Aurore Bergé dans le Grand Rendez-Vous Europe 1 CNEWS du 1 septembre 2024 (intégrale)

bonjour bienvenue à tous bienvenue pour ce premier grand rendez-vous europeinc news les échos de la saison bonjour Auror berger merci d'être avec nous c'est votre grand rendez-vous vous êtes ministre démissionnaire chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discrimination vous êtes au cœur d'une situation inédite dans la 5e République en tout cas sur un temps aussi long celle d'un gouvernement démissionnair qui gère les affaires courantes alors que depuis le 8 juillet dernier la France attend la formation d'un nouveau gouvernement dirigé par un nouveau Premier ministre les Français ont été excessivement nombreux à se déplacer aux urnes pour provoquer une alternance au retour de l'été non seulement il se retrouve dans cette situation inédite mais la France va mal l'économie la sécurité l'antisémitisme malgré deux parenthèses Olympiques pour vous interroger avec moi ce matin Christophe jacubisine du journal les écho bonjour Christophe et Mathieu bocoté bonjour mathieuon bonjour or berger vous êtes une proche du président a-t-il arrêté son choix et connaissez-vous celle ou celui qui irit à Matignon c'est le président qui le décidera et c'est le président qui le dira et l'annoncera vous imaginez bien que c'est un choix qui est extrêmement difficile beaucoup plus difficile en vérité que tous les autres premier ministres qu'il a eu à nommer déjà parce qu'on a fait un constat très clair c'est que nous avons perdu les élections législatives il faut avoir l'honnêteté de le reconnaître ce qui veut dire que le futur premier ministre ne peut pas être issu de nos rang on l'a dit nous immédiatement donc il il ne va pas nommer un proche à Matignon il va nommer quelqu'un qui doit pouvoir permettre en effet une alternance politique la question mais ça c'est un dogme ou malgré 41 % des Français qui placent en premier Gabriel Atal comme souhait de nouveau premier peut-être parce qu'il y a aussi la peur de qui pourrait être nommé et donc quelleautre politique pourrait être menée je crois qu'il y a aussi ça dans ce que disent les Français parce qu'en il y a plusieurs enseignements des élections législativ il à la fois une mobilisation extrêmement importante très rassurante d'ailleurs pour la vie politique et démocratique de notre pays il y a les enseignements du 30 juin le RN qui arrive largement en tête le 30 juin et puis un front républicain qu'on disait moribon qui se remet en place au moment du 7 juillet donc au final beaucoup de députés aussi qui ont été dans des duels élus non pas pour mais élu contre le le rassemblement national donc c'est pour ça aussi qu'il faut être très vigilant dans ceux qui disent on a gagné notamment le nouveau front populaire la gauche qui aimerait faire croire à cette fable de on a gagné non c'est le premier bloc aujourd'hui au sein de l'assemblée nation mais dans l'incapacité totale de s'élargir et la plupart des députés d'ailleurs de leur bloc ont été élus contre le rassemblement national mais alors on a du mal à comprendre vous dites c'est pas quelqu'un qui doit être proche du président donc ça veut dire parce que les Français on est un peu perdu ça veut dire que c'est quelqu'un de la gauche ou quelqu'un de la droite on a l'impression que chaque jour un coup on a un PM possible de gauche un coup on a un PM possible de droite c'est pas la même chose quandme non mais c'est sûr que c'est pas la même chose de manière assez évidente et d'ailleurs quand moi souvent on pose la question puisque je suis à la fois ministre et c'est toute la particularité de cette situation j'ai été réélu député s si vous êtes député demain il va se passer quoi est-ce que vous censurez moi j'ai dit une règle simple on a heureusement écarté le risque la présence de la France insoumise dans un gouvernement parce que là il y avait une censure pour moi par principe qui devait pouvoir exister qui est on aura un nouveau Premier ministre qui prononcera ce qu'on appelle une déclaration de politique générale et c'est à l'Ô de cette déclaration de politique générale qu'on jugera si ce premier ministre peut avoir la confiance le soutien des députés y compris des députés du Bloc central ou s'il ne mérite pas cette confiance c'estàdire que si on a un Premier ministre qui dit demain abrogation on parlait de la loi antisquat abrogation antisquat abrogation de la loi des retraites abrogation de la loi immigration pr NFP vous avez mentionné vousé LFI au pouvoir certainement pas mais diriez-vous comme d'autres le programme du NFP certainement pas non plus ah mais ça c'est une certitude le programme du NFP aujourd'hui c'est ce que je dis taxation et abrogation vous disiez la France va mal en vérité sur un plan économique heureusement il y a des il y a des choses qui vont bien dans notre pays la dette c'est un vrai sujet et on va en reparler parce que le budget qu'on aura à construire le budget que le nouveau gouvernement aura à construire sera sans doute le budget le plus difficile qu'on a eu à construire dans un moment qui risque être plutôt un appel à la démagogie au populisme ce qui en général l'inverse des enjeux budgétaires que nous aurons en revanche sur la question de la maîtrise des prix et de l'inflation sur la question de l'attractivité de notre pays des investissements internationaux sur la question de l'emplo lo on est un pays qui va bien donc ça veut dire qu'on a justement des éléments économiques qu'il faut qu'on garde absolument on a besoin de cette stabilité là donc c'est sûr que si on rompait complètement avec cette ligne économique par à la fois une hausse massive de l'imposition qu'elle soit sur les ménages qu'elle soit sur les entreprises avec la question de la hausse du SMIC qui en vérité n'augmenterait pas le pouvoir d'achat des Français mais quiurait niveler par le bas et bien oui c'est un gouvernement qui les Français Aurore berger nous avons Nicolas qui dans le Figaro disait la France est de droite nous avons des élections européennes qui ont montré que les Français ont voté rassemblement national nous avons des élections législatives qui avec effectivement les ajustements qui ont pu être fait entre les deux tours ont voté plutôt nouveau front populaire comment est-ce que vous y retrouvez làdedans et est-ce que vous êtes d'accord d'abord avec Nicolas Sarkozi qui dit que la France est de droite en tout cas elle est pas très à gauche bon c'est une rép cro non mais je je moi je crois pas à la fable qui est que les Français auraient souhaité par ces élections législative nous forçit à une grande coalition les Français qui ont voté rassemblement national espèrent le rassemblement national au pouvoir les Français qui ont voté NFP espèrent la gauche au pouvoir les Français qui ont voté pour le bloc central espèrent que nous puissions rester mais nous sommes condamnés dé facto par la composition de l'Assemblée nationale à faire en sorte que nous ne soyons pas chacun dans notre couloir mais qu'on arrive à travailler ensemble la question c'est comment on arrive à