Reposez armes. Repos. Armes. Reposez armes. Repos. Garde-à-vous. Mesdames et messieurs
les ministres, mesdames et messieurs
les préfets, mesdames et messieurs
les parlementaires, monsieur le président
du conseil départemental, madame la maire, mesdames et messieurs
les maires et les élus, monsieur le chef
d'état-major des armées, monsieur
le directeur général de la Gendarmerie nationale, mesdames et messieurs
les officiers généraux, officiers, sous-officiers,
gendarmes, adjoints volontaires
et personnels civils de la Gendarmerie nationale, madame Brigitte Macron,
chères familles, mesdames et messieurs, deux gendarmes, la jeunesse et l'expérience, Melun et Satory, mais surtout
deux soldats de la loi au service
de la France. Deux militaires engagés
pour la France, engagés
pour la servir, engagés pour la mission. Deux de vos frères d'armes dont l'écho de la voix
résonne encore, dont les mots et les gestes
sont irremplaçables, dont le souvenir est gravé dans la mémoire
de leurs camarades, dans l'histoire
de la Gendarmerie nationale, dans l'âme de la France. Car oui, deux gendarmes
sont tombés parce qu'ils servaient
la République. Deux gendarmes sont tombés
pour rétablir l'ordre, pour protéger
nos concitoyens. Deux gendarmes sont tombés, portant l'uniforme
de la France, face aux émeutes
et aux violences. Pour les gendarmes mobiles,
la Nouvelle-Calédonie n'est jamais une mission
comme les autres. C'est une terre
que presque chacun a foulée, un jour ou l'autre,
au sein de son parcours. C'est un lieu qui marque, qui marque
par sa splendeur, d'abord. La splendeur d'un ciel à qui seul le bleu azur
semble convenir, de lagons
aux couleurs vives, de vallées et de cimes où la nature n'a perdu
aucun de ses droits. C'est un lieu
qui marque surtout par le poids
de l'histoire, car bien vite, tous les gendarmes
qui en foulent le sol sont rattrapés
par le poids du passé, rattrapés par la mémoire de troubles vifs
et d'affrontements féroces, rattrapés par le souvenir de la violence
des détonations, du crépitement
des incendies, rattrapés par la mémoire
encore vive de ceux
qui sont tombés ici. La Nouvelle-Calédonie, c'est comme un lien fort
et indestructible pour tous les gendarmes
qui en ont foulé le sol. Un lien qui dépasse
les grades, les âges, les missions. Un lien
qui ne s'estompe pas, qui ne s'estompe jamais,
même des années après. Major Xavier Salou, maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari. Depuis plusieurs jours déjà, les affrontements étaient
durs, constants, éprouvants. La violence soufflait
sur l'archipel. Une violence inouïe qui semblait ramener
le caillou 40 ans en arrière. Une violence sans borne,
sans distinction. Des magasins pillés,
des bâtiments incendiés, des barrages dressés, des femmes et des hommes
détroussés, des coups donnés,
assénés, des balles qui s'échangent,
des tirs qui partent, des blessés,
des morts. Voilà la réalité
de ce qu'affrontent depuis plusieurs jours,
sans discontinuer, gendarmes et policiers
de Nouvelle-Calédonie, forces de l'ordre. Ce mot n'a jamais pris
autant de sens, car c'est bien l'ordre
qu'il faut rétablir et rétablir vite, avant que la situation
ne dégénère encore. Car c'est bien l'ordre
qu'il faut rétablir pour laisser une place
et une chance au dialogue, pour retrouver l'espoir
de vivre ensemble auquel chaque violence
est un coup porté. Car c'est bien l'ordre
qu'il faut rétablir pour protéger toujours,
encore et toujours, les Calédoniennes
et les Calédoniens, premières victimes
de ces émeutes. Rétablir l'ordre, telle est la mission
des gendarmes mobiles. Le maréchal des logis-chef
Nicola Molinari n'avait que 22 ans. Le retour était proche
pour son escadron. Depuis janvier,
avec ses camarades de Melun, il arpentait les routes
