Hors-Série #4 : Pap Ndiaye dans la lignée de Jean-Michel Blanquer ?

Pap Ndiaye dans la lignée de Jean-Michel Blanquer ? épisode surprise nos programmes est au menu le 24 juin dernier le parisien a publié un entretien exclusif avec pape ndiaye le nouveau ministre de l'éducation nationale à l'heure tu me connais je ne peux pas résister à décortiquer tout ça de quoi se faire une petite idée de verre où on se dirige avec la nouvelle composition du ministère bienvenue sur capsule éducation le podcast de la ed décalé le début de l'article est assez simple pap ndiaye revient sur sa nomination à la tête du ministère de l'éducation nationale et sur les violences verbales qu'il a subi dès les premières minutes alors que d'autres remarques le vilipendent pour avoir scolariser ses enfants dans le privé sous contrat après les avoir retiré de l'éducation prioritaire ce à quoi il a répondu en tant que père comportement est mort intolérable à tous points de vue et de tout coeur avec lui face au racisme sont de certains français mais aujourd'hui ce ne sera pas ce sujet qui va nous intéresser ni la scolarisation de ses enfants qu'est ce que nous réserve sur les actions envisagées ou prévus dans la maison c'est ça qui nous intéresse première question serez-vous lentilles blanc caire où allez-vous vous inscrire dans les pas de votre prédécesseur le nouveau ministre dans une réponse tout en nuance et oui ça existe encore dans notre ministère malade pour lui l'école reste le lieu des savoirs fondamentaux il n'a posera donc aucun changement sur parcours sup et la réforme du lycée a revanche il rappelle à quel point notre système ne parvient pas à endiguer les inégalités scolaires pas plus qu'il n'arrive à les prendre en compte on ne souhaite les prendre en compte ceci dit il n'y a aucune proposition pour améliorer ce qui déconne sévèrement c'est quand même ça qu'on attend à la base niveau parcours sur certains vols sa disparition d'autres veulent juste des ajustements radicaux pour prendre tout le monde en compte histoire de ne pas laisser des milliers sur le carreau comme c'est le cas actuellement mais n'a rien à vouloir changer à parcours sup c'est un peu cautionner toutes les inégalités d'un système sans avoir conscience de ses limites ou en ayant conscience de ses limites sans y prêter attention parce que ça ne nous concerne pas pas mieux kpd bien moins efficace qu'à pb est toujours aussi mystérieux dont les choix d'affectation jusqu'au point où des élèves n'ayant pas travaillé une seule fois dans l'année finissent par avoir leur premier veut alors que d'autres élèves ont fait des efforts colossaux se retrouvent sans rien malgré une candidature dans la même formation comment accepter une telle décision et la réforme des lycées c'est pareil pap ndiaye n'est pas un bleu il vient de l'enseignement supérieur mais ne voit-il pas tous les dommages graves que la réforme cause sur les élèves les étudiants sur les personnels même le manque d'heures la concurrence entre lycées pour ne pas fermer de spécialité ou supprimer un poste la destruction du lycée professionnel visiblement pas du blanc caire trop craché mais pas non plus sont opposés deuxième question vous voulez verdir Question n°2 l'école ce à quoi pap ndiaye rappelle que même si les écoles établissements sont mal équipés en cas de canicule il serait pas possible de fermer toutes les structures juste parce qu'il fait plus de 35 degrés c'est tout un plan d'action à construire sur le bâtiment scolaire en lien avec les collectivités locales pas de surprise les disciplines sont appelés à mettre toujours plus en avant le développement durable et le réchauffement climatique et entre nous j'ai du mal à saisir comment on peut en faire plus quand les programmes scolaires ils passent déjà du temps approfondir le sujet et à s'articuler ensemble géographie histoire dans une certaine mesure svt physique chimie ps économie une bonne partie des cours au collège et au lycée permet de s'emparer du sujet je te dirais même en école élémentaire d'ailleurs éco-délégués label projets et initiatives en faveur du développement durable il ya un moment où on doit quand même laisser du temps aux autres disciplines ne