Eric Judor vs Jean-Pascal Zadi - clash sur le tournage de En Place S2 !! VF | Netflix

Est-ce qu'Éric Judor, il est marrant ? Éric Judor, il est marrant ? Oui. Bah oui. Marrant. Beau. Je m'appelle Jean-Pascal Zadi. Et là, ce que t'es en train de regarder, c'est un making-of sur En place. Jean-Pascal Zadi, c'est ce qui se fait de mieux en termes de réal et de renoi en France. Tu vois ce que je veux dire ? J'ai l'impression qu'on va bien se marrer en regardant ce making-of. Qu'est-ce qu'on va se marrer ! Arrête de me filmer, toi ! Ça va bien ? Ses indications sont complètement nulles. Moi j’écoute pas. Bla-bla-bla-bla. Et toi, tu dis : "Ouais, mais pas cher". - OK. Vas-y viens, on y va. T'as capté ou pas ce qui se passe ? On est là, premier jour de tournage, on fait ce qu'il y a à faire, t'as capté ? La ur, la vraie, tu sais déjà. Le jeu, c'est le premier jour, c'était pas… Je propose des choses dès le premier jour. Oui, mais t'as un peu poussé. Ça peut arriver à tout le monde. Elle est bien, elle est bien. T'as glow up. J'ai glow up de ouf. Tu vois, t'as glow up. T'as glow up. Le jeu... down. Un décor, une série de pompes. Jean-Claude Muaka. C'est bon, j'ai fini le jeu. Je peux mourir en paix. Il est où Alain Chabat, là ? T'as vu ou pas ? Il est dans le bail du gars. - Il est bien fait, on dirait vraiment le vrai. Ouais. Stéphane Blé, Stéphane Blé ! Ici, Stéphane Blé ! Ici, Stéphane Blé ! Que ça bouge un peu, quoi. Non mais vous avez essayé de le faire, mais c'était pas ouf la première fois. Bon, essayez d'être mieux là. Vous avez quand même la crème de la crème des acteurs. Vous avez JP Zadi. T'as vu ? Je vous présente mon ami, Alain Chabat. Bonjour. - Bonjour. Voilà, il vient de démarrer dans le game. On essaye de booster un peu le gars, tu vois ? Ouais. Il est où le Président ? Le vrai Président ? Oui, la Reine du côté caméra... Sinon c'est pas sa série, c'est ma série. Ça fait trois ans qu'il est dans le showbiz, il ouvre sa gueule. Les gens, c'est même pas sa série, frère. La vie de ma mère, je fais pas de photos avec toi. Venez, les vrais gars. Sois hip-hop, pense hip-hop, là. - Tu l'as. - Coupez ! Il n'est pas hip-hop. Ça transpire pas le hip-hop. Là, j'ai montré mon CV de quoi je suis capable physiquement. Ça, dans le judo, ça s'appelle kata numéro 1. Ça, c'est un mouvement de capoeira libanais. Ça veut dire tu penses que tu vas prendre ça dans la tête et t'as pris ça dans le pied. Non, les gens ne connaissent pas. - Ça va, Kevin ? - Mais oui. Bonjour mes amis, bonjour mes camarades. Ah ! Enfin un bureau à la hauteur de mes ambitions. Pascalinou ! - Oui ? On se concentre, dans ta grosse veste bon marché. Il est gentil, mais... - Ça tourne. Il n'est pas très concentré. Et c'est à nous de serrer un peu la vis. - Ça tourne, c'est clapé. Il a un rapport au travail... - Action ! Encore une fois, prise ratée à cause de Jean-Pascal. Il n'est pas à son affaire. Il a voulu porter une double casquette et ma foi, une simple... - Action ! Tu connais Marina Foïs ? - Bonjour. Arrêtez. Juste, écoute-moi bien toi... c'est la dernière fois. Oui, vas-y. Je remets ça. En vrai, je reviens sur lui. Hé toi, c'est la dernière fois que tu viens habillé comme ça sur le tournage. C'est pas ta série. T'es quand même bien gaulé, hein. C'est pas ta série, t'as compris ? - On va faire une répétition. Je suis épuisé. Coupe, coupe. Souhaitez-moi bonne chance. Ça va être trop dur les trois, là. Les trois aux Antilles, mec. Ça va être incroyable. On va sortir, on va boire du Jus d'Or. - Non, ça y est, c'est passé. Vous allez nous suivre au Jus d'Or. - Ouais. Judor ! Judor, judor. Oh, Judor ! Judor. Il y a trop de gars, ils pensent qu'on est là pour rigoler. On est là pour un fucking