de Nouvelle-Calédonie dans ce qui était
sa première mission hors de l'Hexagone. Il n'avait que 22 ans
et pourtant, déjà, il était un visage,
un nom, un pilier pour son escadron. Il avait déjà prouvé
sa valeur, son courage, son engagement
à toute épreuve. Et puis vint le 14 mai, le 14 mai
et cette mission pour garder l'un des derniers centres
commerciaux encore exempts
de pillage de tout le Grand Nouméa. Cette mission pour préserver
l'accès aux vivres, pour aider les populations. Face à lui,
face à ses frères d'armes, un acharnement,
un barrage dressé, la violence pour tenter
de faire reculer l'ordre, des rafales de tirs pour tenter de faire céder
les soldats de la loi, mais ils ne cèdent pas. La gendarmerie ne cède pas. La République ne cède pas. Puis vint le 15 mai. Depuis plus de 37 heures,
avec son groupe, le maréchal des logis-chef
Molinari tient fermement
sa position. Depuis plus de 37 heures, il tient, entre assauts
et fragiles accalmies. Depuis plus de 37 heures,
grâce à lui, grâce à ses camarades,
l'ordre tient. La fatigue n'existe plus
pour ceux qui sont guidés par le courage,
portés par la République. Le dialogue s'engage, calme. Ce dialogue,
il en était un maître, lui qui savait toujours
trouver le bon mot. Le dialogue s'engage et le maréchal
des logis-chef Molinari retire son casque, pour mieux entendre,
pour mieux écouter, pour mieux comprendre,
pour apaiser. Le dialogue s'engage
quand soudain, un coup de feu retentit. Un coup de feu vif, précis, qui vient briser le calme. Ce coup de feu,
lâcheté infinie, le vise et le tue. La riposte s'engage. Les affrontements
reprennent. Ses camarades, admirables, le prennent immédiatement
en charge, mais il est trop tard,
il est déjà trop tard. Le maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari emporte avec lui
une part de notre jeunesse. Cette jeunesse
qui trouve un sens dans le service
de la nation. Cette jeunesse si présente dans les casernes
de la gendarmerie, dans toutes
les forces armées qui se donnent
pour la France et s'engagent
pour la République, car gendarme,
il l'était pleinement, car militaire,
il l'était pleinement. Toujours prêt à agir,
toujours prêt à servir, toujours volontaire, même pour les tâches
les plus ardues, même pour les tâches
parfois ingrates. Le maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari emporte avec lui
des éclats de rire. Ces rires
qu'il savait provoquer même dans les situations
les plus graves, même dans les situations
les plus lourdes. Ces rires contagieux, cette joie de vivre
qu'il communiquait à toutes celles et ceux
qu'il croisait. Ces rires qui faisaient
de lui un camarade aimé, recherché, avec qui le temps
passait plus vite, avec qui la mission
semblait moins lourde. Ces éclats de rire qui ont
fait de lui « Moli », un pilier de l'unité, un confident, un ami, un camarade aux danses,
à l'appétit légendaire, mais un appétit
surtout de vivre, lui qui croquait la vie
à pleines dents. Le maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari emporte avec lui la passion. La passion
pour l'engagement, passion
pour la vie de jeune, pour la vie de son jeune
et prometteur escadron, passion pour sa famille,
ses parents, sa sœur, qui étaient tant pour lui, passion pour sa compagne qu'il avait hâte
de retrouver. Le maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari a porté haut
le drapeau de la France, porté haut les couleurs
de la République, et pour elle, il est tombé, tombé au bout
de sa mission. Le major Xavier Salou était le visage
de l'expérience. Il connaissait
la gendarmerie comme personne,
intimement. Elle était sa vie,
sa passion, son engagement. Elle était le destin
qu'il avait choisi. Il connaissait
