Gouvernement Michel Barnier : le "casse-tête" des nominations • FRANCE 24

c'est l'heure du face- à faceace entre David revudallon de la revue éémicycle et Pierre Jacquemain du magazine Politi bonjour à tous les deux bonjour alors vos unes respectives pierre on revient sur ces figure dit intellectuel médiatique Caroline Fourest Anto ven Rachel can Sophia Haram et on essaie de déconstruire leur discours qui passe pour un discours intelligent et qui qui repose sur pas grand chose souvent c'est du brutal comme c'est du brutal toujours la une toujours la même une sur les Jeux Olympiques puisque nous sommes toujours un trimestriel et les jeux avec le feu qui se sont on l'a vu bien passer en dépit des des pressions et des risques et la nouvelle une ça ça va arver ça sera dans quelques quelques semaines et beaucoup plus politique et ça va vous plaire Roseline très bien alors combien de temps cette fois si pour trouver un gouvernement maintenant que Michel Barnier est à Matignon le nouveau Premier ministre consulte à son tour du côté des macronis son prédécesseur Gabriel Atal fixe des conditions au futur gouvernement et défend une logique de construction tout en se disant en droit d'être exigeant est-ce que les ennuis commencent bien sûr les ennuis commencent on sait dès qu'on dès le premier jour à Matignon euh il voulait aller vite Michel Barnier il avait annoncé son ambition de nommer un gouvernement dès ce weekend et je crois que bah comme d'habitude l'enfer de Matignon à peine installé dans le fauteuil dans le cockpit euh s'impose à lui et euh déjà le casting du gouvernement on va en parler s'annonce beaucoup plus compliqué que prévu c'est-à-dire que paradoxalement Michel Barnier c'est le premier ministre du fameux bloc central et de LR c'est-à-dire de de ce qui reste de la macronie et des républicains mais même les républicains et même les macronistes font pression sur lui et ne lui donnent pas c'est l'expression consacré un blancin donc quand on sait que de l'autre côté euh le NFP lui promet une motion de censure d'emblé et que le Front national le rassemblement national l'a mis sous surveillance on souhaite bonne chance au nouveau Premier ministre et puis bien sûr il y a les dossiers qui qui le saisissent tout de suite à la gorge et bien sûr le budget on l'a vu qui est quasiment une une mission impossible pour lui puisque on se retrouve avec un déficit beaucoup plus important que que prévu à 5,6 % qui qui qui voilà qui va rendreéquation budgétaire extrêmement délicate pierre sur le perron de de Matignon Gabriel hatal a fini son discours en disant qu'il partait comme un homme qu'il serait un homme libre donc est-ce que il rentrerait-il en rébellion on sait que il a pas digéré la la dissolution euh donc il est-ce qu'il peut mettre des bâtons dans les rou de Michel Barnier oui est-ce qu'il le fera je n'en suis pas sûr euh lui aussi tâche s'attâche va être un peu compliqué parce que les macronistes fuiti aussi le la macronie on voit qu'il y a des av même que le le le Parlement soit de retour à l'Assemblée on voit que un certain nombre de députés dit macronistes euh filent dans dans les rangs du MoDem file dans les rangs de horizon le parti de de d'édoard Philippe donc du coup sa tâche à lui va être ne sera pas simple maintenant ce que vous avez annoncé énoncé le le propos qui a été celui de Gabriel Atal effectivement au moment de la passation était intéressant parce que c'était quand même un discours euh peut-être pas de candidature à l'élection présidentielle peut-être pas non plus de candidature à la mairie de Paris mais quand même un discours de candidature à quelque chose c'estàdire que je vais continuer à exister je serai un homme libre mais je vais continuer à exister et je disais que c'était pas simple parce queon sait que il a possiblement des prétions pour la mairie de Paris on sait que Rachid adati son sa collègue du gouvernement a ces mêmes prétentions et que donc du coup il s'adresse aussi à tous ces gens-là c'est-à-dire que tous ceux qui veulent être les héritiers du macronisme ou les héritiers de la droite il postulent aussi être cet héritier là et être le premier d'entre eux soit pour la mairie de Paris soit pour l'Élysée si il devait y avoir une une élection soit anticipée soit celle de 2027 donc Gabriel dans cette stratégie là il va être à la tête du groupe dit des anciens euh de l'ancienne majorité présidentielle euh mais c'est mais mais mais c'est mais je vois pas très