AUDITIONS LÉGISLATIVES 2024 | Eric Coquerel, Boris Vallaud - Nouveau Front Populaire

Published: Jun 20, 2024 Duration: 00:52:34 Category: News & Politics

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[Musique] comme vous voulez B soit vous vous mettez sur le même canapé pour mieux vous surveilleer soit vous mettez un sur chaque canapé comme vous voulez merci en tous les cas d'être là j'imagine que l'exercice n'est pas forcément évident peut-être c'est la première fois que vous trouver tout à l'heure Patrick Martin disait qu'il y avait à peu près 90 % des entreprises privées qui étaient représenté ici dans cette salle je sais pas si ça vous est arrivé souvent mais en tous les cas on a beaucoup de questions à vous poser je vous rappelle rapidement les règles pendant 15 minutes on va échanger puis vous allez pouvoir exposer ce que vous voulez pour la France et notamment en terme de programme économique c'est l'objectif de cette réunion ce matin et puis après vous aurez pendant une petite demi-heure des questions de la salle des représentants des des 15 organisations patronales qui sont là je ne sais pas qui veut commencer moi ma première question alors avec un micro il faudra deux micros vous oui j'ai juste une question peut-être avant et après vous pourrez faire votre intervention au pupid comme vous voulez une intervention comment est-ce que vous pouvez vous imaginez bien que votre programme notamment votre programme fiscalité programme vis-à-vis des entreprises bien inquiète beaucoup de chez chef d'entreprise comment puisqu'ils sont devant vous comment est-ce que vous pouvez les rassurer si vous avez envie de les rassurer Boris valallot madame d'abord pour répondre à votre question est-ce qu'il est habituel que nous rencontrions les organisations patronnales les organisations professionnelles oui nous le faisons depuis longtemps j'ai eu l'occasion de le faire dans les fonctions que j'ai occupé comme directeur de cabinet du ministre de l'industrie comme secrétaire général adjoint de l'Élysée et je le fais depuis 7 ans dans ma circonscription plus souvent qu'à mon tour au contact des chefs d'entrepris j'ai bien compris la question que vous nous posez et si nous sommes là aujourd'hui c'est en effet pour donner les orientations et les grands axes du projet qui est le nôtre et pour à travers les questions qui seront posées entamer déjà un dialogue avec les forces vives du pays en sortant de ce dilemme appauvri faut-il aimer ou détester l'entreprise et si vous m autorisé puisque c'est ce qui nous a été demandé j'ai précisément formalisé une une introduction qui ensuite évidemment j'imagine ouvrira les questions de celles et de ceux qui sont là et ben alors allez-y je sais pas si c'est ERC ocrel ou Boris Vallot vous êtes réparti les tâches difficile tâche je suis un peu plus peti édroard Philippe donc je baisse légèrement les les micros d'abord mesdames et messieurs pour vous remercier de nous donner l'occasion d'être là aujourd'hui réuni dans un exercice qui a toutes les les apparences de l'ordinaire puisque c'est un exercice qui précède en général les échéances électorales et qui pourtant je le dis avec force n'a rien d'ordinaire car le moment car au moment où nous nous réunissons nous nous présentons devant vous l'heure est grave l'heure est inquiétante l'heure est dangereuse et je veux croire que chacune et chacun d'entre vous ici on a la profonde conscience nous sommes d'abord ici devant vous parce que le Président de la République a décidé d'une dissolution à laquelle il n'était pas tenu et qui a pour conséquence funeste de nous plonger collectivement dans l'abîme et dans l'incertitude et c'est d'abord à lui et lui seul que revient la responsabilité de cette situation et si la gauche fait front aujourd'hui c'est parce qu'il nous faut faire face et ce sont ces portes ouvertes à l'extrême droite par Emmanuel Macron que nous devons refermer et je ne vous le dis pas le cœur réjouit je vous le dis au contraire avec mon cœur de démocrate avec mon cœur de socialiste de citoyens et de hauts fonctionnaires engagés depuis des années au service du bien commun je le dis aussi avec beaucoup de gravité parce que j'entends les uns et les autres dans leurs