la Nouvelle-Calédonie aussi. Il était arrivé avec ses frères d'armes
de Satori il y a quelques semaines
à peine, mais c'était
pour lui la huitième mission sur le sol calédonien. Cette Nouvelle-Calédonie,
il l'aimait. Il l'aimait pour sa beauté,
sa diversité. Il l'aimait
pour ses profondeurs, lui, l'amateur
inconditionnel de plongée, passion transmise
par son père, partagée avec son frère. Il l'aimait, parce que la mission
prenait tout son sens ici et qu'il pouvait
s'y consacrer tout entier. Nous sommes le 16 mai. Depuis des jours,
avec son détachement, le major Xavier Salou
est en première ligne. En première ligne pour défendre
la caserne Bailly face aux assauts incessants
des émeutiers. En première ligne pour protéger
nos services publics, pour veiller
à ce qu'ils perdurent, pour évacuer
les femmes enceintes, pour que la vie continue
sur le caillou. Nous sommes le 16 mai. Le soleil tombe
sur le Grand Nouméa. Soudain, on apprend que la brigade
de gendarmerie Saint-Michel est menacée. Ordre est donné
d'intervenir, de venir en renfort aux frères d'armes
assaillis. Alors que la caserne Bailly
se remet à peine d'un affrontement, le major Salou
s'apprête à repartir, à repartir, parce que telle
est la mission, à repartir,
parce qu'on ne laisse jamais un gendarme en danger, jamais un camarade
derrière soi. À bord de son blindé,
il monte le premier. Son véhicule sera en tête
de colonne et interviendra
en première ligne. Deux de ses frères d'arme
le suivent et montent
à leur tour. Soudain, alors
qu'il s'apprête à prendre le chemin du devoir,
sa radio ne passe pas. Un grésillement remplace
le son des voix. Alors, il sort le buste
de la tourelle du véhicule. Et là, un coup part. Un coup qui le touche. Ses camarades
se précipitent vers lui, lui portent secours,
mais en vain, car il est déjà trop tard. Major Xavier Salou, la gendarmerie,
le service de la France était pour lui une vocation. Suivant les traces
de son frère, il devient
élève gendarme et gravit un à un
les échelons. Spécialisé dans les blindés,
il était ce chef que l'on espère,
que l'on respecte, celui qui pousse
à se dépasser et qui transmet. Oui, transmettre,
c'était sa passion. Il était de ceux qui croient
en la jeunesse, de ceux qui prennent
du temps pour la comprendre, pour la conseiller,
pour la guider. Chaque nouvelle recrue
savait qu'elle pouvait compter sur lui et qu'il
prendrait toujours le temps pour expliquer,
pour former, pour aider. De la Nouvelle-Calédonie
à l'Hexagone, du Kosovo à Mayotte
ou à la Centrafrique, dans chaque mission,
il savait se montrer précieux, décisif,
déterminant. Il était un exemple
à suivre, connu pour sa bravoure
et pour sa maîtrise. Un exemple
à suivre, apprécié, respecté,
recherché. Car sa simple présence
rassurait. Il était heureux
de servir, portant avec fierté
l'uniforme de la gendarmerie. Heureux, si heureux
parmi les siens, auprès de sa compagne
Marie-Hélène, de ses enfants,
Lise et Jules, eux qu'il aimait tant, lui qui les aimait
passionnément. Aujourd'hui, c'est la nation
tout entière qui se tient
à leurs côtés. À travers les missions
et les continents, jusqu'à
son dernier souffle, le major Xavier Salou,
lui aussi, a fait honneur à
notre drapeau, honneur à la République. Notre reconnaissance
est infinie. Officiers,
sous-officiers, gendarmes
adjoints volontaires et personnels civils
de la gendarmerie, la Gendarmerie nationale,
c'est un idéal, celui de s'engager
pour son pays, celui de tout sacrifier
parce que rien n'est plus important
que la vie et la sûreté
de ses concitoyens, celui d'intervenir
aussi partout en France
ou à l'étranger, là où la situation demande
de la compétence, de l'engagement,
du cœur. C'est un idéal français,
tellement français. Un mélange