bien comp tenu du fait et des premiers éléments qu'on a de la politique qui va être celle de Monsieur Barnier com mon Gabriel Atal qui a mené une politique de droite qui a toujours accompagné la politique de droite d'Emmanuel Macron pourrait être en désaccord avec Michel Barnier y compris sur les questions d'immigration ils sont quand même allés très loin Gabriel LAL et ses ses camarades de macronistes alors considérer queil pourrait censurer ou en tout cas il pourrait ne pas être d'accord avec Michel Barnier parce qu'il se serait renoncé à leurs valeurs j'aimerais bien savoir queles sont leurs valeurs aujourd'hui parce que ils les ont déjà quand même bien mises de côté en bon marche de manœuvre de Barnier va être délicate parce que euh pas trop penché à droite hein et d'un autre côté euh personne à gauche ou même gauche social-démocrate personne n'ira à priori donc et puis les positions effectivement sur l'immigration avec une rumeur qui est évoquée d'un ministère de l'Immigration ça plairait à la droite et au RN mais pas au centriste ministè l'imigration il a déminé lui-même la rumeur Michel Barnier il a expliqué qu'il n'en qu'il n'en créerait pas juste un mot sur le discours de de départ de Gabriel hatal c'est vrai que c'était presque un discours de politique général enfin un peu plus axé sur son bilan mais il a défendu son bilan il a défendu sa politique il a été extrêmement long ce qui est à la fois pas usuel et un petit peu discourtoi à à l'égard de Michel Bernier d'ailleurs on l'a vu qu' lui ce dernier lui avait fait un petit est-ce que je peux dire un mot un petit retour de bâton après je pense que la question de la position droitière on va dire de Michel Barnier sur l'immigration c'est d'abord et avant tout un défi posé au groupe macroniste qui finalement va passer celui-ci au Tami ou au révélateur on sait que bah la macronie ne tenait que par et pour Emmanuel Macron ça a été dit la macronie elle est en train de s'effriter vous l'avez dit Pierre certains fils avec armée bagage chez Édouard Philippe ou chez François Beyou et et finalement cette question de l'immigration on avait vu que c'était au moment de la du projet de loi immigration c'était la question qui avait fait finalement le plus éclaté le plus divisé ce groupe et donc aujourd'hui la question est encore posée on a eu hier les les journées par parlementaire du groupe Ensemble pour la République nouveau groupe en marche et on a vu que bah c'était véritablement une ligne rouge et que d'un côté l'elle droite de la macronie les anciens de LR en gros sont tout à fait d'accord pour suivre Michel Barnier sur ses positions et de l'autre l' gauche place ça comme une ligne rouge donc en réalité ça va d'abord et avant tout poser la question de de l'unité et de la cohésion au groupe macroniste qui risque quand même d'éclater mais en boomerang évidemment bah si le groupe macroniste éclate ça veut dire que s'il y a une scission mettons ça veut dire que euh ça fait encore moins de voix de soutien pour Michel Barnier qui est déjà très très court et après force de constater que les prises de position ça a été dit qu'il avait défendu pendant la primaire LR de 2021 si ma mémoire est bonne oui c'est ça 2021 quand même c'est en résonance absolue avec les positions du rassemblement national il y avait le moratoire et il y avait la question des remises en cause des juridiction et des traités européens par rapport à l'immigration pour assurer la la la suprémati de de de la de la des juridictions françaises sur l'Europe ce qui d'ailleurs avait valu à l'ancien commissaire européen beaucoup de de de reproche de la part de de ses anciens amis à Bruxelles ses anciens amis à Bruxelles donc voilà donc une vraie un vrai défi stratégique et cette question de l'immigration et d'ailleurs on constate que hier pour finir là-dessus devant le groupe macroniste il n'en a absolument pas parlé il a évité bien sûr le sujet qu' fa il à Gérard Larcher Emmanuel Macron a dit je seraiis un président qui préside j'étais un président qui gouverne est-ce que ça ressemble pas en quelque sorte à une forme de cohabitation de dire ça mais c'est ce qu'ils vont vouloir nous faire croire d'ailleurs c'est vous voyez un peu le on en a souris c'est la pque Barnier que Michel Barnier a lancé à gabrielal en lui expliquant que il avait beau lui avoir mis des dossiers sur la table il pourrait en tant que Premier ministre quand même choisir les dossiers qu'il va vouloir reprendre