pas se focaliser que sur l'environnement tous étant devrait être équilibré ce n'est pas le cas aujourd'hui il est aussi question d'améliorer le bien-être des élèves et des personnels sans plus de précisions Question n°3 troisième question les syndicats d'enseignants attendant ce changement de méthode quelle sera la vôtre là encore le maître mot est simple dialogue le ministre est très claire dans sa détermination à renouer un dialogue avec la communauté éducative sincère et respectueux ce sont des mots rapportés dans l'entretien et franchement quand on se rappelle jean michel blanquer on ne peut pas dire que ces deux notions lui était cher surtout vis-à-vis des mots blessants et des sous-entendus qui ont porté un coup aux personnels pas juste des enseignants vient tous les personnels ils n'ont jamais été choyé jamais été écoutés tandis qu'ici on prend plutôt le pas d'un dialogue attentif c'était ce qui est dit est ce que ça sera fait c'est une autre question comme à peu près tout ici c'est pas tout le ministre reste dans la nuance ça veut dire qu'il n'écoutera pas toujours les organisations syndicales ou les professionnels il ne s'agit pas de cogestion et même si ça ne nous plaît pas trop de l'entendre merci à lui de le rappeler quand même la dernière phrase rassure un peu sur le respect il dit que ce n'est pas dans le bureau du ministre qui l'échangé avec les enseignants et c'est complètement vrai écoutez la politique ne fait pas tout il faut aussi savoir écouter et aller vers les personnels de terrain encore faut-il que ça se fasse réellement quatrième question vous avez annoncé Question n°4 pour la rentrée une grande concertation avec la communauté éducative pourquoi ce grenelle de l'éducation bis encore dans le collectif et le dialogue hors de la verticalité le ministre dit que ce n'est pas du tout un grenelle mais des concertations avec tout un ensemble pour construire des projets pédagogiques innovants on passerait sur l'innovant qui ne veut plus rien dire depuis que l'éducation nationale en a fait sa marque de fabrique souvent aux dépens des personnels et des élèves et on se garde la concertation comme un dire comment dire qu'au bout de cinq ans le blabla ne sert plus à rien et ce sont des actions concrètes que tout le monde attend il ya déjà eu des concertations ya déjà eu un grenelle entre 2020 et 2021 il ya déjà eu des grèves et des manifestations qui expliquait plus ou moins clairement quels étaient les problèmes alors moi j'ai une question maintenant à partir de quel moment les gouvernants estiment qu'ils en savent assez pour se décider à agir augmentation des salaires pour tous dès gel du point d'indicé pour tous dédoublements de classes ou réduction des effectifs en classe pour tous est ce que sam nécessite une centaine de concertation ça là dessus j'ai vraiment l'impression d'y lire jean michel blanquer air et pap ndiaye dialoguer tout à son honneur sauf quand il sait déjà quels sont les dysfonctionnements et comment les régler surtout venant d'un enseignant du supérieur qui comprend aussi bien les enjeux que les collègues de terrain il a beau parler de résultats et de satisfaction des enseignants au top corps l'enseignement et pour ses collectivement ce qui satisfait tout le monde c'est avant tout la mise en oeuvre des mesures concrètes et je ne suis pas sûr que l'expérimentation du recrutement local vue sur 59 écoles de seuil soit tout à fait la priorité des personnels une Question n°5 cinquième question rendre le métier d'enseignant plus attractif c'est aussi revaloriser les salaires quand auront lieu les hausse promise par le président de la république j'ai envie de dire qu'il n'ya pas de surprise non plus dans cette réponse puisque emmanuel macron le disait déjà dans sa campagne présidentielle et que c'était aussi dit en 2019 en 2021 bref ça a été dit des centaines de fois je crois de hausse de rémunération possible la première pour tous les enseignants sans une seule contrepartie tout du moins c'est ce que ces mots promettent on note bien que le salaire des jeunes enseignants doit passer à 2000 euros nets mais rien sur les enseignants en milieu ou en fin de carrière et toujours nada pour les personnels