de grandeur d'âme et d'humilité, de courage
et de fidélité. Un lien unique
avec nos concitoyens. Visage de la loi
partout sur le territoire, visage
du service, partout où nos concitoyens
en ont besoin, visage de la mission,
toujours, pour protéger, pour veiller à la sérénité
de la France, à la sécurité
des Français. Toutes et tous,
chacun dans leur mission, depuis la mobile
jusqu'aux brigades de la départementale,
depuis le cœur de notre Hexagone jusqu'aux
confins de nos outre-mers, la Gendarmerie nationale
veille sur la France, et chaque jour,
notre pays se sait plus sûr, plus fort, grâce
à la Gendarmerie nationale, grâce aux femmes
et aux hommes qui servent
sous son uniforme. Oui, la gendarmerie,
c'est un idéal, un idéal qui pousse
des jeunes hommes et des jeunes
femmes à servir sous le drapeau,
sur le drapeau, à protéger notre pays
et nos compatriotes, sur tout notre
territoire national et à l'extérieur
de nos frontières. C'est un idéal qui place
la force morale, l'action au service
des autres et au service de la patrie
au-dessus de tout. Le major Xavier Salou,
le maréchal des logis-chef Nicolas Molinari
ont été les soldats de cet idéal jusqu'au bout
de l'engagement, jusqu'au sacrifice ultime. Aujourd'hui,
en Nouvelle-Calédonie, la mission continue. Là-bas,
leurs frères d'armes, les femmes et les hommes
de la gendarmerie, sont toujours à pied d'œuvre
pour veiller au retour au calme.
La mission continue. Et s'ils restent
sur le qui vive, courageux, vigilants,
aux côtés des forces de police, aux côtés
des forces armées, la mission continue,
portée par leur souvenir, car en Nouvelle-Calédonie,
les conseils du major Salou guident
ses frères d'armes, et certains,
vérifiant leurs blindés avant de prendre la route,
semblent encore entendre le son de sa voix. Car partout en France,
des dizaines de jeunes qu'il avait pris
sous son aile font vivre
ses enseignements, honorent sa mémoire. La mission continue,
aidée par leur souvenir, car en Nouvelle-Calédonie,
des femmes et des hommes tiennent bon en pensant
à une de ces danses, un de ces mots,
un de ces conseils du maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari. Des femmes et des hommes
tiennent, inspirés par son courage,
son esprit de sacrifice et son dévouement. Car à
Saint-Paul-Trois-Châteaux, Romans-sur-Isère,
Montluçon, et bien sûr à Melun,
il lègue à ses frères d'armes
une trempe, un tempérament,
un esprit de corps et une volonté
de dépassement. La mission continue
parce qu'il reste des femmes et des hommes
à protéger, parce qu'il reste
l'ordre à rétablir. La situation aujourd'hui
reste extrêmement fragile en
Nouvelle-Calédonie. Un rien peut la faire
vaciller. Mais si nous savons
une chose, une chose avec certitude,
c'est que ce déchaînement de violence
détruit et déchire, que ce déchaînement
de violence ne résoudra jamais rien,
c'est que les voies du dialogue seront toujours
couvertes par le bruit des émeutes
et que le consensus ne peut se trouver
quand le désordre règne. Alors, sous l'autorité du
président de la République, avec le ministre
de l'Intérieur et des Outre-mers,
avec l'ensemble de mon gouvernement,
c'est notre premier combat, notre première mission :
rétablir le calme, obtenir l'apaisement,
l'apaisement préalable essentiel pour construire
l'avenir du Caillou. Cet apaisement, ce dialogue,
c'est celui auquel œuvre le président
de la République en se rendant sur place,
en écoutant les acteurs, en créant les conditions
du dialogue. C'est notre mission, notre volonté,
notre objectif. C'est le chemin
pour dessiner l'avenir de la Nouvelle-Calédonie,
et pour l'atteindre, nous savons
ce que nous devons. Nous savons
ce que nous devons. La République
sait ce qu'elle doit aux forces de l'ordre,