avoir une petite oui étaas ex marche de manvre son plus avait ses propres priorités qui pass de gabrielal ils ont il y a une espèce de mise en scène des désaccords et des différences pour montrer que c'était pas la que Michel Barnier Nass n'était pas la continuité de la politique de Gabriel Attal et de la politique globalement de de de d'Emmanuel Macron et vous savez je ne cesse de le répéter dans cette émission enfin j'ai toujours pensé et d'ailleurs ce que dit Gérard Larché ne fait que confirmer ce que je dis depuis maintenant le début de la macronie c'est que la macronie est soluble dans le dans les républicains de la même manière que les républicains sont solubles dans la macronie et c'est ce qui est en train de se dérouler Michel Barnier est celui qui va faire fusionner ces droites là la droite macroniste est la droite des républicains il il va il va participer de du du finalement du de la recomposition de la droite sur un angle qui va être un angle quand même beaucoup plus radical que l'on a connu de par l'époque Chirak ù ce qu'on appelle la droite sociale la droite goliste voilà donc ils sont en train de réinventer cette droite ils sont en train de consolider cette droite avec le blancin de Gérard Larcher qui on le sait jusqu'à maintenant refuser systématiquement toute participation au gouvernement quel que soit le gouvernement de d'Emmanuel Macron donc c'est ça qui est en train de se passer c'est la confirmation qu'Emmanuel Macron servi à ça en fait bah si vous me permettez cette métaphore à la fois animalière et cinématographique c'est un peu le guépard Michel Barnier tout change pour que rien ne change moi je suis assez d'accord avec Pierre en réalité la fusion LR macroniste elle existe depuis le début depuis 2017 et quand même des petites des petits accros bah oui mais on avait quand même on avait quand même toute une partie deslr qui par l'odeur à lécher avait rejoint le navire macroniste c'était embarqué Bruno Le Maire géraldin Sébastien le Cornu et quelques autres vous avez quand même une partie de LR qui qui est déjà partie depuis depuis depuis 7 ans avec armé bagage et bien sûr les électeurs sans compter les personnalités donc leslr canal historique qui restait un peu à l'écart se tâtait hésitait votait parfois avec la la majorité l'exmajorité macroniste hésitait à rejoindre le navire mais aujourd'hui on assiste à la véritable fusion acquisition donc en réalité moi je suis je suis assez d'accord avec ce avec cette analyse Michel Barnier il va continuer la même politique avec d'autres moyens avec son style avec plus un peu plus de LR avec effectivement des républicains qui seront plus affirmés et mieux mieux dotés sur le plan ministériel et et gouvernemental mais grosso modo ça va pas changer grand-chose et on a vu que sur les grands sujets en réalité il y a il y a vraiment une convergence de vue sur le budget sur l'économie sur les impôts ça va beaucoup pour l'économie ben je suis désolé c'est quand même quasiment BL bonnet et bonnet bon donc la clarification des législatives elle est elle est là oui mais c'est une enfin peut-être que c'était la clarification qu'emuel Macron voulait mais c'est c'est certainement pas la clarification que les Français ont voulu je je sais qu'il est tjour compliqué d'avoir une une espèce d'affirmation de les Français ont voulu que mais il y a quand même une espèce de holdup démocratique enfin vous vous rendez compte que le dernier parti celui que le parti qui est arrivé en dernier aux élections législatives c'est quand même les républicains c'est eux qui se retrouvent à devoir composer un gouvernement aujourd'hui avec à sa tête le dernier des des oui je sais pas mais des républicains qui va devoir composer un gouvernement avec la droite qui est arrivé en dernière position de législativ et rappelez-vous aux élections présidentielles leore de Valérie PC ce que je veux dire c'est que c'est quand même le plus petit dénominateur commun qui est sans doute dans laffiliation intellectuelle et po d'Emmanuel Macron mais qui va demain gouverner le pays qui déjà gouverne le pays mais avec sans doute beaucoup der et donc avec un angle très à droite et puis avec la surveillance ça a été dit il y a plusise de l'extrême droite mais pardon par exemple quand quand le Parti socialiste refuse d'aller voir Michel Barnier il dit on attend le discours de politique général mais le gouvernement sera formé avant le discours de politique générale all savoir non mais