tournage. Ça, c'est ce qu'on appelle le zouk. Filme les vraies go. Ça, c'est les vraies go des Antilles. Ça va les go ? Et vous ? T'as vu, les Guadeloupéens m'adorent. Tu verras jamais ces gens-là être comme ça avec Éric Judor. Parce qu'Éric Judor, c'est un fucking vendu. Tu vois ce que je veux dire ou pas ? Ouais ouais ouais. Il y a un problème, il y a un problème ? Salut Tonton, ça va ? - Ils préparent un film. C'est à qui il parle ? C'est à moi il parle ? J'arrive tout de suite, frère. Ça va ? - Ça va. T'as vu, les gens m'adorent. Cannelle, ça va ? - Ça va. Cannelle c'est une meuf de l'équipe, c'est la famille. Tu vois, en Guadeloupe, les escaliers c'est un peu ghetto. Wesh, depuis tout à l'heure, on vous attend. - Je suis là moi, depuis tout à l'heure. Mais depuis tout à l'heure, on vous attend. - Depuis tout à l'heure, je suis là moi. T'as vu comment j'lui parle mal ? Ouais, vas-y. - Depuis tout à l'heure. Vas-y, descends, depuis tout à l'heure. - Depuis tout à l'heure, je suis là moi. Il est où, Fary ? - J'en sais rien, je suis pas son père. Je vais le niquer. - Ouais vas-y, va le niquer. Jean-Claude Muaka à la con. - Qu'est-ce qu'il y a ? Je vais te mettre une patate. - Il y a des gens qui s'habillent ici ! Oh pardon, désolé. - Oh... Vous avez filmé j'espère ? Vous avez filmé ? Franchement, Jean-Claude, dépêche-toi, on est en retard. - J'arrive ! J'arrive ! Mais dépêche-toi. Ça va ? Allez, dites à la caméra combien vous m'aimez et combien je suis fort. - On l'aime. - Et il est fort. - Et il est fort. Allez, merci la Guadeloupe. C'est mon pote Jimmy, ça ? Jimmy, mon boug, qu'est-ce que tu fais ? Nique ta mère ! Je riais, je m'empêchais de rire, je me pinçais les lèvres pendant la prise. C'était excellent. Je veux dire, toute ma partie, c'était... - Nique ta mère ! ...excellent. Ils doivent rire là, à regarder. La Guadeloupe, c'est chez nous. C'est chez moi parce que je suis venu en vacances pendant deux semaines donc je connais tout le monde. Même les condés, ils sont là, ils savent qui je suis. Téma les condés. Téma les condés, filme les condés. Arrête ! Là, il filme là. Il filme tout le temps. - Il filme pas. Je suis aux chiottes, il filme. Je suis avec ma mère, il filme. Ça va, les gars ? - Ça va. T'as vu comment ils me kiffent ? Pourquoi tu fais des trucs comme ça, frère ? - De quoi ? Pourquoi tu fais des trucs comme ça ? Mais regarde ! Mais pourquoi tu enlèves ton caleçon et tu le poses ? - Non, t'as un problème. Frère, non. - Mais pourquoi tu fais ça ? - T'as un problème. - Mais parce que je savais que t'allais venir. - Et alors ? - Je savais que tu venais. - T'as un souci, mec. - C'est la première fois depuis le début de la série, je vois un caleçon là. - Moi, je l'ai fait. - Pourquoi tu fais des trucs comme ça ? - T'es le réalisateur du programme. - Oui. - Je veux te donner à voir mon intimité. Je le fais discrètement avec subtilité, je pose mon caleçon pour que tu puisses t'imprégner de mes senteurs. Ne le prends pas mal. Regardez le vieux corps de Raphaël Quenard. On dirait un catcheur français des années 50. Jean-Jacques Myrtille contre El Pepito à la butte Montmartre. - C'est les bons styles, ça. Marcel Cerdan. - Laisse Marcel Cerdan tranquille, t'as rien à voir avec. C'est plus Marcel que Cerdan. C'était le premier niveau Mais là, je transpire de sous les bras, les gars. C'est pas la série de Jean-Claude Muaka, c'est ma série. Allez, ciao. DJ Éric Judor. Viens, viens, viens. Je suis en train de... Parce que les dames, elles parlent norvégien, et je suis en train de dire des mots, et elles me disent que ça veut dire quelque chose. Regarde. Je vais donner un autre exemple. ??? Ça veut dire quelque chose ? ??? Ça veut dire chat ? ??? ??? - T'as vu ? ??? Tu