commentaires que chacun se garde des leçons de morale et d'économie si elles conduisent à consentir au triomphe du pire la question qui nous est posée à cette heure que vous devez vous poser vous aussi comme citoyen mais aussi comme chef d'entreprise et simple dans sa formulation mais je mesure aussi à quel point elle est difficile dans sa réponse avons-nous fait suffisamment pour ne pas vivre dans un pays fracturé dominé par les peurs par la peur de l'avenir etrongé par un sentiment d'injustice un pays dans lequel en définitive chacun défend sa colère avons-nous fait suffisamment pour ne pas nous retrouver dans la situation dans laquelle nous sommes aux portes de l'extrême droite l'ennemi mortel de la République et de la démocratie l'ennemi mortel de l'Europe c'est-à-dire de nos intérêts économiques avons-nous fait suffisamment pour défendre les services publics notre patrimoine commun celui de celles et de ceux qui nonont que cela avons-nous fait suffisamment pour défendre l'hôpital tenu à bout de bras par des soignantes et par des soignants avonsnous fait suffisamment pour nos enseignants nos usussards épuisés auxquels nous confions chaque matin nos enfants et l'avenir de la France avons-nous fait suffisamment pour les femmes et pour les hommes ouvriers ou patrons qui n'ont que leur travail pour vivre pour qu'il puissent effectivement en vivre dignement et que les fins de mois ne tapent pas à la porte chaque mois un peu plus tôt avons-nous fait suffisamment pour que nos ouvriers nos infirmières nos caissières nos employés qui aiment leur travail et qui n'aspirent qu'à bien le faire on retrouve le goût et le sens avons-nous fait suffisamment pour défendre le travail digne pour défendre la valeur du travail et la centralité du travail dans nos sociétés avonsnous fait suffisamment avez-vous fait suffisamment pour notre pays posons-nous posez-vous cette question en patriote ardent en républicains intransigeents en démocrate mesdames et messieurs ce sont à ces questions parmi tant d'autres qu'il nous faut désormais répondre chacun a sa place chacun conscient qu'il peut agir dans cette élection bien sûr mais dans les longues années de reconquête d'un avenir en commun apaisé je voudrais en quelques mots désormais vous donner le sens et la direction de notre projet en commençant d'abord par dénoncer le rodomontade du gouvernement qui a échoué qui a été sanctionné par les agences de notation et désormais par la Commission européenne c'est leur bilan ça n'est pas le nôtre la tique d'Emmanuel Macron c'est d'abord la dégradation des finances publiques et le désarmement fiscal dénoncé lisez-le paragraphe 21 par la Commission européenne hier sans ambage 50 milliards de recettes fiscales en moins chaque année rendu aux plus riches et aux multinationales sans contreparti qui manque désormais à nos services publics et à nos investissements la politique d'Emmanuel Macron c'est ensuite l'inefficacité d'une politique de l'offre et l'impasse économique la France investit peu moins que ses partenaires européens le décrochage technologique est patent le décrochage industriel se confirme et les résultats en terme de croissance économique ou de productivité sont en berne et enfin c'est laaffablissement de notre modèle social de notre cohésion nationale de la confiance dans notre modèle social et l'explosion de la pauvreté et pour répondre à la question avons-nous fait suffisamment que je nous adressais tout à l'heure nous voulons en effet avec le Front populaire inverser la logique des choses et rompre de façon claire avec la politique mise en œuvre depuis 2017 nous traçons un cap des grandes lignes dont je voudrais vous restituer la substance en vous disant avant toute chose qu'il est une pratique que nous remettrons en place parce que nous y tenons et nous y croyons c'est celle du dialogue social celle du respect des partenaires sociaux des corps intermédiaires la nécessité de leur écoute nous ne voulons ni de la caporalisation ni de l'infantilisation des partenaires sociaux et notre premier acte sera sans délais de vous réunir notre projet mesdames et messieurs part des besoins et vise une relance forte de la croissance dans la justice en dégageant les moyens