🔴 ZELENSKY TRÈS EN COLÈRE VEUT FRAPPER ET PUNIR LES RUSSES

pendant que Vladimir Poutine savoure le calme avec son homologue en Mongolie loin des tensions volodimir Zelenski est en ébullition frustré par la lenteur des avancées militaires et déterminé à gagner cette guerre il lance une fois de plus une demande audacieuse à ses alliés obtenir l'autorisation de frapper plus profondément en territoire russe avant d'écouter Zelenski prenez un moment pour vous abonner et partager cette vidéo au maximum pour plus de recommandations n'oubliez pas de laisser vos commentaires ci-dessous et de nous dire ce que vous pensez la décision de Z j'en appelle aux États-Unis au Royaume-Uni à la France et à l'Allemagne nous avons besoin des moyens nécessaires pour protéger pleinement et efficacement l'Ukraine et sa population nous avons besoin d'autorisation pour des capacités à longue portée ainsi que pour des obus et des missiles à longue portée ces décisions vitales ne peuvent être retardé ce sont les actions qui peuvent avoir l'impact le plus significatif sur le cours des événements que pensent les expertsoccidentaux de de zelensk vous allez être surpris ils sont sans voix vous allez découvrir des réactions qui vont bouleverser toutes vos attentes euh on tombe dans le jeu de Poutine c'est exactement le jeu de Poutine il a enfermé ses deux dirigeants et puis derrière Grande-Bretagne et France sont à la limite contents que les autres fassent le sale boulot en réalité hein ils se précipitent pas non plus hein les mais en réalité ça fait le jeu de de Poutine nous nous dissuadons nous-mêm euh maintenant faudrait pas croire que soudain là ça y est tous les attaques MS qu'on vous a donné 300 km de portée vous pouvez vous en servir libéralement allez-y zigzig la pêche faut pas croire que ça changerait la guerre he attention ça ne changerait pas la guerre et ça aideraient les Ukrainiens ils auraient moins de pertes civiles et militaires il y aurait peut-être plus d'avions russes abatttu avant qu'ils aient lancé leur bombes planantes par exemple donc ça aiderait les Ukrainiens mais ça serait pas c'est pas en soi là ça y est il donne l'autorisation et après demain Moscou commence à négocier sérieusement c'est pas ça et donc dans leur calcul il y a aussi cette notion de et même si je disais oui ça serait pas décisif alors pourquoi je dirais oui alors je n c'est c'est leur opinion je n'y adhère pas du tout parce que je je crois qu'on devrait répondre à Poutine non pas dans des calculs d'épissers en disant ah oui mais si je fais ça il va faire ça mais sur plan du du principe on devrait dire nous on discute pas nous c'est le principe on a donné une arme c'est une cible légitime après il fait ce qu'il veut et dommage pour toi pourquoi est-il si difficile d'avoir une décision unanime de la part des Occidentaux concernant ces fameuses frappes en profondeur parce qu'au moins deux pays et non des moindres à savoir les États-Unis et l'Allemagne ont peur de la troisème guerre mondiale c'est aussi simple que cela si Washington et Berlin depuis le début du conflit ont autant hésité à chaque fois à franchir no non pas des lignes rouges mais en tout cas des degrés non pas d'escalade mais de ripost dans la la la manière dont les Ukrainiens sont autorisés à utiliser des armes américaines ou allemandes dans la profondeur du territoire russe c'est bel et bien parce qu'ils ont peur de cette fameuse escalade moi j'aime pas ce mot et il y a une véritable crainte c'est très bien documenté par leur conseillers par les témoignages par des par des journalistes Biden a peur que Zelenski l'entraîne dans un conflit avec réussi ce qui après tout n'est pas totalement absurde he quand vous êtes président américain ou chancellier allemand ou président français bah on vous a pas élu pour déclarer la guerre directement à la Russie qui vous a pas attaqué directement mais cette peur existe elle est très présente aussi à Berlin et c'est c'est assez intéressant de voir que chacun avec leur profil chacun avec leur expérience qui sont très différentes Joe Biden et Olaf Scholz ont très peur de d'aller trop loin avec Moscou ils ont peur que si on frappe le territoire russe trop loin trop fort dans la profondeur avec des armes américaines ou allemandes et bien cela déclenche je sais pas quel réaction de Vladimir Poutine en tout cas ils ont peur ils ont peur de de de l'escalade avec la Russie c'est aussi simple que cela et donc c'est vrai qu'il y a au moins deux pays qui empêchent ce fameux consensus on continue c'estàdire que comme pour les armes l'envoi des armes on continue à changer ces lignes rouges palier par palier à chaque fois les lignes rouges c'est c'est c'est Poutine qui les fixe et on les invente pour lui parfois c'est c'est c'est fou ça on est on on est dans une absence de de vision stratégique en Occident la la guerre je suis pas un VAT en guerre et j'ai pas envie de tuer tout le monde he je je je comme Bruno tertr je je parle fort mais je suis pas un V en guerre en revanche je pars du principe que la guerre elle prend elle a sa logique propre et