travailler ensemble sans perdre des enjeux pour moi de stabilité économique et de cohérence politique parce que une grande coalition sans plus aucune cohérence politique ça pour moi c'est une autoroute pour le rassemblement national et ça n'est pas ce qu'on doit évidemment provoquer on a la nécessité de partir des priorités des Français et là-dessus on a tous entendu les mêmes messages pendant les élections législative la question des salaires du pouvoir d'achat la question du logement la question des services publics et la question d'un régalien qui soit fort notamment sur la question de la justice et de la justice pén quand on vous écoute on se dit mais on n'est pas prêt d'avoir un gouvernement ni même une majorité pour soutenir parce que vous dites des choses enfin qui sont un peu irréconciliables en tout cas aujourd'hui vous dites d'abord les Français veulent pas de coalition il il y a ceux qui sont très à droite ceux qui sont très à gauche personne ne veut une coalition centrale et vous dites le job du président de la République c'est de trouver un gouvernement qui puisse constituer une coalition à l'assemblé parce que malheureusement c'est la réalité qui est face à nous les français quand ils votent aux élections législatives les 30 juin et 7 juillet votent pour un député dans leur circonscription vote pour un parti politique il va pas pour un patchwork il se trouve qu'à l'issue de C ement va être doulourux ça veut dire qu'on va avoir un gouvernement il va être censuré on en aura un autre il sera encore censuré on va faire ça combien de temps on se dirige vers une 4è République dans la c'est la raison pour laquelle les mêmes qui disent c'est trop long quand on regarde le niveau de contrainte qui pèse sur le choix du Premier ministre et ensuite sur la composition d'un gouvernement ben non je crois pas que ce soit trop long parce que l'enjeu de cette nomination de ce nouveau Premier ministre de en quoi est-ce qu'il pourrait être accepté par une une majorité en tout cas par refusé par une majorité à l'Assemblée nationale et quelle est ensuite la cohérence politique de l'action va PIR retarder cette ce ce ce crash test en Espagne les les différentes coalitions elles ont pris entre 2 et 4 mois en Allemagne entre 2 mois et demi et 5 mois et demi en Allemagne ça prend toujours plus de temps vous le savez très bien sy don des exemples beaucoup plus longs en Belgique autre donc nous on est juste pas habitué dans notre culture politique parce qu'on est habitué à avoir des majorités des majorités relatives mais larges ou des MAJ é absolue donc il y a pas d'ambigué et a des choix politiques après à faire au sein des différents partis ce que j'attends c'est aussi de la responsabilité de la part des partis politiques eux mêmes on peut pas avoir la gauche qui nous dit si vous nommez quelqu'un de gauche on le censure et on peut pas non plus avoir Laurent voquet qui dit si vous nommez quelqu'un de droite on s c'est quand même pas CÉR est-ce que nous sommes en ce moment dans une logique de double front républicain c'est-à-dire au moment du vote tout tout sauf le RN et une fois que l'assemblée est composée il y a cette idée tout sauf un gouvernement du NFP donc finalement le le l'espace à partir duquel construire un gouvernement est assez limité ben l'espace c'est aussi ce que nous ont choisi et les lignes rouges qu'on fixe de manière évidente euh les Français ont écarté le fait que le rassemblement national puisse gouverner donc la question ne se pose pas de savoir si aujourd'hui le le rassemblement national extade pourrait gouverner et ensuite nous on a posé une ligne rouge très claire on n'a pas été les seuls à le faire il y a une majorité de députés à l'Assemblée nationale qui ont d'ici à la moindre participation d'un ministre même d'un sous-secrétaire d'État LFI il y aura une censure immédiate donc à partir de là président de la République il en a tiré les les conséquences de ces consultations en disant mais attendez c'est déjà par principe j'ai 350 députés qui disent on censurera on peut pas prendre le risque de nommer quelqu'un qui soit mettrait au sein du gouvernement des membr de la France insoumis soit appliquerait le projet de la France insoumis et en plus au sein même du camp présidentiel il y a deux camps si j'ai compris il y a le camp borne et le camp hatal vous êtes du quel ou là là ça ça n'a rien à voir il y a des questions si parce que vous allez continuer à faire de la politique et sans doute dans un camp celui qu'on appelle encore le camp présidentiel qui lui-même est divisé donc je vous demande par c'est c'est des choses qui sont ches qui sont vent différent il peut-être une question qui se posera sur l'avenir du parti politique et le parti politique Renaissance chaque chose en son temps je crois que l'urgence aujourd'hui pour notre pays encore une fois c'est de garantir de la stabilité la stabilité politique institutionnelle économique et d'agir sur les priorités qui nous ont été rappelées par les Français 7 juillet la question de Pierre elle est légitime parce que vous étiez lundi 22 juillet à la réunion secrète autour de Géral pourou ou candate face à Gabri pour parti présidentiel vous avez finalement décidé de de de pousserisabeth borne à être candidate face à Gabriel Atal même le parti présidentiel est donc divisé et vous êtes donc dans le corne non mais attendez il y a pas de de division nous la grande différence avec d'autres partis politique c'est qu'on a des élections on a des élections vous voyez il y a pas l'onction divine qui ferait que un tel ou une tel serait par principe président du parti ça existe dans d'autres formations politiques c'est pas le cas nous on aura une élection avant la fin de l'année et et moi j'ai eu la chance de servir et d'être d'abord ministre avec ellisabeth borne et c'est vrai que nous sommes proches parce que c'est quelqu'un je trouve qui a cette qualité de femme d'État et dont on a besoin et qui a dit tout de suite qu'elle souhaitait écoutez je crois qu'elle a mené des réformes qui seraiit pas forcément classé à gauche je sais pas cette classification encore sens en tout cas elle a porté la réforme des retraites elle a porté avec Gérald armmanin la réforme desmigration Gabri non mais la question elle se pose pas comme ça Gabriel Atal il est président de groupe moi je suis ravi que soit le président de groupe parce que je crois que le fait d'avoir justement un ancien Premier ministre enfin actuel et ancien Premier ministre un peu compliqué président de groupes parlementairire et peut-être une ancienne premierre ministre qui soit présidente de parti je crois que ça démontrerait quand même la crédibilité que nous avons Aurore berger est l'invité du Grand Rendez-vous europein C news à tout de suite retour sur le plateau du grand rendez-vous sur Europe 1 et sur C news en partenariat avec les échobergers l'absence de gouvernement de Premier ministre et surtout devrait-on dire peut-être de ministre des finance inquiète bien au-delà du du casting des noms avancés de la droite ou de la gauche vis-à-vis de