non enseignants fonctionnaires ou agents publics contractuels on a l'habitude d'être des indivisibles tant pis et comme le disait déjà le président la deuxième possibilité sur la hausse de salaire concernera des tâches nouvelles pour les enseignants qui justement accepteront l'émission en plus de celles d'enseignement par contre pas d'exemples concrets de ce que seront ses prochaines missions ni du budget nécessaire ou du salaire en plus méritocratie égalité de traitement et éducation nationale on repassera pour ces trois éléments et si s'investir de manière volontaire n'est pas un problème puisque chacun décide en fonction de ses aspirations et motivation il reste quand même la crainte très justifié que ces demandes de volontariat finissent par devenir des obligations d'une façon ou d'une autre y at il vraiment besoin de conditionner une hausse de salaire quand les personnels en font déjà tant et où caser ses futures missions surtout pour rappel enseigner ces 18 heures dans le secondaire 36 heures pour les professeurs documentalistes et vingt quatre heures dans le primaire ce à quoi se rajoute le temps dans l'établissement et à la maison préparer les cours corriger les copies et se réunir avec l'équipe pédagogique éducative et par an ça ne rentre pas dans les heures de cours pour rappel encore les cpe et les a aidé ses 40 heures sur papier mieux les professeurs des écoles ne peuvent pas faire d'heures supplémentaires alors est ce que ces nouvelles missions leur seront refusés et avec elle la promesse d'un salaire plus digne de la charge de travail Question n°6 16e question 5 millions d'heures de cours perdues en 2019 les derniers concours enseignants qui ne font pas le plein y aura-t-il un prof de juin chaque classe en septembre un prof devant chaque classe en septembre 2022 le valasse qui est promis que dire je ne doute pas de sa détermination à imposer sa marque dans le ministère mais quand on manque déjà d'enseignants titulaires au concours quand on n'arrive même plus à recruter des contractuels remplaçant sans passer par un job dating comment peut-on oser dire que tous les élèves auront le nombre nécessaire d'enseignants parce que franchement si le vivier est aussi simple à trouver j'aimerais bien qu'ils se manifestent avant septembre il aurait déjà dû le faire dès le début de la pénurie de recrutement il est une nouvelle fois question de mettre en place des cellules pour endiguer la pénurie dans chaque académie cellule concertation et héros action en connaît la chanson non monsieur le ministre l'appel massif aux contractuels ne résoudra pas la pénurie de personnel qu'on trouve dans le premier et le second degré surtout quand les contractuels manquent aussi à l'appel où alors ce ne sont pas des personnels qualifiés dont on parle mais les personnes qui ont besoin d'un travail et se lance sans avoir la maîtrise disciplinaire ou la pédagogie nécessaire et là je ne parle pas des contractuels qui pour la majorité sont très compétents autant que les titulaires je parle de personnes qui ne mesure pas la charge de travail de l'enseignement etc ils démissionneront sitôt arrivé septième question qui est des absences Question n°7 de moins de quinze jours non remplacés pourquoi nab estompe à ce seuil les yeux de merlan frit continuent quant au pap ndiaye dit clairement que même si tel accent c'est légitime il serait bon qu'elles soient rattrapés au moment opportun donc un collègue en arrêt maladie qui revient 2 va récupérer des heures qui ne doit pas puisqu'il était en arrêt maladie mais où on va là oui le seuil de remplacement est ridicule et pose des problèmes autant pour les enseignants que pour la vie scolaire mais est ce une raison pour bafouer les lois élémentaires et fondamentales du travail l'exemple donné par le ministre démontre malheureusement tout le ridicule de la réponse sont est désolant pour un enseignant arrêt maladie ça veut dire ce que ça veut dire pas de rattrapage d'heure comment les rattraper d'ailleurs c'est pas que chaque professeur du secondaire à 1 emploi du temps fixe mais si chacun a des heures à respecter et c'est pire pour les professeurs des écoles dans l'hypothèse où cette façon de faire se