1 - Réparer les vivants de Marylis De Kerangal - Chapitre 1 - livre audio

[Musique] réparer les vivants de mais de Kerangal lecture du premer chapitre ce qu'est le cœur de Simon l'mbre ce cœur humain depuis que sa cadence s'est accélérée à l'instant de la naissance quand d'autres cœurs au dehors accélérit de même saluant l'événement ce qu'est ce cœur ce qui l'a fait bondir vomir grossir valser léger comme une plume ou pesé comme une pierre ce qui l'a étourdi ce qui l'a fait fondre l'amour ce qu'est le cœur de Simon l'imbre ce qu' l'a filtré enregistré archivé boîte noire d'un corps de 20 ans personne ne le sait au juste seule une image en mouvement créée par ultrason pourrait en renvoyer l'écho en faire voir la joie qui dilate et la tristesse qui resserre seul le tracé papier d'un électrocardiogramme déroulé depuis le commencement pourrait en signer la force en décrire la dépense et l'effort l'émotion qui précipite l'énergie prodiguée pour se comprimer près de 100000 fois par jour et faire circuler chaque minute jusqu'à 5 litres de sang oui seu cette ligne là pourrait en donner un récit en profiler la vie vie de flux et de reflux vie de vanne et de clapet vie de pulsation quand le cœur de Simon l'imbre ce cœur humain lui échappe aux machines ul ne saurait prétendre le connaître et cette nuit-là nuit sans étoile alors qu'il gelait à pierrefendre sur l'estuaire et le pays de CO alors qu'une houle sans reflet roulait le long des falaises alors que le plateau continental reculait dévoilant ses rayures géologiques il faisait entendre le rythme régulier d'un organe qui se repose d'un muscle qui lentement se recharge un pou probablement inférie ur à 50 battements par minute quand l'alarme d'un portable s'est déclenché au pied d'un lit étroit l'écho d'un sonnard inscrivant en bâtonnet luminescent sur l'écran tactile les chiffres 5h50 et qu'en soudain tout s'est emballé lecture du passage suivant cette nuit-là donc une camionnette freine sur un parking désert s'immobilisent de travers les portières avant claquent tandis que coulissent une ouverture latérale trois silhouettes surgissent trois ombres découpées sur l'obscurité et saisies par le froid février glacial rinit liquide dormir habillés des garçons semble-t-il qui zipent leurs blousons jusqu'au menton déroulent leurs bonnets au ras des ciles glissent sous la laine polaire le haut char nuU de leurs oreilles et soufflant dans leurs mains joint en cornet vont s'orienter face à la mer laquelle n'est encore que bruit à cette heure du bruit et du noir des garçons ça se voit maintenant ils sont alignés derrière le muret qui sépare le parking de la plage piétine et respire fort narine douloureuse à force de tutoyer l'iode et le froid et il sonde cette étendue obscure où il n'est nul tempo hormis le fracas de la vague qui explose ce vacarme qui force dans l'écroulement final scrute ce qui gronde au-dant d'eux cette clameur dingue où il n'ait rien sur quoi poser le regard rien hormis peut-être la lisière blanchâtre mousseuse miillard d'atomes catapultés les uns contre les autres dans un halo phosphorescent et assommé par l'hiver au sortir du camion étourdi par la nuit marine les trois garçons maintenant se ressaisissent règlent leur vision leur écoute évaluent ce qui les attend le sile jauge la houle à l'oreille estimant son indice de déferlement son coefficient de profondeur et se souvient que les vagues formées au large progressent toujours plus vite que les bateaux les plus rapides c'est bon l'un des trois garçon a murmuré d'une voix douce on va se faire une bonne session les deux autres ont souri après quoi tous ont reculé ensemble lentement raclant le sol de leurs semelle et tournant sur eux-mêmes des tigres ils ont levé les yeux pour creuser la nuit au fond du bourg la nuit close encore en arrière des falaises alors c lui qui a parlé a regardé sa montre encore un quart d'heure les mecs et ils sont remontés dans le camion attendre l'aube nautique Christophe Alba Johann rocher et lui Simon l'mbre les alarmes sonnaient quand ils ont repoussé leurs draps et sont sortis du lit pour une session conclue peu avant minuit par échange de texto une session à mi Maré comme on en compte deux ou trois dans l'année m formée oule régulière V faible et pas un chat sur le spot un jein un blouson ils se sont glissés au dehors sans rien avaler pas même un verre de lait une poignée de céréal pas même un bout de pain se sont postés au bas de leur immeuble Simon devant le portail de leur pavillon Johann et ont attendu le camion qui lui était aussi ponctuel Chris et eux qui jamais ne se lèv avant midi le dimanche malgré les sommations maternelles eux dont on dit qu'ils ne savent que penduler chiic MOL entre le canapé du salon et la chaise de leur chambre il piafait dans la rue à 6h du matin làass des fait haline fétide sous le réverbère Simon l'umre a regardé se désagrégit l'air qu'il expirait par la bouche les métamorphoses de la fumerolle blanche qui s'élevait compacte puis se dissolevait dans l'atmosphère jusqu'à disparaître c'est souvenu qu'enfant il aimait jouer au fumeurs plçit l'index et le majeur tendu devant ses lèvres prenait une large inspiration en creusant les joues et soufflait comme un homme eux sont les trois cabaleros soit les big waves Hunter soit Chris John et Sky alias jouant non comme des surnoms mais comme des pseudonymes puisque créer pour se réinventer surfeur planétaire quand on est lycéen d'estuire si bien qu'à l'inverse prononcer leur prénom les rabats illiicot sur une configuration hostile la bruine glacée le