Les 4 vérités - Hugues Renson

bonjour maître en son genre cardinaux alors ce gouvernement et donc incapable d'arrêter les violences à paris et je crois que le sujet est bien plus grave que celui de faire ça ira pauline c'est bien sûr très grave téléparis moi je débite depuis toujours et comme tous les parisiens en ce début de semaine moi je suis mélangé par des sentiments de tristesse mais aussi d'exaspération et de colère devant ces hordes de sauvages qui débarque depuis 18 semaines à enghien sujet d'une semaine et qui empêche les parisiens au fond de vivre tranquillement le le samedi alors saint guigner c'est bien condamné c'est bien mais maintenant je crois que les parisiens ont envie que des actes nouveau soient pris pour contenir ces violences je suis un parlementaire je ne contenterait pas de commenter il faut qu'on puisse maintenant prendre des décisions nice a reconnu des dysfonctionnements le président de la république lui veut des buts des décisions fortes on peut aller plus loin que la loi anti casseurs mais de façon ce n'est pas un sujet de deux dispositifs législatifs on voit bien aujourd'hui que c'est une réponse opérationnelle nouvelle qu'il faut parce que comme tout le monde je me demande comment c'est possible qu'on en arrive là comment est ce possible est ce que c'est parce que les forces de l'ordre auquel je veux rendre encore hommage ce matin ne sont pas assez nombreuses sont-elles troupes et s'amuser cet avantage de moyens les dispositifs opérationnels sont ils à la hauteur c'est sur ces sujets là qu'il faut apporter des réponses nouvelles et il faut se garder de toute polémique de toutes petites phrases moi je pense qu'il faut mettre autour de la table la maire de paris les maires d'arrondissement les parlementaires et le gouvernement parce que il va bien falloir que face à cette violence nouvelle qui est complètement inégalée dans l'histoire récente parisienne on puisse apporter des réponses aux parisiens qui n'ont peuvent plus autour de la table vous mettez le préfet de police de paris iap a une part de responsabilité dans l'affect encore une fois vous vous même vous avez commencé cette interview et les gens qui vous regardent ce matin et voit la même chose que vous 18 week-end ce week-end après lesquels en général on dit il faut tirer les leçons il faut peut-être adapter le dispositif 18 week-end où le président le ministre de l'intérieur prenne la parole pour dire cette fois ça suffit ça doit s'arrêter et ça continue et le grand saut ce matin c'est que les mots ne suffisent plus évidemment l'indignation de la condamnation invoqué la république attaquée conseillers d'état responsables y compris celle de l'êta mais le prix dans la capitale bien compris il a annoncé d'édition des décisions fortes si j'ai bien suivi c'est son intervention samedi soir il s'attend à ce que des choses se passent rapidement et comme tous les parisiens j'attends que des décisions fortes soient prises au service des parcs naturels manifestations comme le dit par exemple ce matin l'avocat jean pierre mignard dans libération je ne crois pas qu'il faille interdire les manifestations en règle générale en revanche il faut vraiment trouver une réponse nouvelle quand des manifestations qui ne sont pas autorisées se déroulent il faut qu'on puisse intervenir en amont parce que lorsque le cortège a déjà démarré il y trop tard donc il faut peut-être qu'on réfléchisse à des zones qui devrait être sorti des périmètres des manifestations qui serait mieux sécuriser les utiliser les institutions l'assemblée nationale quelques semaines avait été attaqué les champs-elysées nous soyons là chaque semaine un nouvel élément ça a été l'arc de triomphe l'assemblée nationale le boxeur maintenance et les champs elysées qui sont à nouveau saccagé ça suffit mais il faut maintenant qu'on puisse prendre des décisions concrètes un président qui rentrent du ski en urgence des troupes jacques disait de police rappelé en urgence au renfort sur les champs elysées est-ce que l'exécutif avait sous-estimé les violences de possiblement a reconnu hier soir que des dysfonctionnements avaient certainement exister il faudra laisser dysfonctionnement tout cas compte tenu de la gravité des faits je pense que le président de la république a bien a bien fait évidemment de revenir à paris il est pleinement conscient de la situation on parle désormais du trash