l'UR vis-à-vis de l'international vis-à-vis de la guerre en Ukraine et donc de la Russie de Vladimir Poutine Nicolas Sarkozi le dit il ne faut pas trop tarder avant de tomber dans une crise qui pourrait devenir encore plus grave a-t-il raison il a raison qu'on aura sans doute le budget le plus compliqué à construire on a demander des économies budgétaires à l'ensemble des ministres ce qui est jamais le plus simple moi je l'ai vécu aussi en tant que membre du gouvernement et forcément quand on vous demande des économies au premier réflexe n'est pas de dire merci mais c'est une nécessité parce qu'on voit bien évidemment l'enjeu qui est le autre sur la dépense publique une forme d'addiction à la dépense publique dont on a du mal à à sortir et il va falloir en sortir à la fois sur les enjeux de défficacité de la dépense publique et de baisse de cette dépense publique donc tous les ministères y compris les ministères égaliens la santé la la défense et Cera sont justement les arbitrages qui devront être rendus on a fait sur les grands ministères régaliens ce qu'on appelle des lois de programmation lois de programmation qui donneent de la visibilité notamment sur la question de la sécurité intérieure la question des gendarmeries des brigades de gendarmerie supplémentaire pour garantir la présence aussi des forces de l'ordre dans l'ensemble des territoires vous le savez la loi de programmation militaire aussi parce que ce sont des investissements qui prennent énormément de temps et on a besoin de donner cette visibilité à nos forces armées donc c'est protégé évidemment grâce à ces lois de programmation après oui on aura des choix difficiles à faire mais est-ce qu'il y a pas justement une une responsabilité du chef de l'État parce que vous le disiez très justement on est très observé par les investisseurs internationaux on est placé en procédure de déficit excessif depuis le mois de juillet on doit d'ici le 20 septembre expliquer à la Commission européenne ce qu'on compte faire pour retrouver des comptes plus raisonnables pour rentrer un peu revenir dans les rails euh le fait d'attendre vous dision il faut faire comme les Allemands faut faire comme enfin on n' pas le temps le 20 septembre c'est demain si on attend de 3 qu mois pour former un gouvernement on risque d'avoir des T d'intérêts qui monent c'est déjà le cas 70 points de base d'écart avec le taux d'intérêt allemand ça veut dire des crédits plus chers des crédits immobiliers plus chers des crédits pour pour les entreprises pour investir plus cher euh est-ce qu'on met pas en danger le pays bah on mettrait en danger le pays en acceptant n'importe qui comme premier ministre et en acceptant n'importe quel gouvernement et n'importe quelle politique économique et c'est la raison pour laquelle le programme du NFP c'était la question que vous posiez au-delà de la présence des LFI est-ce que le programme du NFP s'il était appliqué tout leur programme ferait courir ou non un risque au pays oui ça ferait courir un risque économique au pays et d'ailleurs vous savez bien qu'après les élections législatives qu'elle a été le premier réflexe des acteurs économiques dans notre pays c'est de mettre sur pause c'est de pas prendre de risque en disant si jamais c'est tel gouvernement qui devait être nommé qui devait prendre les reenes du pays et bien on a une véritables inquiétudes à la fois sur les enjeux de taxation de nos entreprises la question des salaires et encore une fois je pense que la question des salair elle est primordiale mais qu'elle ne se résume pas à la question du SMIC on est passé de 2 millions à 3 millions de Français aujourd'hui qui sont au niveau du SMIC et on voit bien que ça n'a pas permis d'augmenter le pouvoir d'achat des Français donc ça c'est une vraie question sociale qu'on aura tranché mais qui ne doit pas se faire au détriment de l'emploi et au détriment de l'attractivité je me permets de faire le lien de politique et économie euh plusieurs dit je ne sais pas si c'est votre cas aussi que une une prochaine dissolution est quasiment inévitable dans un an dans un peu moins d'un an est-ce qu'un gouvernement qui est premier au destin assez bref peut engager les réformes nécessaires ou ce ne sera pas simplement un gouvernement de gestion des affaires courantes quel que soit le premier ministre moi je suis pas certaine qu'il a une nouvelle dissolution ça c'est le président de la République qui de manière souveraine en décidera moi je crois surtout qu'il faudrait éviter qu'il a une nouvelle dis je suis pas certaine que probable je peux pas je suis pas devin je je pense juste qu'une nouvelle dissolution ne permettrait peut-être pas de garantir plus de clarté ou plus de clarification on a eu cette dissolution que le Président de la République a décidé pourquoi parce qu'il pouvait pas être sour au résultats des élections européennes et donc il a demandé aux Français de trancher d'arbitrer et on voit bien qu'en fait l'arbitrage qui éé fait par les Français nous place dans une situation inédite et extrêmement difficile est-ce que ce serait une situation moins difficile dans une nouvelle dissolution je crois pas je pense par contre que si en tant que député individuellement on est tous obsédés par l'idée qu' est une nouvelle des solutions dans un an alors oui là c'est certain on est condamné à l'inaction parce que personne n' intérêt à s'entendre avec le camp adverse personne n'a intérêt à prendre des mesures qui sont difficiles si on est obsédé par le simple fait que dans 10 mois ou 11 mois on reparte en campagne dans notre circonscription donc je pense qu'il faut qu'on se débarrasse de ça qu'on se dise que on est là normalement va se dire pour un mandat de 5 ans mais il y a une élection présidentielle dans 3 ans donc espérons être là pour les trois prochaines années avec cette configuration là et on doit travailler encore une fois sur les priorités des Français et dans ces priorités on peut pas oublier la question budgétaire et la question de notre dette et de nos déf christop jacizine et Berg vous l'avez dit la question du pouvoir d'achat il y a une proposition du medf ces jours derniers sur l'allègement des charges pour justement les les salariés au SPIC vous l'avez redit ils sont 3 millions l'allègement des cotisations sociales qui reste à peu près encore de 350 € pour un SMIC l'idée c'est de supprimer ces cotisations et en échange parce qu'on va pas creuser les la dette et les déficites en échange le retour de la fameuse CBA social par exemple un point de TVA permettrait de financer l'allègement des charges sur le SMIC est-ce que vous trouvez que c'est une bonne idée le problème de la TVA c'est qu'elle vous permet pas de résoudre la question du pouvoir d'achat des Français au contraire elle a un impact direct sur la question du pouvoir d'achat des Fran fort que 350 € de plus pour un salarie osmic oui mais moi je pense que le problème c'est qu'on a aujourd'hui trop de Français qui sont auos SMIC sans compter qu'on a aujourd'hui un certain nombre de branches professionnelles où ils ont beaucoup