franchement est-ce que c'est pas ça ne manque pas de montre un côté un peu bsé fa on sait on sait qui est Michel Barnier mais quelle est la personnalité de gauche qui va vouloir aller cautionner une politique de droite voir d'extrême droite y compris sur les questions d'imigration qu'on é manger comme l'autre non mais il y a pas à boire et à manger Michel barer-ce qui a dit je sais plus qui a dit je crois que c'est Olivier B j'ai beaucoup aimé cette formule parce que elle est très juste on a vu beaucoup de gouvernements de gauche mener des politiques de droite on a jamais vu un gouvernement de droite mener des politiques de gauche et ça c'est vrai donc je crois pas que Michel Barnier Comand même il veut trouver des personnalités issus de la gauche M des PO de gauche il faut arrêter ist iront par exemple mais ils iront non ils iront au rendez-vous par courtoisie c'est très bien mais vous avez vu la date à laquelle il les a convoqué le 17 17 c'est pas franchement c'est pas très très élégant en tout cas force de constater que pour l'instant le Parti socialiste en dépit de profonde division il est cassé en deux le PS he il y a une moitié des des socialistes qui reprochent à Olivier fort et à l'autre moitié d'avoir refusé de donner leur leur soutien à à Bernard casenuf qui aurait pu sans doute devenir Premier ministre même s'il y a pas que ça et même si bien sûr Emmanuel Macron euh joue de de cette division des socialistes pour camoufler le fait que lui aussi ne voulait pas finalement lui non plus ne voulait pas de Bernard casen tout simplement parce que Bernard casen voulait détricoter la réforme des retraites mais forcé de constater pour l'instant ça tient même les opposants à Olivier fort je pense à Carole Delga Nicolas Mayer Rossignol hen Geofroy et quelques autres ne veulent pas rejoindre le gouvernement Barnier donc s'il attire des socialistes ce sera d'xps en rupture de ban on pense toujours au mêmeuel manuel Vals c'est goen royal et cetera donc de ce côté-là c'est bouché après la vraie question pour Olivier fort et quand même c'est c'est c'est quand même une question importante est-ce qu'il va continuer longtemps à rester scotcher dans cette alliance et notamment à être à la remorque de Jean-Luc Mélenchon et des insoumis c'est quand même une vraie question il y a la moitié de son parti qui est et même un petit peu plus puisque que je crois que l' des enant des opposants font 51 % au dernier congrès est-ce qu'il va est-ce que l'ensemble de ses opposants n'est pas d'accord avec cette ligne et veut qu'Olivier sport se détache et arrêter de rester scachcher et quand même Olivier fort je suis désolé mais connaissant l'histoire du Parti socialiste l'histoire de d'Olivier fort lui-même qui est quand même un pur produit lu du hollandisme enfin c'était le directeur de cabinet adjoint à l'époque où je suivais le PS et ça remonte déjà une quinzaine une bonne quinzaine d'années à sol ferino et donc on le voir aujourd'hui scacher à Jean-Luc Mélenchon tout simplement pardon mais pour des quelques marocain pour quelques sièges de députés sonnant et trébuchant et plein disonsle c'est quand même peu désolant c'est pas quelques sièg ils ont plus que doublé leur nombre de députés je dire on a reproché à Oliv d'avoiré que vousz dire non mais ce que je pense c'est qu'effectivement à un moment donné Olivier fort a eu l'humilité de penser que le Parti socialiste nétait pu la force hégémonique à gauche donc il fallait bien reconnaître qu'il y avait une force hégémonique étaé la France insoumise donc il fallait aller baiser la babouche de Jean je crois c'est que c'est quand même compliquéé c'est compliqué d'avoir envie de reconstruire la gauche sans la première force politique qui est celle de de de Jean-Luc Mélenchon maintenant faut il y a eu 2017 et il y a 2022 depuis 2022 les rapports enfin même y compris d'ailleurs aux dernière législative les rapports de force au sein de la gauche sont plus du tout les mêmes c'est quasiment égalitaire avec le Parti socialiste continuer à se mais il faut arrêter de dire qu'il continue il faut arrêter de dire qu'il continue qui enin ce que je veux dire c'est que il a réussi un exploit quand même Olivier fort il a réussi un exploit Olivier fort c'est de redonner une crédibilité de gauche au Parti socialiste vous n'aviez pas une seule manifestation où les socialistes pouvaient aller il y a encore quelques années parce qu'ils étaient hués sortis parce que c'était les