vois la stratégie pour gérer des meufs ? Un mec qui lit un livre sérieusement, il prend son livre, il va dans un petit coin. Il est là-bas, il lit son livre. Lui, il se met au milieu du maquillage. C'est quoi ton livre ? "Ouais, c'est un truc des Black Panthers que je..." - Arrête ! En plus, il écoute de la musique, c'est un fou. Ouais, du coup, c'est un livre sur voilà. Tout le pouvoir aux personnes... Oh, t'abuses. - Bah ouais, mais t'as que deux minutes. Ça va être horrible. - Donc on fait la danse. Ouais, JP ! Ouais... Putain, on sent que t'as jamais fait de danse. C'est pas du tout un renoi, quoi. Il a pas du tout la vibe. Tout est en bloqué, t'as vu ? Ouh là là ! Ouh là là ! Oublie ce step. Oublie ce step. Passe au step suivant, direct. Je suis hyper content que vous soyez tous là, les acteurs. - Ah, voilà ! Je suis vraiment content de vous avoir. Il faut que chacun donne du temps, de l'énergie, de la patience. Il en faut beaucoup avec Éric Judor. - Que ceux qui pensent que son dialogue n’est pas sincère lèvent la main. Qui préfère Éric Judor ? On va changer les figurants. Et refaire la totalité. C'est lui qui est plus beau que moi, là ? - Qu'est qu'il y a ? Mais je parle pas de toi. - D'accord. Là, c'est incroyable ce qui va se passer. On va faire un concours de pompes. - Arrête de filmer. Hé, c'est pas sa série. Arrête de filmer. - Viens, on fait des pompes. Tu vois ? T'as vu comment il a filé ? Il a dit : "Viens, on fait des pompes". Il a senti son pectoraux le lâcher pendant qu'il l'a dit. Donc là, il salue les gens. C'est comment les pompes ? - Vas-y, viens. C'est bon ? On y va ? Allez ! Moi, c'est plus dur parce que... Ça doit être ouf pour toi. Tu dois te réveiller tous les matins, et tu te dis : "Putain, c'était le mec, quand je regardais, j'étais petit et tout, je rêvais de faire ça. Il me faisait mourir de rire." Je suis là. Éric Judor, sur la vie de ma mère, j'ai jamais regardé H. Là je suis en train de signer un contrat. Premier rôle, là. - Ah ouais ? Tu vois, ça c’est un contrat Amazon, premier rôle. - Amazon ? J’ai pas besoin de miettes, des p’tits bouts de pain que tu me donnes. - T’inquiète pas, t’inquiète pas. OK ? T’inquiète même pas. On est restés toujours soudés. Marion, t'es un sacré petit bout de femme, et tu sais, j'ai envie de te dire, tu es une femme mleh. Quand je dis "J", vous dites "P". J ? - P ! - Judor ! J ? - P ! Quand je dis "Judor", vous dites "nul". Judor ? - Nul ! Judor ? - Nul ! Quand je dis "JP", vous dites "au max". JP ? JP ? - Moi j’ai été sympa avec vous tout le temps, et vous répétez "nul, nul" ! Ouais, on prépare l'affiche. - Regarde, il fait ça lui. - Il tremble. Arrête, arrête. - Arrête ça, c'est bon. Lève-toi. Lève-toi, ça y est. - Éric, par ici. Juste JP pour l'instant. Je ferai après toi tout seul. Ah d'accord, pardon, je croyais que... - Ouais, tu peux t'écarter ? La méchanceté, on l'a vue ou pas ? Tu l'as capté ? Tu sais, l'image, elle ne ment pas. On voit qui est le méchant. Il me reste à vous dire au revoir, vive la République et vive la France. - Évidemment, un moment solennel pour la France entière puisque c'est la fin du tournage d'En place, saison 2. Bravo ! - JP, un freestyle ! - Allez ! J'ai fait un freestyle tout à l'heure. - Allez, encore. Ouais, un. Un, ouais. T'as capté les bails, t'as capté les bails. Quand j'arrive sur une série, c'est pour faire un classique. Tu connais les bails comme les Reebok classiques comme celles de mon cousin Franck, qu'il a achetées au marché de Sarcelles, on ne sait pas si c'était des vraies, mais ça avait la classe comme la compil de Secteur Ä, Première Classe avec Rohff, Pit Baccardi, les Nèg' Marrons, tu connais. Aïe. Des bisous ma gueule. Je te fais des poutous. Salut.