généralise comment les pme vont faire pour se remplacer entre eux ils sont quasiment tout le temps avec la même classe pendant toute la semaine autre élément ce sont les formations qui augmenterait les absences en classe une suggestion arrive celle de déplacer les formations hors du temps d'enseignement rien télé sauf que le mercredi après midi n'est pas une demi journée de repos pour tous juste comme ça les plp et une partie des professeurs de l eau jt travail le mercredi après-midi m ces formations sur les vacances alors un décret autorise déjà les enseignants à se former sur les vacances ne reste qu'à se rappeler de la notion essentielle de droit à la déconnexion dit un personnage éminent peut aller se faire dorer la pilule à ibiza pendant les vacances je crois que les personnels ont exactement le même droit de s'adonner aux activités qui leur plaisent parce que c'est incroyable mais ce sont leurs vacances aussi le droit à la déconnexion c'est pour tout le monde et autres raisons pour ne pas déranger les vacances ce saut sur ces périodes que les enseignants ont le plus de temps de corriger et de préparer leur support on veut nous faire croire que ce sont les formations qui entraîne le plus d'absences devant la classe des matches qui ne paraît absolument pas honnête quand on a connaissance des vrais chiffres comme si les formations étaient une absence de convenance personnelle pardon mais la formation continue reste un droit également et la question ne se poserait pas si des mesures de remplacement été prise dès le départ Question n°8 8e question les sessions de job dating organisé par plusieurs rectorat pour recruter des profs en 30 minutes ont choqué la profession comprenez vous cette colère avec une réponse plus en nuances pour dire que ces sessions donne une impression de recrutement à la va vite face à des personnes concert compétentes et qu'on engage malgré tout pap ndiaye choisi de rassurer ses ouailles en expliquant que ce n'est pas le cas et que pour sa part il n'utilisera pas ce terme qui ne correspond pas à sa vision du processus arrive la 9e question qui est des mathématiques au lycée en septembre prochain on le disait dans la dernière capsule actu l'option facultative de mathématiques est mise en place dès septembre prochain pour 1h30 d'enseignement le ministre confirme bien que cette option sera présente et quand on lui demande quels seraient les effectifs intéressés il admet que l'annoncé a été faite trop tardivement et sans beaucoup de communication ce qui expliquerait un manque évident d'élèves positionner sur l'option il prévoit toutefois la possibilité de rendre obligatoire dès 2023 possibilité ou probabilité c'est plutôt la deuxième qui gagnerait Question n°9 dixième question comment va se décliner l'expérimentation menée à marseille pour une plus grande autonomie des écoles et notamment le recrutement des profs par les directeurs et directrices on en parlait tout à l'heure là aussi et pap ndiaye confirme bien les soupçons les écoles du futur avec recrutement local seront généralisés progressivement et pas seulement aux écoles si on lit entre les lignes mais là c'est assez subjectif alors je ne m'avance pas il est question de l'amorcé des énièmes débat pour encourager les communautés éducatives à se lancer dans des projets qui suivent les expérimentations de marseille le mot autonomie n'est ici pas employer une seule fois le ministre explique qu'il s'agit davantage de donner des possibilités aux équipes et pas de les mettre en concurrence le recrutement de postes à exigences particulières est vue comme l'une de ces possibilités auxquelles écoles et établissements n'ont pour l'instant pas accès intégralement c'est vrai que recruter localement permettrait de réunir une équipe sur un même projet mais ce qui ne va pas du tout avec cette future généralisation c'est le flou concernant les structures les plus isolées ou difficile on sait très bien que jusqu'à présent la seule chose qui empêche des écoles de se retrouver son personnel ce sont les affectations des mouvements et les concours si le recrutement local devait devenir la norme quels seraient les critères de recrutement et qu'adviendra-t-il des établissements