nécessaires pour financer la transition écologique qui ne saurait attendre et engager le réarmement industriel dont nous avons besoin le premier levier c'est un repositionnement de l'État au centre de l'économie pour distribuer du pouvoir d'ACh a chat pour orienter les investissements vers les grandes priorités vers la bifurcation environnementale et entraîner l'ensemble de l'économie nous le ferons pas sans vous c'est la planification écologique c'est la relance du logement c'est la souveraineté industrielle c'est l'aménagement du territoire en particulier dans les territoires ruraux et pour financer ce repositionnement le programme m fin un certain nombre de dépenses fiscales improductives sur le capital et restaure les marges de manœuvre de l'État tout en gardant je le dis au PME constant le cadre juridique et fiscal qui leur est aujourd'hui applicable comme par exemple parce que je sais que cela compte ce qui a été acquis en terme d'apprentissage cette relance est une relance késienne avec un effet multiplicateur très fort comme le souignent de nombreux économistes en particulier ce qui est notre cas dans un contexte de basse conjoncture et elle s'autofinance largement à travers le retour de la croissance les nouvelles marges de manœuvre financière de l'État doivent également lui permettre de re notre modèle social avec l'abrogation d'un certain nombre de réformes injustes et surtout non concerté l'abrogation de la réforme de l'assurance chômage c'est d'abord un acte de confiance dans le dialogue social car nous vous rendrons les clés de la négociation nouvelle marge de manœuvre financière de l'État doiv également lui permettre je vous l'ai dis de retisser notre modèle social et de reconstituer de défendre nos services publics c'est important pour nos travailleurs c'est important pour nos chefs d'entreprise la santé l'éducation la culture notamment le second levier vous le savez est une relance salariale massive comme en Espagne dans les secteurs public et privés cela aura des effets sur la demande par la hausse du pouvoir d'achat des salariés mais également sur l'offre de travail et nous compenserons pour les PME les surcûts que cela engendre tout le monde s'accorde aujourd'hui et je crois pas qu'ici vous me contesterez sur le fait que les salaires sont trop faibles dans nombreux secteurs et que les difficultés de recrutement persiste notre programme permet de stimuler le retour sur le marché du travail par des emplois et des salaires décents d'une grande partie de la population la politique de l'offre madame je je termine la politique de l'offre doit viser le travail et pas seulement le capital nous voulons une politique de l'offre de travail parler de travail et pas seulement d'emploi et enfin nous voulons une reconquête industrielle reconquête de notre souveraineté par le protectionnisme écologique et social aux frontières de l'Europe par la défense de la base industrielle France j'étais celui qui au nom d'Arnaud mondbourg a négocié le décret sur les investissements directs étrangers devant le Conseil d'État un pays qui ne produit pas et dans les mains des prod qui produisent nous voulons être un pays de producteur et pas seulement un pays de consommateur mesdames et messieurs ce projet est séquencé il distingue le temps court du temps long dans sa mise en œuvre il n'est pas aveugle à la situation le temps des ruptures pour répondre aux urgences sociales le temps des bifurcations pour répondre aux urgences écologiques le temps des transformations pour recoudre un pays fragmenté fracturé qui a besoin d'apaisement et nous avons dans ce projet besoin de vous c'est le projet choisi par les démocrates et Biden qui ont théorisé les bénéfices d'une surstimulation dans ce schéma de retour de la croissance d'augmentation de l'emploi notre bouclage microéconomique prévoit aussi progressivement le retour au grands équilibre la baisse des déficits et la décru de la dette publique je l'avais dit et j'en conclus promesse sortons du dilemme appauvri faut-il aimer ou détester les entreprises et fondons ensemble un Pact productif nouveau unissant les travailleurs les capitaines d'industrie les consommateurs et nous saurons pour cela à vos côté c'est ainsi je