d'échelons qui sont encore bloqués sous le SMIC c'est c'est un peu toute l'ambigué de la situation personne n'est payé sous le SMIC mais on a des Français qui sont dans des échelons très très bas et qui doivent parfois espérer attendre C échelons 10 échelons avant d'arriver à ce niveau-là et c'est ça qui est insupportable c'est qu'on a des Français qui se disent en fait à quoi ça sert de bosser Si au mieux dans 10 ans j'ai la même situation économique donc c'est ça qu'on doit réussir à résoudre c'est pour ça qu'on doit avoir je pense une vraie conférence sociale avec l'ensemble des partenaires sociaux patronaux et salariés le futur gouvernement associé l'assemblée à ça de manière à ce qu'on parle non pas juste du SMIC sur lequel on polarise toutes les discussions aujourd'hui mais vraiment de la question des salaires de la progression évidemment des salaires mais ça c'est une une question à long terme c'est-à-dire que je je me souviens encore de Madame toraval la la mère de roman sir à chaque fois qu'il y a un problème on nous propose un Grenel là vous proposez une grande conférence sociale les Français n'ont pas le temps ils ont attendu un gouvernement pendant de moi ils l'ont toujours pas le MF termine berger le meddef a dit effectivement que il y aurait une pause en attendant ça veut dire une pause dans les embauches ça veut dire une pause dans le renouvellement des emplois ça veut une pause dans peut-être les les carrières au sein même d'une entreprise on n' pas le temps aujourd'hui de faire une conférence sociale il faut avancer non mais c'est évident que quand vous avez de l'incertitude les acteurs économiques c'est ce que j'ai disais tout à l'heure la première réaction c'est de mettre sur puse c'est ça n'est pas d'avoir de nouveaux investissements par exemple dans notre pays ou de nouveaux investissements dans leurs propres entreprises ou nouvelles embauches c'est évidemment légitime c'est le sérieux des acteurs économiques évidemment de le faire en revanche à partir du moment où un nouveau gouvernement seraitformé je l'espère le plus rapidement possible et c'est à ça que tout le monde travaille et œuvre et bien je pense qu'il faut immédiatement cette conférence sociale parce qu'on doit poser la question des salaires quand les Français parlent du pouvoir d'achat il y a deux sujets dans le pouvoir d'achat il y a les dépenses contraintes notamment la question du logement ce qui pèse sur vos dépenses et il y a la question du salaire du revenu et aujourd'hui on voit bien que le salaire n'augmente pas suffisamment et donc c'est ça évidemment la question principale sociale qu'on doit avoir qui à mon avis bien plus importante pour des millions de Français que la question du SMIC personne n'a envie d'être au SMIC dans sa vie le SMIC doit être un point de départ doit pas être un point d'arrivée qui fait que pendant 5 ans pendant 10 ans vous êtes bloqué à ce seuil là vous avez le droit à une progression dans vos carrières et donc c'est ça qu'on doit pouvoir garantir et ça ça ne se fait fait que dans la confiance avec les acteurs économiques que dans la confiance avec les partenaires sociaux et c'est pour ça qu'il faut engager ce travail je pense très rapidement ma côé mais est-ce qu'il a pas un décalage immense entre d'un côté un gouvernement qui à cause de la composition même de l'assemblée sera limité dans ses possibilités d'action quelle que soit son orientation et de l'autre côté l'ampleur des défis que vous reconnaissez que d'autres identifient pour la France donc d'un côté des défis immenses qui exiger un gouvernement capable d'action forte résolue et de l'autre côté le gouvernement paralysé de ce point de vue est-ce que la crise n pas appelée à durer c'est vrai qu'on a cette Igé ce risque mais ça ça va être le rôle aussi à la fois du gouvernement c'est-à-dire quelle est la méthode d'action qu'il va mettre en place comment il associe le Parlement comment il associe les partenaires sociaux les partenaires et les acteurs économiques et institutionnels de ce pays et la responsabilité des parlementaires si chacun est figé dans son couloir si la seule obsession des députés est de dire quand est-ce que je peux appuyer sur le bouton pour censurer le gouvernement mais c'est sûr que personne n'avancera et à la fin qui sera comptable nous tous estce a pas différence son comptable des diagnostics entre ce que dit la gauche entre ce que dit le RN en ce que dit le bloc central ou la droite classique j'ai l'impression que la lecture même du pays n'est pas du tout la même le désaccord est pas sur les objectifs il est même sur la lecture du réel je pense que la lecture du réel en effet elle est extrêmement différente après quand moi je je vois ce que j'ai entendu dans dans ma propre campagne et ce que j'ai entendu de retour des députés quel qu'ils soi quel que soit leur territoire il y a quand même des points de convergence encore une fois la question dite du pouvoir d'achat qui est pour moi d'abord la question des salaires qui doit être pososé la question régalienne je pense qu'on va en reparler parce que malheureusement on a vu ces derniers jours des des drames dans notre pays on peut pas à un moment se se cacher les yeux et avoir des ornières sur des enjeux essentiels notamment sur la réponse pénale qui doit pouvoir y être apportée donc encore une fois un gouvernement qui ne dirait que taxation et abrogation forcément et condamné à l'échec et de la même manière des députés qui seraient uniquement obsédés soit par leur futures réélection si nouvell dissolution soit par l'idée de censurer le gouvernement bah condamnerait le gouvernement à l'échec donc ça va être ce pas de deux totalement nouveau totalement nouveau qu'il va falloir inventer hor berger on va se retrouver dans un instant et effectivement parler du régulien de la justice la phrase de la semaine c'est peut-être celle de la de la veuve de l'adjudant commine qui a dit 1981 n'urait pas dû exister on va vous demander ce que vous y avez compris dans cette phrase et puis euh cette petite fille qui a été renversé par un motard faisant un rodéo urbain à valoris aujourd'hui le papa met en ligne cette image sur les réseaux sociaux avec les images de sa petite fille qui il l'a dit sans doute ne reviendrait pas parmi nous merci la justice française à partir de demain les citoyens qui n'ont pas été arrêtés en flagrant délit ils savent qu'ils peuvent rouler comme ils veulent faire les fous sur la route tuer aucun respect pour notre fille ni pour nous-même vous allez réagir dans un instant sur ces news news et sur Europe invité du Grand Rendez-vous europein c'est news les échos ce matin Aurore berger ministre démissionnaire chargé de l'égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations deux drames deux drames terribles la semaine qui vient de s'écouler d'abord celle de la mort de la judant comine en début de semaine lors d'un contrôle routier un chauffard qui a fait un des 25000 refus d'obtempéré répertorié chaque année et puis question Aurore berger qu'est-ce qu'on fait contre des chauffard comme