aux soldats de la loi qui s'engagent pour servir,
qui s'engagent pour ramener l'ordre,
qui s'engagent pour que force aille
toujours à la loi. Major Xavier Salou, maréchal des logis-chef
Nicola Molinari, je veux vous faire
une promesse. Nous serons au rendez-vous. Nous puiseront
dans votre exemple la force de continuer
la mission. Nous garderons dans le cœur
votre soif de servir. Nous ferons vivre votre
engagement et vos valeurs, les valeurs pour lesquelles
vous avez servi, les valeurs pour lesquelles
vous êtes tombés. C'est ainsi,
je le crois, que nous pourrons honorer
dignement votre mémoire. Vive la Gendarmerie
nationale. Vive la République
et vive la France. Le général d'armée
Christian Rodriguez va maintenant
remettre la médaille de la Gendarmerie
nationale avec palmes de bronze
au major Xavier Salou puis au maréchal des
logis-chef Nicolas Molinari. Major Xavier Salou,
au nom du ministre des Armées, nous vous
décernons la médaille de la Gendarmerie nationale
avec palmes de bronze. Maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari, au nom du ministre
des Armées, nous vous décernons
la médaille de la gendarmerie
avec palmes de bronze. Monsieur Gabriel Attal
va maintenant remettre la médaille militaire
au major Xavier Salou, puis au maréchal des
logis-chef Nicolas Molinari. Major Xavier Salou,
au nom du président de la République,
nous vous conférons la médaille militaire. Maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari, au nom du président
de la République, nous vous conférons
la médaille militaire. Monsieur Gabriel Attal
va maintenant remettre l'insigne de chevalier
de la Légion d'honneur au major Xavier Salou,
puis au maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari. Major Xavier Salou,
au nom du président de la République
et en vertu des pouvoirs qui nous sont conférés,
nous vous faisons Chevalier de la Légion
d'honneur. Maréchal des logis-chef
Nicolas Molinari, au nom du président
de la République et en vertu des pouvoirs
qui nous sont conférés, nous vous faisons Chevalier
de la Légion d'honneur.
475
00:34:28,120 --> 00:34:28,1120
Fermez le ban. Aux morts. Reposez armes. Repos. Garde à vous. Présentez armes. Reposez armes. Repos. Garde à vous. Présentez armes. Les honneurs militaires
ont été rendus par la gendarmerie mobile, le drapeau de la région
de gendarmerie d’Île-de-France,
un peloton du Groupement blindé
de la gendarmerie mobile, un peloton du Groupement
de gendarmerie mobile II/1 de Maisons-Alfort, une des sections
de la Garde Républicaine, et un peloton de la
gendarmerie départementale d’Île-de-France,
l'ensemble étant commandé par la colonel
Laurent Lambert, commandant en second
le groupement blindé. Merci, mon colonel. Reposez armes. Repos.
Bien, monsieur
le premier ministre, cher gabriel, tout d'abord,
bienvenue à matignon. au moment où
je te passe le relais, je voudrais d'abord dire
toute ma reconnaissance. ma reconnaissance au président
de la république, bien sûr, qui m'a fait confiance
depuis 2017, et je suis fière d'avoir,
à ses côtés,... Read more
Bonjour. - bonjour.
- bonjour. bonjour,
comment vous vous appelez ? manuel et lui,
c'est liam. moi, c'est liam. tu veux prendre une photo
avec moi, peut-être ? - oh, ouais.
- oh ouais ! on va prendre un selfie.
tu vas te débrouiller. tu sais comment tu fais ?
non, tu sais plus ? - mais si, ils savent... Read more
Voilà. monsieur le premier
ministre, bonjour. je suis très impressionné
par votre nombre et l'intérêt que vous portez
à l'énergie solaire. qu'est-ce que vous vouliez
dire aux français, en venant ici, précisément,
aujourd'hui ? il y a plusieurs choses
que signifie cette visite ici,
à technolac et en... Read more
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