crois que nous ferons suffisamment et que nous pourrons faire barrage merci beaucoup Boris valallot poser deux trois questions et après vous pourrez répondre aux questions de de la salle juste vous avez une phrase assez forte Boris Vallot vous avez un peu interpellé les chefs d'entrepris vous l'avez vous leur avez dit est-ce que vous avez fait suffisamment la question qu'on peut se poser derrière c'est est-ce que ça veut dire vous avez suffisamment augmenter les salaires de vos salariés est-ce que pour vous parce que il y a deux points clés évidemment dans dans votre programme qui qui qui font peur la fiscalité on va y revenir mais la question aussi de l'augmentation du SMIC il y en a beaucoup ici qui vous disent on y arrivera pas vous avez parlé de compétitivité vous avez parlé de de de programme de de de production comment comment est-ce que vous comment est-ce que vous faites pour augmenter des salaires alors que la compétitivité des entreprises françaises elle est très fragile bah je vais répondre voilà on avait prévu de faire une intervention préliminaire donc je vais répondre à travers votre question en réalité moi je crois que les chefs d'entreprises la plupart des chefs d'entreprise de ce pays la grande majorité dont j'ai été d'ailleurs TPE PME tous ceux qui produisent des richesses et qui qui quelque part ne regardent pas j'allais dire leur la santé de leur entreprise à l'ône finalement d'action côté en course mais à leur carnet de commande à la satisfaction de leurs clients à la satisfaction de leurs salariés je crois qu'ils ont tout intérêt à ce que les salaires augmentent parce que si les salaires augmentent je rappelle que les salaires réels moyens ils ont baissé de 2,5i % depuis 2017 quand les dividendes du CAC 40 à laquelle je suppose la grande majorité des les gens qui sont ici sont étrangers ont doublé passant de 50 à 98 milliards d'euros donc nous ce que nous voulons et ce que nous disons parce que nous pensons que les chefs d'entreprises qui justement produisent ces richesses avec leurs salariés ont tout intérêt à ce que ces salariés soient des consommateurs qui achètent leurs produits nous ce que nous disons c'est qu'il faut effectivement faire migrer nous l'assumons une partie de ces revenus qui ont été avec des avantages fiscaux évidents nourrir ce que j'appellereraai ces rente actionnarial on peut dire ver ce qu'on veut vers les revenus du travail et si ça migre vers les revenus du travail alors vous verrez que les carnets de commande de ces entreprise se se rempliront donz raison TER vous voyz bien qu'on rent dans une spirale inflationiste on rentre surtout dans un cercle vertueux qui permet d'avoir une politique qui DOP la demande et qui fait que à un moment donné le chef d'entreprise le commerçant le la petite boîte et bien va se retrouver avec davantage de car de commande et surtout va se retrouver aussi parce que moi je pense que je vais vous dire je pense que la plupart des la grande majorité entreprise ils ont envie de bien payer leur salariés voilà c'est ce que je crois je pense qu'ils ont envie pas forcément de devoir sans arrêt abaisser par exemple leur prix par rapport à un univers concurrentiel largement dérégulé qui les oblige à le faire par rapport à leur voisins et donc ces chefs d'entreprise là si ils ont en réalité tout intérêt à ce que ce système là mette en ur leurs produits leur permettent de vendre bien voilà moi je pense que c'est ça la base et pour répondre aux 1600 € nous le savons bien que pour certaines entreprises ça va être un choc difficile oui mais je pense que tout le monde n'est pas homogène ici enfin on y reviendra peut-être là-dessus ce qui explique d'ailleurs pourquoi je vois je je vois le président Martin en face de moi qui a eu la franchise hier de comparer notre programme en disant qu'il était pire que le rassemblement national d'un point de vue économique je suis pas sûr président Martin je je vous remercie de votre franchise quelque part bon c'est un grand classique hein à chaque fois que la gauche va gouverner le patron des des des patrons comme on dit a des réactions et la vote est finalement assez timide par rapport à ce qui s'est passé en 81 97 mais je ne suis pas sûr que dans votre