ce jeune amoto qui a fauché la la petite fille à valoris on a vu et entendu la déclaration du papa ce matin sur les réseaux sociaux et qui je le précise reste libre même s'il est sous contrôle judiciaire alors le parquet a fait appel he immédiatement de de cette décision je pense que c'est très important de de le dire en demandant à ce qu'il soit pas uniquement sous contrôle judiciaire mais qu'il puisse avoir attendant détion non mais le parquet ça veut dire voilà il y a l'action de l'État immédiate pour dire on souit faire appel de cette décision et je crois que c'est très important aussi de de de de rappeler cela j'ai c'est des drames qui sont absolument épouvantable et je pense qu'on a tous été extrêmement ému par la déclaration de de la veuve de l'AD judan qui s'est qui s'est exprimé et qui c'est d'abord un cri de douleur d'une femme qui vient de perdre son mari qui vient de perdre le père de ses enfants c'est d'abord cette cette expression là ça pose ensuite la question sur qu'est-ce qui aurait pu être fait ou qu'est-ce qu'on peut faire aujourd'hui il y a une chose fondamentale qui a changé au regard du du parcours de celui qui a a commis cet acte c'est qu'il était entré en France de manière légale il était entré en France quand il avait 7 ans aujourd'hui parce qu'on a changé la loi cette fameuse loi immigration que certains voudraient abroger et bien ça veut dire que cette personne pourrait être expulsable c'est-à- direire avant avant cet acte odieux et ce refus d'obtempérer il y avait un certain nombre va dire de petits délits ces petits délits avant la loi immigration ne permettait pas ne permettait pas de l'exation quand même éentrance avant après la imigration le fait qu'il commis délits et cdlit a fait l'objet de condamnation permet permet de l'expulser donc ça ça veut dire que la loi elle est utile et qu'elle était nécessaire à changer elle est ule appqué l'occurrence elle n'a pas été appliquéelle tout simplement parce qu'elle est entrée en vigueur vous voyez bien après que ces délit ét commis donc à partir de maintenant et c'est un message très clair à envoyer à celles et ceux qui sont entrés dans notre pays y compris avant l'âge de leur 13 ans il y a plus ces mesures dites de protection qui existaient ce qui compte c'est les actes que vous commettez dans notre pays et si vous commettez ces actesl si vous commettez ces délits alors vous n'avez pas vocation à rester et vous pouvez être expulsable et je crois que ça c'est un message de clarté et un message de fermeté évidemment qui doit être impérativement rappeler et puis après sur la question des refus d'obtempérés c'est un fait de société à partir du moment où il il y a ce volume d'actes malheureusement qui existe dans notre pays 5000 qui touch des personnes et donc la nécessité encore une fois de les appréhender comme tel on voit espèce de de défi que certains se lancent sur les réseaux sociaux pour aller provoquer des forces de l'ordre pour mettre en danger les forces de l'ordre et parfois d'ailleurs d'autres vies parce que quand les forces de l'ordre interviennent c'est d'abord pour protéger contre cela c'est tolérance zéro mais évidemment que c'est tolérance zéro évidemment que ça doit être la tolérance zéro moi j'entends évidemment ce que dit cette dame et elle dit d'abord que fait le législateur en le législateur il a agi les règles elles sont claires la loi a été changée les peines encouru sont extrêmement clair maintenant il faut que ces peines s'appliquent soit appliqué soit mis en uvre nous reviendrons dans un instant sur la déclaration tout à fait forte de la veuve de la jant comine mais juste avant vous avez utilisé un terme qui me semble important et qui fait polémique vous dites fait de société pourtant si j'écoute si je lis ici et là des politiques des médiatiques il s'entêent à présenter de tel événem comme des faits divers le mot fait divers qui sert quelque fois presque à les banaliser à dire ça n'a pas de porté politique ça n'a pas de signification collective est-ce que est-ce qu'on abuse du terme fait divers pour présenter de tels événements il y aura toujours des drames celui qui vient sur votre plateau en disant grâce à moi tous les drames seront évités non bien s évidment en revanche la manière de présenter les choses évidemment elle a ensuite un impact sur le réel elle a un impact ensuite sur nos décisions politiques à partir du moment où vous avez des milliers d'actes qui sont commis à parttir partir du moment où vous voyez les mêmes faits se répéter le même déroulement des faits la même manière de provoquer les choses et ensuite d'ailleurs les réactions politiques il sont souvent les mêmes des différents côtés oui je crois que ça veut dire que c'est un fait de société et qu'on doit le traiter à la racine ça pose la question de la violence de la violence des jeunes dans notre société ça pose la question du soutien aux parents et de la responsabilisation des parents moi je me souviens ça devait être d'ailleurs sur votre plateau quand j'avais parlé de parents défaillant à quel point j'avais été critiquer je l'assume on a des parents qui parfois aujourd'hui démissionnent abandonnent leur rôle de parents qui est aussi un rôle de mettre en sécurité leurs enfants de protéger leurs enfants d'éduquer d'accompagner on doit avoir cette responsabilité là évidemment ou accompagneronsabilité ça veut dire les punir S ne le font pas mais oui d'ailleurs c'est ce que dit la loi d'ailleurs c'est ce que dit la loi et je crois qu'encore une fois il faut aussi que toutes les hommes et tous les femmes politiques tiennent ce discours et cette et cette clarté là c'està-dire que avoir ce discours Perm ant d'excus démontre à un moment une faiblesse de la société et cette faiblesse de la société elle peut être appréhendée par un certain nombre de ceux qui commettent ces délits comme une autorisation à les commettre donc il faut de la clarté et je crois que du point de vue du législateur il y a cette clarté il faut que ce le soit encore plus du point vue la justice oui il y a la théorie et a la pratique et Pierre évoquit effectivement la réaction qu'on peut comprendre de de la veuve de l'adjudant commine sur cette phrase 1981 n'aurait pas dû exister qu'est-ce que vous avez compris vous honnêtement je sais pas et puis je suis pas là pour faire l'interprétation de de de ses propos moi je crois qu'il faut ce que beaucoup ont compris c'est l'abrogation de la peine de mort je sais pas parce qu'elle n'a pas dit les choses clairement donc moi je veux pas interpréter ou mal interpréter ce qu'elle a dit c'est un cri de douleur encore une fois une femme qui a perdu son mari le père de ses enfants ça mérite beaucoup de respect beaucoup d'humilité aprir désaccords politiques 1981 c'est un marqueur c'est-à-dire il y a effectivement cette date qui est dans l'histoire contemporaine de la France qui est l'abrogation de la peine de mort et puis c'est aussi l'installation d'une justice on va dire différente certains disent ça a été le début du laxisme dans la justice les syndicats de magistrature