qu'il faut la laisser développer sa logique et et et là la logique c'est que les Ukrainiens puissent utiliser les armes qu'on leur a donné sur des cibles légitimes y compris jusqu'à en l'occurrence 300 km pour compliquer la vie des Russes et et et je le répète ça ça leur permettra de pas de gagner la guerre après-demain c'est pas vrai mais ça compliquera la vie par exemple si si les F16 ont des missile à longue portée et l'autorisation de voler dans l'espace aérien russe ça veut dire que les avions qui larguent des bombes planantes ou des missiles seront obligés de se tenir à distance et qu'il y aura beaucoup moins de bombes planantes sur la ligne de front ça aidera puissamment le il suffit d'en flinguer quelques-uns pour que les autres se tiennent à l'écart voyez mais mais là les la peur est mauvaise conseillère et nous avons des alors les chefs d'État c'est pas que ça c'est une équipe c'est des conseiller c'est comme comme vous l'avez été Bruno et Isabelle donc donc mais mais là on a une une bande de gars qui qui ils vivent dans la peur ils se neutralise eux-mêmes avec ça on fait pas de stratégie dans la peur et en même temps je crois quand même nécessaire de rappeler puisque on reparle de lignes rouges c'est sur le c'est sur le bandeau les lignes rouges ça existe c'est quoi les lignes rouges c'est une expression qu'on emploie pour parler d'escalade et de dissuasion de manière générale ça veut dire jusque- là mais pas plus loin alors c'est un vieux sujet euh l'opinion publique française en avait entendu parler dans la période récente pour la première fois en 2013 quand Barak Obama à l'époque président des États-Unis avait dit ma ligne rouge en Syrie c'est l'emploi d'armes chimiquees chi mais sauf que si vous déclarez une ligne rouge et que bah l'adversaire franchit ne serait-ce que petit à petit cette ligne rouge on vous prend pas au sérieuxux ou et oui et donc ce qui est arrivé à Barack Obama est d'une certaine manière en train d'arriver à Vladimir Poutine ça ça veut pas dire que les lignes rouges n'existe pas du tout je il est de bon ton et je suis le premier à le faire euh de se moquer de la manière dont Vladimir Poutine a essayé de nous imposer des lignes rouges qui n'en sont pas vraiment et comme dit Michel yacovlev parfois même on se les invente nous-même alors que la Russie nen pas parler attention ça veut pas dire que il y a jamais ligne rouge qu'on peut faire ce qu'on veut en Russie vous voyez j'essaie j'essaie je suis le premier à dire je crois qu'on était d'accord sur ce plateau que il faut pas prendre trop au sérieux tout ce que disent tous les responsables russes ça ne veut pas dire que la Russie n'en a pas attention et jusqu'à présent la stratégie américaine ça a été c'est des gens de la Maison Blanche qui le disent ça a été d'employer la stratégie de la grenouille etbouillantée c'est quoi la grenouille ébouillantée vous mettez une casserole vous la remplissez d'eau vous mettez une grenouille dedans puis vous montez tout doucement la température et il y a une légende c'est une légende je suis pas spécialiste de de grenouille ni de cuisine mais de torture en tout cas il y a une légende qui dit que la grenouille ne va pas se rendre compte du moment critique du moment critique où en gros là B elle va s'ébouillanter et donc elle va mourir c'est une manière de c'est une métaphore pour parler de ce que j'appelle moi j'avais écrit sur le sujet l'art de la ligne rouge comment est-ce qu'on peut jouer avec les lignes rouges adverses mais c'est un jeu qui nécessite tout de même de ne pas se moquer de l'adversaire monsieur Poutine a certainement de vraies lignes rouges alors on peut dire qu'est-ce qu'il pourrait faire h il pourrait envahir l'Ukraine je crois que c'est déjà fait il pourrait frapper des centres des villes ukrainiennes je crois que ça se fait tous les jours il pourrait frapper des centres énergétiques malheureusement il l'a encore fait la semaine dernière mais de dire que il franchira jamais la ligne rouge absolue il y a deux lignes rouges absolu en fait il y en a une qui est pour nous pays de l'OTAN bah d'attaquer militairement et de manière visible un pays de l'OTAN ça c'est une ligne rouge qu' n'a jamais franchi qu'il respecte jusqu'à présent est-ce qu'il le fera toujours probablement mais on peut pas en être sûr et quand vous êtes Joe Biden ou Emmanuel Macron ou même Olaf Schol vous êtes obligé de tenir compte de cette possibilité une deuxième ligne rouge bien sûr vous en avez parlé très très longuement on on en parle tous c'est la ligne rouge du nucléaire j'ai toujours pensé pour l'instant heureusement j'ai pas été démenti que la ligne rouge russe dans ce domaine même dans la tête de Poutine était très très haute mais c'est vrai que celle-ci existe également voilà c'est une longue manière de dire que c'est on a raison de pas prendre toutes les déclarations russes au sérieux quand ils vous disent attention là ça va aller très mal attention je vais faire un malheur bon mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a aucune ligne rouge dans la tête de Vladimir Poutine