réaction il y ait quelque chose qui représente l'intérêt de tous les chefs d'entreprise parce que je crois qu'en réalité vous n'êtes pas homogène par rapport à ça certains chefs d'entreprise ont tout à fait avantage par exemple parce que à la politique d de compétitivité qui avantage la fiscalité du capital qui a été prise par Monsieur Macron mais la grande majorité ils ont intérêt à ce que le monde du travail soit mieux payé pour pouvoir acheter leurs produits ça c'est nécessité donc on nous ce que nous proposons par la relance kénésienne qui a été importée et également avec la bifurcation écologique qui fait que si on met ses moyens l'état vair va venir aussi remplir les carnets de commande de ces entreprises si vous rénovez plus de bâtiments bah le bâtiment le bâtiment se porte bien le premier choc qui sera peut-être difficile à passer ce que nous allons nous dire clairement d'après France stratégie en 2019 il y a 223 milliards d'euros d'aide ou d'exonération aux entreprises quasiment sans conditions c'estàdire qu'une entreprise par exemple qui va réorienter une part de ses profits davantage dans les dividendes que dans les investissements de l'emploi elle recevra ses aides comme une autre nous ce que nous disons c'est qu'il faut les réorienter différemment et il est évident et je m'adresse notamment à tous les secteurs qui se disent bon moi je sais pas comment je vais faire pour faire en sorte d'augmenter le SPE nous les aiderons voilà nous prioriserons nous prioriserons dans les aides de l'État les entreprises qui créent de l'emploi les entreprises qui pent bien le ça fonctionnera parce que Fabien rousal donc du PCF a dit qu'effectivement il y aait un fond pour aider les PME les PMI à augmenter le SMIC comment ça va fonctionner ple fa faire vous avez un fond on peut aussi agir sur du crédit à tau nul par exemple parce que souvent c'est des problèmes de trésorerie moi je je sais pas vous il y certainement dans la salle moi quand j'étais chef d'entreprise je me tournais vers les banques à un moment donné quand il y avait tout d'un coup une difficulté il y avait plus personne à la porte pour recevoir éventuellement quand tout allait bien oui donc à un moment donné il faut s'emparer y compris par en renforçant le pôle public bancaire de ce qui permet d'avoir pour passer ce moment ce moment difficile de trésorerie qui peut aller jusqu'à 2 ans pour permettre à ces entreprises de passer lesécueil nous pouvons le faire ces entreprises paieront mieux leurs salariés et tout le monde en bénéficiera Éric ocrel je dois faire un peu la maîtresse d'école vous savez pour les règles sont là pour tout le monde on avait 15 minutes ensemble donc on c'est un tout petit peu é courté j'ai encore évidemment beaucoup de questions sur le fisc mais maintenant place aux questions de la salle vous allez leur répondre il y a on à peu près une petite demi-heure d'abord vous avez une question sur le budget une question de l'UDP posée par myiam peradzi où est-elle est-ce qu'elle est elle est là derrière vous avez des photographes voilà si messieur vous pouvez vous asseoir une seconde le temps qu'on puisse voir bonjour milen prez je suis représentante de l'UDP trésorière de l'unaplunion nationale des professionnels libéraux et comme vous allez le constater à ma question je suis une professionnelle du chiffre Valérie Rabo a évalué les dépenses supplémentaires de votre programme à 106 milliards d'euros par an Aurélie Trouvé a indiqué qu'il s'agissait d'une vision personnelle et que ce chiffre était très insuffisant pour financer le programme un chiffrage commun est annoncé pour les prochains jours cette absence de cohérence est-elle bien sérieuse vers combien se dirige-t-on et est-ce que vous pouvezous au moins nous donner une fourchette de du financement de votre programme alors je vais vous annoncer une bonne nouvelle nous aurons un budget commun qui sera séquencé je vous fais remarquer on a quand même un paradoxe he c'est qu'il y a des gens qui nous somme d'avoir un budget extrêmement précis sur les années à venir qui sont les mêmes je parle pas de vous là je parle du gouvernement qui nous ont fait adopter son vote une loi de finance fin 2023 qui 2 mois après c'est fin 2023 