diverses et variés ensuite il y a eu toute une série de de dogme de doxa qui disait bah la prison c'est peut-être pas forcément la bonne solution aujourd'hui on parle comment dirais-je du retour peut-être des peines courtes Nicolas Sarkozi à l'époque avait mis en place les peines planchées qui ensuite ont été immédiatement changer ou en tout cas enlev sous le quinena Hollande est-ce que ce qu'elle veut pas dire madame comine c'est en 1981 on a arrêté un système judiciaire qui fonctionnait bien ça en je ne sais pas ce qu'elle a voulu dire donc c'est à elle de s'exprimer moi je suis pas là pour faire l'interprétation l un message trs clair évidemment de lutte contre toute forme de Laxis nécessité de clarté de la loi et de clarté dans son application moi c'est ça qui m'importe c'est est-ce que la loi est suffisamment claire est-ce qu'elle est suffisamment potentiellement sévère je crois qu'elle l'est et nous n'avons eu de cess nous en tout cas depuis 7 ans de R renforcer à la fois les moyens de la justice parce que la justice elle avait quand même été dshossée pendant des années donc quand on veut avoir une justice plus rapide qu'on parle de célérité de la justice encore faut-il que la justice en ait les moyens on l'a fait avec une loi de programmation justement sur la justice qui préserve ses moyens et surtout qui les augmente comme jamais ça n'avait été le cas et vous avez l'exemple aujourd'hui avec ce jeune amoto effectivement le parquet fait appel mais la première décision hor berger c'est que reg il est je la regrette c'est pour ça queose isque Lequet a immédiatement faire app de cette décision et j'espère évid que cette décision pourra être revue est-ce qu'il y a un laxisme non pas politique vous dites qu'il a l'IMPA les lois ont changé est-ce qu'il y a un laxisme judiciaire en tout cas je crois qu'il y a un peu ce sentiment lattente dans la société de la part des Français qu'il n'y a pas une sévérité suffisante et là la difficulté c'est qu'on a à la fois des chiffres qui nous disent l'inverse c'est vrai quand on regarde le quantum de peine les peines qui sont prononcées on voit plutôt qu'on a des peines qui augmentent année après année notamment sur des sujets qui me tiennent particulièrement à cœur sur la lutte contre les violences faites aux enfants et la lutte contre les violences fait aux femmes et tant mieux ça veut dire que quand la société dans son ensemble s'est saisie d'en jeu de société alors peut-être que du coup il y a une pression collective qui est mise pour que les choses changent que les choses avancent et on le voit sur d'autres faits de société on n vraisemblablement pas au niveau sur la réponse judiciaire qui est apportée et qui semble aujourd'hui insuffisante pour les le retour des pines planchées c'est une idé P planché on pourra en débattre de toute façon à l'Assemblée nationale mais ça dépend de la de la mise en application av vous mais non parce qu'il y a des peines planchées qui avaient été mis en place dans certains cas donc pourquoi certains cas permettrai que des peines planchées existent d'autres non certains disent il faut des peine planché uniquement quand par exemple ce sont des forces de l'ordre qui subissent des drames est-ce que ça doit être que les forces de l'ordre ou est-ce qu'à la fin quand quelqu'un malheureusement voit sa vie être fauchée est-ce que on doit faire la différence en fonction de l'état de la personne bref donc c'est un débat qui est un petit peu plus complexe que cela moi j'ai pas du tout de tabou à appréhender ce débat et à ce qu'on ait ce débat à l'Assemblée nationale moi ce que je veux c'est quelque chose d'efficace qui répondent à cette préoccupation majeur des Fran on porte toujours attention avec raison au vocabulaire vous connaissez pendant des années on disait le sentiment d'insécurité pour parler pour relativiser la chose vous avez utilisé un terme étonnant vous avez parlé de sentiment de laxisme est-ce qu'il y a le laxisme judiciaire ou il y a sentiment de laxisme dans la population mais en fait ce qui est difficile c'est déjà quel type de décision de justice vous regardez sur quel type d'affa et encore une fois quand on regarde le quantum des peenes c'est-à-dire le nombre d'années par exemple de prison est-ce que c'est de la prison ferme ou la prison avec surci on voit qu'année après année les peines augmentent donc on na pas statistiquement j'allais dire de mesures qui nous diraiit oui on baisse le volume de peine on condamne moins et cetera en revanche on voit que sur des affaires qui sont très symboliques pour les français et qui qui parl j'allais dire à nos tripes notamment là les deux cas gravissimes qu'on vient de voir et bien systématiquement on a le même type de de sujet qui reviennent ça pose beaucoup de questions ça pose des questions sur l'application de la loi pénale ça pose des questions sur la remise ou non en liberté ça pose la question sur l'exécution jusqu'au bout de la peine telle qu'elle a été prononcée ça pose la question du délai dans lequel la peine est prononcée aussi ce qu'on a fait notamment sur la justice des mineurs pour arrêter d'avoir des sanctions qui interviennent une fois que la personne appréhender mineur est devenu majeur parce que ça n'aurait plus de sens bref donc c'est tout ça qu'il faut réussir à appréhender Aurore berger ce matin cette nouvelle terrible à Gaza six corps d'otage détenu par le ramas retrouvé 97 otage sont toujours aux mains du mouvement terroriste et en France l'antisémitisme encore avec l'incendie de la synagogue de la grande mode vous êtes particulièrement impliqué dans votre mandat avec les assises de lutte contre l'antisémitisme qui ont été lancé le 6 mai dernier où en est ce projet et que donne-t-il à date déjà il faut jamais oublier que le le point de départ de la situation aujourd'hui à Gaza c'est d'abord les attentats terroristes commis par le Hamas le 7 octobre dernier et ne jamais oublier qu'on a des otages qui sont encore retenus et malheureusement ce drame puisque nous avons appris que six d'entre eux avaient été assassinés et je crois qu'il faut systématiquement rappeler ce point de départ parce qu'en fait le vrai point de déblocage de la situation humanitaire terrible à Gaza c'est d'abord la libération des otages et beaucoup malheureusement aimeraient oublier cet enchaînement de de respons donc c'est un appel que vous lancez encore ce matin sur et Europe éidment et à l'appel à la responsabilité des des uns et des autres ensuite ce qui est terrible c'est les conséquences que ça a eu dans notre pays malheureusement d'ailleurs pas que dans notre pays dans beaucoup de grandes démocraties c'est-à-dire qu'au lieu d'avoir immédiatement un mouvement qui aurait dû être un mouvement d'empathie au regard d'actes terroristes insupportable on a eu un mouvement de regain d'antisémitisme dans notre pays ce qui est très important c'est que vous le savez l'État a toujours été d'ailleurs que ce soit ce gouvernement ce président de la République ou les précédents implacable implacable sur la lutte contre l'antisémitisme et ça ça