clapeau maigre les falaises comme des murs et les rues désertées à l'approche du soir le reproche parental et la requette scolaire la plainte de la petite amie laissée sur le carreau celle à laquelle on aura cette fois encore préféré le van celle qui ne pourra jamais rien contre le surf ils sont dans le van jamais ils ne disent camionnette plutôt crevé humidité craspec sable granulant les surfaces et râppant les fesses comme du papier de verre caoutchou somatre puanteur d'estrân et de paraffine surf empilé monceau de combinaison shortti ou intégral épaisse à cagoule incorporé gant chausson wax en peau liches ils sont assis tous les trois à l'avant serré épaule contre épaule ont frotta leurs mains entre leurs cuisses en poussant des cris de singe ça caille après quoi ils ont mastiqué des barres de céréales vitaminées mais faut pas tout becter hein c'est après qu'on dévore après c'est fait dévorer justement sont passé près de la bouteille de coca le tube de lait concentré nesselé les pépitos les Chamonix les biscuits de garçons mou et sucrés ont fini par ramasser sous la banquette le dernier numéro de Surf Session qu'ils ont ouvert contre le tableau de bord accollant leurs trois têtes au-dessus des pages qui luisaient dans la pénombre le papier glacé comme une peau hydratée d'ambre solaire et de plaisir des pages tournaient des milliers de fois qu'il r à nouveau golbe basculé hors des orbites bouches sèche déferlandes de mavéque et de Point Break de Lombok rouleau de JAAS à Hawaï tube de vanouatou lame de Margaret River les meilleurs rivages de la planète déroulent ici la splendeur du surf ils y pointent des images d'un indexe ferment là là ils iront là un jour peut-être peut-être même l'été prochain les trois dans le camion pour un surf de légende ils partiront à la recherche de la plus belle vague qui se soit jamais formée sur terre ils rouleront en quête de ce spot sauvage et secret qu'ils inventeront comme Christophe Colomb a inventé l'Amérique et seront seuls sur le lineup quand surgira enfin celle qu'ils attendaient cette onde venue du fond de l'océan archaïque et parfaite la beauté en personne alors le mouvement et la vitesse les dresseront sur leur planches dans un r d'adrénaline quand tout leur corps et jusqu'à l'extrémité de leurs cil perlera une joie terrible et ils chevaucheront la vague ralleront la terre et la tribu des surfeurs cette humanité nomade aux chevelures décolorées par le sel et l'éternel été aux yeux délavés garçons et filles n'ayant pour tout vêtement que ses shortes imprimés de fleurs de tiaré ou de pétales d'hibiscus ces t-shirts turquoises ou orange sanguine n'ayant pour tout soulier que ces tongues en plastique cette jeunesse lustrée de soleil et de liberté jusqu'au rivage il surferont le pli on va arrêter là la lecture de réparer les vivants de myis Kerangal dans mon édition je suis à la page 17 on va résumer le livre réparer les vivants de Maelis de kerengal on commence par résumer ce que j'ai appelé arbitrairement le chapitre 1 puisque le livre n'est pas partagé sous forme de chapitre c'est juste jusqu'à la page 17 donc on a une première partie qui parle du cœur de Simon l'mbre et qui interroge le lecteur en essayant de décrire ce cœur ce cœur qui s'est accéléré à la naissance de Simon l'imbre donc en même temps que s'accélérait les cœurs de tous ceux qui étaient autour de lui pour ce premier jour de sa vie donc le cœur qui fait des mouvements mécaniques mais qui est aussi le siège des émotions et on comprend que Simon l'mbre est dans un hôpital parce que son cœur est mesuré il y a un électrocardiogramme qui trace des traits sur un papier et un écran qui renvoie une échographie où on voit battre ce cœur et il est dans un lit un petit lit étroit d'hôpital et il y a un écran tactile qui met à sonner il est 5h50 dans le passage suivant la mer est décrite longuement on se retrouve dans une ville estuaire on est avec trois garçons donc le fameux Simon l'mbre et deux amis à lui qui sont Johann et Chris c'est-à-dire Johann rocher et Christophe Alba qui se donneent de des pseudos Chris John et Sky qui sont montés dans une camionnette qu's appellent un van qui sont des jeunes surfurs dont les parents trouvent qu'ils sont un petit peu lymphatiques pas très réactifs ils ont une vingtaine d'années et le dimanche il se lèvent jamais avant midi il y a quand même une chose qui les emballe et qui les fait rêver c'est le surf donc ils se sont levés très tôt il est 5h du matin ils sont déjà prêts dans leur Vann en train d'observer la mer regarder les vagues d'où elles viennent et cetera et il s'apprêteent à aller surfer faire une session de surf ce sont des grands fans de surf ils lisent un magazine de surf justement dans leur Vann il y a plein de matériel ils ont même pas déjeuné ils se sont levés en plein milieu de la nuit pour pouvoir se rendre dans ce lieu il rêvent de partir dans des belles plages qui sont montrées sur leur magazine de surf et c'est là que j'ai arrêté la lecture de ce premier chapitre pour ce qui est de l'écriture je suis un petit peu déçu parce que j'en avais entendu parler et je m'attendais à ce que ce soit vraiment une magnifique écriture et je trouve que les phrases sont longues compliquées et pas très agréable alors c'est peut-être parce que j'ai pas assez de connaissance en mer et en surf en vocabulaire spécifique pour pouvoir être touché par ces descriptions n'hésitez pas à me donner votre avis je suis pas certaine que je vais continuer la lecture de ce livre mais n'hésitez pas à me donner votre avis fin du résumé