jaune ce sont les spécialistes des mouvements radicaux les normes comme ça samedi les jaunes radicaliser vous fait toujours la différence entré qu'à faire et gilet jaune la de l'ultraviolence l'ultra violence est là étaient déjà présents que là l'occasion des manifestations contre la loi elle comrie ya quelques années elle était présente au 1er mai elle est présente maintenant dans la manifestation des gilet jaune peu importe au fond si ceux qui cassent porta gilet jaune ou non ce qui compte c'est que les parisiens puissent vivre tranquillement et que c'est nihiliste qui pensent que rien ne se vouer que rien importe et bien puissent être mieux deux côtés je crois qu'il est important justement qu'on prenne ses décisions est ce que vous pensez aujourd'hui que la réponse c'est forcément uniquement dans ce moment là en urgence de la fermeté est ce que c'est ça qui est parisien qui est français attendent de trouver le bon équilibre entre l'ordre bien sûr et la justice et on sort d'un grand débat le débat a pris fin vendredi va falloir qu'on ait une réponse politique très forte qu'on puisse prendre des décisions concrètes pour transformer le pays toujours davantage pour pouvoir bien sûr traiter la question de la sécurité publique et du maniaque du maintien de l'ordre mais pour réconcilier aussi dynamisme économique justice sociale transition écologique en prenant des décisions très concrètes parce que évidemment le maintien de l'ordre ne peut pas être la seule réponse à ce que la france traverse depuis plusieurs semaines je pense que la france peut finalement sortir renforcé de cette séquence très compliqué à la seule condition qu'on puisse prendre des décisions très fortes je crois qu'il sera important qu'on puisse donner un nouveau souffle au quinquennat avec avec ses décisions j'ai expliqué à mes yeux il était nécessaire de définir de dessiner un nouveau grand projet social qu'il faudra repenser la fiscalité dans ce pays certainement réfléchira nouvel acte de décentralisation les chantiers sont devant nous mais il faut travailler est ce que vous êtes candidat pour la restituer la république en marche à paris dans ma position est constante sur le sujet vous savez on le temps n'est pas celui des municipales on va rentrer et on tente ce matin le sujet très grave le temps politique c'est la sortie du grand débat le temps politique c'est la préparation des élections européennes je n'en reviens pas moi je pense qu'il est déraisonnable de rentrer dans une précampagne à plus d'un an d'une élection municipale les sujets ne sont pas là aujourd'hui je me déterminerai sur cette élection au lendemain des élections européennes aujourd'hui j'ai lancé une démarche exploratoire je rencontre évidemment beaucoup de responsables du tissu associatif économique et tissu local parce que il ya un risque qui se dessine aujourd'hui à parier qu'avec cet émiettement des candidatures et l'émergence de toutes ses ambitions paris soit au soir du deuxième tour dans un an en situation un gouverneur moi je crois au rassemblement et je me déterminerai en vertu de la philosophie qui m'a toujours animé celle de rassembler plutôt que d'essayer de se distinguer vous pensez vraiment que le match est ouvert quand dans la data il ya benjamin griveaux porte parole du gouvernement proche parmi les proches du président la république bien sûr que la bataille est ouverte qu'il n'y a aujourd'hui aucune candidature naturelle aucune candidature qui s'impose ce qui m'importe moi c'est d'imaginer comment on pourra rassembler au delà nos marges pour ce moussem j'ai la conviction que paris ne se gagnera pas par un parti politique il faut définir les contours d'un vaste rassemblement progressiste qui pourra apporter des réponses concrètes aux parisiens à deux questions comment améliorer la qualité de vie à paris la lutte contre la production la lutte contre l'insécurité et puis comment traiter d'une question du coût de la vie qu'est ce que vous attendez d'un hidalgo dans ce moment de violence ou paris et met en difficulté je dirais comme ça tous les samedis je voulais dit tout à l'heure j'attends du maire de paris des maires d'arrondissement du gouvernement des parlementaires quelle que soit leur sensibilité qu'on puisse se mettre autour de la table pour traiter très concrètement et indépendamment de nos clivages partisans les solutions concrètes à apporter au parisien merci