nous distingue de beaucoup d'autres pays je crois que c'est très important de le rappeler on marque une pause Aurore berger juste après justement vous nous direz quelles sont les pistes pour lutter encore mieux contre l'antisémitisme en France dernière partie du grand rendez-vous europein c'est news les echo avec Aurore berger ce matin on a entendu à l'instant votre appel à la libération des 97 otages restants aux mains du du ramas on a évoqué l' sémitisme en France avec encore récemment cette incendie Abe de la synagogue de la grande mode vous avez lancé ces assises euh contre l'antisémitisme le en France le 6 mai dernier avant l'épisode politique qu'on a connu néanmoins il y a des pistes qui se sont déciinées des pistes notamment sur la question de l'école sur la question de l'université c'est-à-dire de la formation aussi de nos enfants de leur éveil critique de la compréhension qu'ils ont de ces enjeux de ces sujets il y a eu un un un témoignage qui m'a bouleversé moi pendant ces assises qui était le témoignage d'une petite fille qui expliquait qu'elle allait en classe verte en classe de découverte et qu'un autre enfant a refusé de partager sa chambre parce qu'elle était juive mais on n'est pas antisémite naturellement à 7 ans ou à 8 ans ça veut dire qu'il y a quelque chose qui vous a construit est-ce que c'est dans votre famille je ne sais pas mais en tout cas vous voyez bien que ça veut dire que c'est dès le plus jeune âge qu'on doit le faire donc on revoit la formation des enseignants pour ne pas les laisser seul aussi en première ligne face à ces questions qu'ils ne savent pas forcément appréandé donc on revoit la formation des enseignants sur l'ensemble de ce que veut dire aussi l'antisémitisme parce que l'antisémitisme a des formes vous le voyez qui sont nouvelles aussi sur la question notamment de l'antisionisme qui n'est pas la question du soutien à la politique du gouvernement israélien mais la question de l'appel à la destruction de l'État israélien sur l'accès pour les enseignants justement à des partenaires extrêmement important le mémorial de la Choa par exemple maison 10 yeux qui sont des lieux de mémoire qui savent appréhender ces questions et la question de l'université aussi parce que c'est jamais trop tard pour agir pour bien faire pour penser ces enjeux et surtout pour évidemment être implacable sur la question de l'antisémime mais pour lutter adéquatement contre l'antisémitisme ne faut-il pas faire le bon diagnostic c'est-à-dire peut-être qu'en France on connaît moins aujourd'hui une renaissance de l'antisémitisme tel qu'on l'a connu dans l'histoire de ce pays qu'un antisémitisme d'importation lié à l'islamisme si on nomme l'antisémitisme s nommé l'islamisme est-ce qu'on ne se contente pas deun diagnostic très incomplet je crois que évidemment il faut le dire et malheureusement ce qui s'est passé à la synagogue de la grande mote dit cela c'est-à-dire que on a un acte criminel perpétré par quelqu'un qui dit clairement faire le lien entre juif et la situation à Gaza et qui porte d'ailleurs un drapeau palestinien au moment de de cet acte absolument intolérable donc c'est pas moi qui fait le lien ce sont ceux qui commettent des actes criminels ou délictuel qui le font eux-mêmes et donc ça veut dire évidemment qu'il faut poser ce diagnostic et qu'il faut être d'une clarté à absolu sur ces enjeux à la fois de lutte contre l'islamisme et les répercussions qu'elles peuvent avoir dans notre pays notamment de regain d'antisémitisme de communautarisme aussi qui peut se déployer dans un certain nombre de nos quartiers les deux étant souvent intimement liés vous voyez bien qu'à partir du moment où l'islamisme prend le pas bah il y a des regains de communautarisme de fragmentation de la société qui peuvent exister c'estàdire de communautés qui sont mises les unes en face des autres c'est ça évidemment le risque que la République que la nation va pouvoir affronter euh Christophe jacobiz oui vous êtes toujours donc ministre démissionnaire chargé l'égalité entre les femmes et les hommes et comment ne pas dire un mot de la situation des femmes afghanes avec cette loi qui était promulguée le le 22 août je qui je cite pour promouvoir la vertu et prévenir le vice comporte un nombre d'interdictions notamment pour les femmes l'interdiction de de chanter ou de lire de la poésie en public qu'est-ce qu'on peut faire concrètement pour ces femmes afghanes à part évidemment dénoncer cette situation euh les accueillir quel est votre position mais j'entendais certaines de ces femmes qui courageusement même caché derrière leur burka continuaient à se filmer en train de chanter je crois que c'est extrêmement fort et émouvant et se dire qu'on en vient à imaginer des lois dans lesquelles on pense qu'il faut interdire aux femmes de de de se faire entendre le son de leur voix dans l'espace public on voit ce que veut dire l'islamisme au pouvoir c'est pas un gadget c'est-à-dire qu'à la fin c'est tous les pans de la vie en société tous les pans de la vie sociale de l'accès à l'éducation de nos enfants puisque ce sont les petites filles qui n'ont plus accès à partir d'un certain âge à l'éducation aujourd'hui en Afghanistan donc oui il faut continuer à parler de cette situation continuer à la dénoncer dans l'ensemble des organisations internationales aussi pouvoir le faire accueillir si besoin évidemment si certain arrivaient à sortir évidemment de de ce pays mais mais elles ont encore un pouvoir de coherition ces grandes organisations internationales comme vous le dites je pense évidemment à l'ONU manière que les talibans veulent faire en sorte que les femmes n'aient plus accès à la parole le pire des risques ce serait qu'on ne parle plus de ces femmes qu'on ne parle plus de la situation Afghanistan que finalement on considère que tout ça n'est pas bien grave qu'on a des femmes dans le monde quiouau moyen est-ce qu'il faut pas trouver un nouveau moyens plutôt que dans s'en référer à des organisations internationales qui en l'occurrence conf so silencieuse le risque ce serait qu'elle soit silencieuse et en étant silencieuse évidemment elle condamne d'autant plus évidemment HS quietteiguration ça veut dire des générations et des génération qui nauront plus accès à rien si vous n'avez plus accès à l'éducation vous n'avez plus aucune possibilité d'avenir ou d'émancipation donc c'est évidemment ça qui est en jeu et les organisation international et la France est quand même une voix forte au sein de ces organisations doivent être au cœur de la de la solution qui doit pouvoir y être apporté berger les paralympiques en ce moment c'est une nouvelle parenthèse dans l'épisode politique que nous con son TR médailles d'or 6 en argent h en bronce comment est-ce que vous regardez com estce que vous vivez ces paralympiques ces jours-ci déjà il y a jamais eu de distinction nous entre les Jeux Olympiques et les Jeux paralympiques ça je crois que c'est extrêmement important dans le message il y a pas des sous-jeux olympiques que seraiit les Jeux paralympiques j'ai pas dit ça non