héritiers de Hollande et cetera Olivier fort a eu le courage je trouve c'est rare en politique le courage d'assumer que le Parti socialiste était un parti de gauche et qu'il fallait rompre avec la logique qui était celle de la social du social libéralisme social-démocratie comme social-démocratie populaire comme veulent le laisser entendre les opposants Olivier fort donc non je pense qu'Olivier fort a été un des derniers courageux du Parti socialiste qui a remis le Parti socialiste sur sa gauche mais ça vous plaît pas parce que vous vous préférez qu'il a un discour droite je trouveier fort et courageux pardon mais au vu de ce qui s'est passé depuis les élections législatives anticipées ce sont deux mots qui ne vont pas bien ensemble comme aurait dit les Beatles dans la chanson Michel mais en tout cas ce qui est forceé de constater qu'aujourd'hui il aurait pu faire entendre sa différence il aurait pu dire à cas9 par exemple oui mais à un certain nombre de conditions mais non il rester accroché sur le cas de sur la nomination de Lucy casté et souvenez-vous que même au journé de rentr par socialiste àis il a fait son discours avec Luc c à s côtés comm si Luc c était l'alpha et l'oméga alors que tout le monde sa qu'elle ne sera jamais premire ministre ça ne marchera jamais bar pierre ça ça c'est pas sympa Michel Barnier réveille en quelque sorte la droite qui était en réanimation en mettant quelqu'un de gauche c'està-dire un casneu peut-être que la le Parti socialiste serait réveillé et aurait donné franchement droit dans les yeux Roseline droit dans les yeux vous avez pensé un instant qu'Emmanuel Macron de mourir en premier ministre de gauche mais jamais de la vie jamais de la vie il ne voulait quelqu'un qui défasse qui allait défaire les mesures qui ont été celles qui ont été les plus structurantes mais c'est évident jamais il n venu à l'esprit d'Emmanuel Macron de nommer un Bernard casen encore moins alors qu'est-ce que vous faites de l'élection de gluxman par exemple parce que vous la gauche dit on nous a volé l'élection mais ceux qui ont voté pour rient très en arrière là on vient aux europées oui enfin bon pardon mais là aussi c'est quand même Olivier fort qui s en accord avec place publique il faut arrêter de dire que Olivier fort n'est pas enfin il a pas fait le choix de Jean-Luc Mélenchon à ce moment il a fait le choix de de d'ouvrir le Parti socialiste comme il l'avait fait aux dernières européennes en nomant une personnalité qui a des engagements forts sur les questions des pas volé son élection on lui a pas volé son scrutin mais à qui à guxman il a 14 bah on en parle il a fait 14 la France il a fait même pas 14 il a fait 13 quelques un peu plus 13 la franceise fait un peu plus presque 10 presque 10 oui c'est c'est beaucoup mieux c'est pas non plus un renversement de des rapports de force à gauche vous le disiez vous-même si on compare avec les scores de la présidentielle rersement ah c'est toalement un renversement c'est pour ça que je dis que le parti le Paris d'Olivier fort et le bilan d'Olivier fort c'est aussi tout ça donc je trouve que ceux qui l'attaquent aujourd'hui oublient un tout petit peu qui que justement un il a remis le Parti socialiste sur les rails les rails de la gauche et c'est quand même par Ren européenne c'est plus rapel gluxman que qui est en extérieur op PS puisquil a son propre m ce dire ça n'allait pas de soi qu'Olivier fort devait choisir absolument Luxman ça quand même étaé le choix d'Olivier fort enfin je il aurait pu faire un autre choix Olivier fort à la tête du parti sociiste ça a été son choix je pense que ça fait partie de son bilan la qualité du de la candidature de de Raphael glman quand mêmeê qui vente à gauche ça fait partie du bilan d'Olivier fort il n aura pas de récuem de fort cette cette émission vous voulez que la vous voulez que la gauche soit droite c'est ça le problème Ros parce que vous considérez que Bernard casen c'est la gauche de droite c'est pour vous la droite de la gauche ou en tout cas il aurait pu être Premier ministre il vient quand même du Parti socialiste il été prier min quand même que moi ce qui me ce qui me ce qui me tr étonnant c'est qu' il a fait quoi il a pas fait la campagne des européennes il a pas fait la campagne législative c'est quoi le projet de ber on n sait rien allez merci merci à tous on se fait disputer dans l'oreillette merci à tous les deux on se retrouve la semaine prochaine pour de nouvelles aventures