens faut aimer non pas la guerre mais tous ces sentiments si forts qu'on partage sur des terrains de guerre aujourd'hui si on veut être reporteur de guerre il faut essayer d'intégrer une rédaction ça peut être France Télévision mais ça peut aussi être les chaînes d'info qui sont un très bon trempelin pour commencer et pour commencer jeune ensuite faut aller sur ces premiers terrains de Ger mais aujourd'hui on y va plus comme ça il faut à tout prix pr une formation d'aguérissement sur les terrains de guerre où on va vous apprendre les gestes qui sauvent si vous avez un blessé dans l'équipe on va vous apprendre non pas le manimement des armes mais quel type d'armes sont utilisées sur la ligne de front les obus les Kalashnikovs les balles que font les mines comment on fait si on se retrouve dans un champ de mine comment s'abriter en cas de tir de sniper voilà il y a des formations aujourd'hui qui donne un petit peu les bases pour expliquer ce qu'est un terrain de guerre et c'est aussi une question d'assurance donc les rédactions aujourd'hui rendent ce stage obligatoire aucun jeune journaliste ne sera envoyé sur un terrain de guerre sans être passé par cette formation qui est extrêmement bien faite souvent par d'anciens militaires et qui donne un peu les bases de ce qui nous attend de ce qui vous attend peut-être sur le terrain pour savoir si on est fait pour aller sur un terrain de guerre ben faut y aller au premier bombardement on le sait très très vite et ça je l'ai vu en Ukraine il y avait beaucoup de jeunes journalistes qui au début de l'invasion russe en Ukraine avec les sirènes qui retentissaient à Kiev avec les premiers missiles tirés sur des zones résidentielles certains journalistes se sont très vite dit je suis pas du tout fait pour ça avec l'honnêteté de le dire hein il y a pas de de honte à avoir peur et certains journalistes ont choisi de de repartir en France alors pour certains je leur ai dit écoute c'est normal que tu surréagisse comme ça nous notre boulot c'est d'être là justement quand tout le monde part il faut que tu laisses passer une nuit deux nuits tu vas t'habituer au bruit des sirène le fracas de la guerre il est très impressionnant c'est des détonations ça vous raisonne dans dans les tribes dans le C dans la tête c'est vraiment effrayant et puis un moment on va trouver nos marques on va trouver le sens de ce reportage voilà faut témoigner faut raconter faut rester être une femme ça ne m'a jamais posé de problème sur des terrains de guerre j'ai bien eu quelques petites remarques matchistes de temps en temps je me souviens une guerre civile en Afrique où un combattant me disait mais qu'est-ce que tu fais là pourquoi tu es pas en train de faire la cuisine à ton mari pourquoi tu es pas en train de t'occuper de tes enfants j'avais je sais plus 26 27 ans et je lui dit bah d'abord j'ai pas d'enfant j'ai pas de mari puis le jour où j'en rien c'est peut-être lui qui fera la cuisine et voilà à part des petites piqus comme ça j'ai jamais vraiment souffert de matchisme j'ai pas eu besoin de batailler pour me faire respecter sur le terrain il faut s'affirmer une femme sur un terrain de guerre où il y a que des hommes on joue pas du tout la carte de la séduction c'est clair on va pas être habillé comme on pourrait être ici je porte le voile comme toutes les journalistes qui vont dans un pays musulman comme l'Afghanistan les talibans ne pas en mettre serait une provocation donc c'est pour notre sécurité il faut se fondre un peu dans le décor femme ou homme si on respecte de ces règles-là moi je pense qu'il y a pas de problème et franchement les filles allez-y on a notre place et depuis longtemps avant de partir en reportage par exemple en Ukraine il faut vraiment assurer toute la partie logistique le plus important dans une mission comme celle-là c'est le fixeur c'est un interprète local du pays qui fait beaucoup plus que ça he qui est dans les contacts c'est une comme un super produceur qui va être aussi garant de notre sécurité c'est le fixeur qui va dire on peut aller là là ça devient vraiment très dangereux qui va prendre les contacts avec la population donc avant de partir il faut trouver un fixeur louer une voiture trouver éventuellement un chauffeur et puis surtout chercher les angles des sujets par exemple là à 15 jours de mon départ en Ukraine je propose à la rédaction une dizaine de reportages là le rédacteur en chef choisit pour l'Ukraine j'ai proposé d'embarquer sur un navire ukrainien en mer Noire et bien ça demande tout un processus d'autorisation qui sont fait par la fixeuse en Ukraine avec nos identités nos cartes de presse locales et ensuite elle appelle insiste pour essayer de décrocher un embarquement sur un navire de guerre ukrainien mais c'est assez compliqué en 2017 en Irak je couvrais la bataille de Mossou et j'ai vu sur la ligne de front des jeunes qui étaient pas des journalistes ni des photographes c'étaaiit tout simplement des étudiants qui voulaient être au première loges de la guerre et qui filmait la guerre en direct c'était les premiers Facebook live où ils étaient sur une ligne de front en train de se filmer donc il y avait le mélange du selfie du Facebook live avec la position de mortier et les militaires qui tiraient des mortiers et il commentaient ça il y avait il y avait des milliers de cœurs en direct et nous on avait jamais vu ça c'était vraiment une première et là ça m'a laissé un peu interdite en disant est-ce que la guerre peut se filmer en direct avec des likes sur Facebook ou sur bien d'autres réseaux d'autres applications ça me met un peu mal à l'aise on peut raconter n'importe quoi c'est un peu volé le rôle du journaliste avec avec peut-être des débordements des erreurs l'impact de l'intelligence artificielle dans le domaine du journalisme m'effraie un peu on a l'impression que ça va très vite et que ça peut aller très loin or sur un terrain de guerre je pense que le regard la distance l'expérience du journaliste qui est là me semble irremplaçable il y a la question des sources des vérifications la désinformation l'intelligence artificielle se base sur des écrits sur des reportages déjà publiés on ne sait pas forcément par qui ils sont peut-être pas objectifs j'ai l'impression que c'est incontrôlable et je pense que dans un pays en guerre il faut vraiment l'humain dans la boucle et pas justeintelligence artificielle

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