mais je sais bien que vous vous l'avez pas dit mais je crois que c'est très important c'està-dire que c'est la même fête de la même manière qu'on s'est réjoui enthousiasmé parfois même pour des sports qu'on connaissait pas au moment des Jeux Olympiques qu'on a tous été chauvins et qu'on a eu envie de la réussite de la France et de la réussite des athlètes français mais je crois que c'est la même fête et la même ferveur populaire qui existe au moment des Jeux paralympiques les athlètes ont dit qu'ils étaient très émus eux-mêmees parce qu'ils étaient plutôt habitués à être dans des stades où il y avait pas beaucoup de spectateurs là ils sont devant des stades qui sont remplis et dans les mêmes lieux et ça je crois que c'est extrêmement ants ils sont au Grand Palais ils sont place de la Concorde ils sont au château de Versailles parce que ce sont des athlètes à part entière et pour avoir eu l'honneur de rencontrer certains d'entre eux ils ont des parcours de vie qui sont en plus exceptionnels donc j'espère que les Français vont continuer à regarder a au lendemain des Jeux paralympiques ça s'arrêtera pas au moment de la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques même si euh la parenthèse commence à s'amoindrir et les préoccupations reviennent juste une remarqueg vous étiez à à l'UMP avant de rejoindre Emmanuel Macron 7 ans plus tard on voit que la matrice est en panne c'est-à-dire que la volonté de casser ce clivage entre la gauche et la droite n'a n'a pas fonctionné dès la dissolution certains se demandaient s'il n'y avait pas une volonté euh quelque part une volonté atroce de détruire ce qu'il a construit on se souvient de Gérard Colomb qui avait immédiatement claquer la porte parce qu'il n'était pas en phase avec ce que disait le président Jean-Michel Blanquer dernièrement sort un livre où il n'est pas tendre il il dit que le le président de la République n'est pas étranger au au coup tordu ma question en fait c'est comment est-ce que vous Aurore berger une des premières dans marche une des premières à avoir quitté la droite républicaine pour aller avec Emmanuel Macron pendant sa campagne en 2016-27 comment est-ce que vous allez vivre avec Emmanuel Macron jusqu'en 2027 président de la République il est président jusqu'en 2027 quoi que certains essayent par des manœuvres politiques ou institutionnell de faire la destitution au tire de l'article 68 et et heureusement et ils le savent d'ailleurs au moment où il leù il le propose donc président de la République il est pleinement président de la République la question c'est que au lendemain de 2027 qu'est-ce qui se passe est-ce que on revient sur déjà dans l'prè Macron non la question question que vous posez elle est là c'estàdire moi je crois à ce qu'on est en train de faire politiquement je crois à cet héritage politique économique je crois aux réformes qu'on a réussi à conduire on disait de nous qu'on allait être en effet une parenthèse qu'on serait balayé dès 2022 et ce n'est pas ce qui s'est passé ça n'est pas ce qui s'est passé en 2022 ça n'est pas non plus ce qui s'est passé 202 enc moins4 je sais bien mais on n pas été balayé on est quand même extrêmement nombreux à être revenu à l'Assemblée nationale dans une configuration politique qui était très difficile on disait qu'on allait disparaître on n pas disparu pourquoi parce que je crois qu'on est un certain nombre à avoir réussi à nous implanter localement et notre vrai défi il est aussi là les élections municipales demain les élections locales parce que c'est aussi comme ça que les partis politiques continuent à avoir une existence et de démontrer qu'elle est notre héritage politique assurer la survie de la macronie en quelque sorte mais c'est pas une question de survie de d'un tel ou d'un tel la question c'est qu'est-ce qu'on a fait depuis 7 ans moi je crois à ce qu'on a fait d'un point de vue économique d'un point de vue de activité du point de vue de l'emploi je crois aux réformes structurell qu'on a réussi à faire la preuve c'est que ceux qui veulent revenir au pouvoir sont les premiers à espérer revenir en arrière sur ces réformes parce qu'elles ont eu un impact le clivage gauche droite compte encore pour vous et si oui êt-vous encore une femme de droite je je crois qu'en fait les gens ils ont toujours besoin de nous placer sur une carte c'est s qu'il me place plus à droite qu'à gauche et je vais pas les démentir vous nêtes l'UMP oui non mais bien sûr moi je Ren pas ah Quié le évidemment vous savez on est tous ven de quelque part avant de rejoindre Emmanuel Macron par principe par définition c'est une nouvelle offre politique qu' a fait naître en 2016-27 donc on venait tous d'ailleurs à ce moment-là mais moi j'ai fait le choix d'être à ses côtés de rester à ses côtés de rester au sein du parti Renaissance parce que je crois justement à cette logique de dépassement politique c'est évidemment difficile c'est plus confortable parfois de se mettre dans une case à gauche ou à droite mais on voit bien aussi les divisions majeures de ces partis politiques regardez tout Le Vau ville de cet été qui s produit sur la droite avec ériic cotti qui est parti carrément rejoindre l'extrême droite et qui reforme un nouveau parti politique et le R qui reforme un nouveau parti politique regardez les division à ga le score du RN et du NFP lors de législative vous dites pas que les Français veulent du clivage ils veulent pouvoir choisir ils veulent pouvoir avoir une alternance je pens veulent une forme de radicalité et on a veulent de l'alternance ils veulent peut-être peut-être aussi mais parce que c'est la première fois depuis très longtemps qu'un président de la République a été réélu hors cohabitation et donc mine de rien ça fait maintenant 7 ans qu'on est dans l'exercice du pouvoir 7 ans qui ont été émaillés de crise que soit la crise des gilets jaunes que soit des crises politiques institutionnelles la crise du covid le retour de la guerre en Ukraine la situation au Proche Orient donc on a dû gérer en permanence et réussir à faire en sorte de tenir le pays la tête hors de l'eau par rapport à des crises qui étaient quand même des crises majeures et on le doit à l'action du Président de la République donc c'est crois pas à cette parenthèse je l'ai pas encore lu je le dirais sans doute P B vous avez les B je pense qu'il me l'adressera vous avez lu les bonnes feuilles est-ce que c'est une bonne manœuvre de la part de Jean-Michel blanquire moi je sais que ça a été un très grand ministre de l'éducation nationale donc moi je ne dirais pas de mal de Jean-Michel Blanquer parce que je crois que ce qu'il a fait pendant les 5 ans de l'exercice en tant que ministre de l'éducation nationale sans doute pré la périe blan à la périodeen on lui rendra justice parce que le retour de l'autorité à l'école sur la question des fondamentaux sur la question de la laïcité je crois qu'on lui doit et heureusement merci beaucoup Aurore berger d'avoir été avec nous très bonne suite de dimanche sur nos deux antennes

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