les moins accessibles ceux qui sont déjà en très grande difficulté pas besoin d'aller très loin pour trouver un exemple c'est ce qui se passe avec les vie scolaire en pénurie en zone rurale ou en éducation prioritaire Question n°10 11e question plus de 19 % d'élèves en situation de handicap en cinq ans et pas assez des messages accompagnant des élèves en situation de handicap donc allez vous en recruté 125 me laver sache au passage et ses 125 me laver sages sont pour l'instant en majorité concédant des cdd d'un an renouvelable cinq fois avant de partir vers d'autres cieux est exactement comme pour les a aidés à la différence que la msh à temps complet ces 24 heures à 27 heures maximum donc un salaire de misère pap ndiaye murmure alors à un espoir pour de nombreux collègues celui d'avoir une véritable carrière qui ne se base pas sur des cdd on peut donc se demander si ça sera par le biais d'une titularisation ou d'un cdi en tout cas il est question de les stabiliser avec un meilleur volume horaire et la rémunération qui va avec et même si ce ne sont que des mots pour l'instant j'avoue que ça donne vraiment des espoirs pour la suite combien tsh maltraitée par ses salaires un ding combien d'enfants privés d'avs s h parce que la mdph leur refuse une notification alors qu'il ya beaucoup de personnel disponible dans chaque académie certes la possibilité d'une carrière est un bon point mais rien n'a été dit sur l'épaule inclusive d'accompagnement localiser or c'est lé mans joue un rôle non négligeable dans le mal être des msh Question n°11 douzième et dernière question avez vous les résultats de l'évaluation sur les port de signes religieux ostentatoires à l'école 627 signalement d' atteinte au principe de laïcité c'est ce qui est révélé par le nouveau ministre à prendre compte sur la période décembre 2021 à mars 2022 il explique un peu plus en détail les différences en mettant plus en avant les tenues religieuses et en rappelant les situation délicate vécue par les personnels et les élèves on en pense individuellement ce qu'on veut mais dans le cadre de la loi de 2004 ce sont les port de signes religieux ostentatoires qui ne sont pas acceptés comment différencier le simple port d'insignes considéré comme religieux de la démarche religieuse assumer question pas si simple et réponses pas plus facile à donner ça se joue sur le dialogue entre tous et le bon sens des équipes pédagogiques et en attendant l'accompagnement à ces questions délicates n'est toujours pas optimal de quoi mettre en danger les personnels en fin de compte la réponse donnée ne dit pas grand chose puisse réellement guidées ou aider dans la prise en charge et c'est bien dommage mais ça reflète le gros de l'entretien nous voilà arrivés à la fin de l'épisode Conclusion et bravo à le parisien pour ces questions audacieuse si on compare avec d'autres médias ici les problématiques sont abordés dans les questions même si les réponses restent vagues et 13h seul avec le fonctionnement de l'éducation nationale en ce qui me concerne je reste dubitatif sur une grosse partie des propositions que de la concertation alors qu'on sait déjà les points les plus urgents à travailler toujours un focus sur les enseignants en début de carrière et très peu sur les autres personnels et le reste de la carrière à mes yeux ça ne donne pas tellement une image apaisante malgré une expression qui se veut respectueuse vis-à-vis de tout un secteur pas d' insulte bad animosité apparente et pas de narcissisme bal place et c'est peut-être peu étant donné les dysfonctionnements qu'on vit au quotidien mais ça fait au moins du bien de ne pas se faire traiter de feignasses ou de fonctionnaires surpayés à ne rien faire quant au projet de l'éducation nationale ça ne m'emballe pas du tout il ya des choses que je ne peux pas concevoir des propositions qui n'ont rien à faire dans une institution qui se veut national et égalitaire le reste n'est pas entre mes mains seul je ne peux rien alors la conclusion en deux mots communauté éducative sur ce on se retrouve vendredi prochain sur une histoire de la belle et d'inflation qui le rend service à personne porte toi bien ne baisse pas les bras et repose toi