qui 2 mois après s'est révélé caduc d'accord tant en terme de de de de la manière dont il le basait sur la croissance que sur les déficits et bilan tr mois après on nous annonce qu'on va amputer à nouveau 30 milliards d'argent public donc j'allais dire que on est les seuls à qui on demande finalement une précision absolument j'allais dire à la virgule près sur le budget qu'on compte mettre en place alors que nous n'avons pas à notre service encore je dis encore vous avez compris mon optimise les services de Bery et que les autres ne n'ont même pas à à y prétendre la loi de programmation des finances publiques qui a été proposée il y a un mois elle est est jugé non crédible par le Haut Commissariat des finances publiques c'est juste pour répondre par rapport à la crédbilité mais maintenant je vous le dis effectivement dans deux jours nous présenterons un budget qui sera très détaillé pour les premiers temps un peu moins parce que nous attendons des effets macro-économiques pour la suite vous l'aurez compris mais qui sera cohérent et pour vous répondre sur ce qui s'est passé avec Valérie Rabo c'est simple c'est que nous sommes en train de travailler tous les jours on se réuni moi je vais vous dire j'ai terminé cette nuit à 4h30 mais je suis content de vous retrouver ici pour discuter et nous donnons des contributions Valérie a fait une contribution qui en l'occurrence est budgetée sur 2 ans alors vous savez qu'on part sur 5 ans et nous prenons cette contribution par exemple elle définit aussi un taux de déficit bon qui peut être discutable moi je pense que globalement on fera pas pire qu'en réalité le gouvernement s prête à faire sur la question des déficits dans la réalité et nous serons vous verrez capable dans déplais à certains de proposer quelque chose d'homogène dans d'ici la fin de la semaine ça sera une frchess ça sera entre les deux j'ai envie de dire B pardon mais comme comme CREL vient de vous le dire vous aurez euh un chiffrage qui nous sera commun surquel nous sommes en train de travailler ce qui est important dans ce que dit Valérie rabot c'est que dans le bouclage macroéconomique il y a de la croissance il y a la perspective de la soutenabilité de nos finances publiques qui n'est pas aujourd'hui garantie par les choix faits par le gouvernement pardon je suis parlementaire depuis 7 ans je n'ai débattu je n'ai pu voter aucune des trois dernières lois de finances ou lois de financement de la sécurité sociale et moi président de la commission je n'ai même pas pu présider cela une second et je ne sais pas au moment où je vous parle ce que si je peux croire ce que dit le ministre de l'économie et des finances vous l'entendrez tout à l'heure mais il a ces trois dernières années posé sur la table des perspectives de croissance qui n'était pas le consensus des institutions financières internationales ni des économistes donc voilà ce qui m'éreste il sera tout à l'heure je lui poserai la question vous inquiétez pas vous me connaissez là ce que je v on aimerait comprendre ou c'est quelle croissance vous privilégiez et surtout sur enfin sur lequel vous appuyez et puis quelles sont vos perspectives de déficit publ on s'engage sur l'idée que nous allons avoir une croissance plus importante du fait des du fait qu'on est en train de changer en réalité le logiciel de la politique qu' prop en gros on va sur une politique plus de la demande que de l'offre et de la compétitive aujourd'hui et que je vous le rappelle nous nous faisons fort parce qu'en plus c'est nécessaire de faire en sorte que l'État inves dans la bufurcation écologique qui seront autant de marché pour l'économie je rappelle que après la crise des subprime entre 2009 et 2012 si la France n'est pas rentrée en récession avec de deux trimestres consécutifs en dessous de zéro c'est parce que à un moment donné la dépense publique est aussi une recette elle a permis de tenir l'économie donc nous nous faisons fort nous nous faisons fort de faire mieux en terme de croissance c'est une affirmation que nous vous donnons le chiffr exactement on va voir si nous sommes capables de le faire mais dans les grandes lignes dans la TR trajectoire nous pensons que c'est possible et la deuxième chose c'est que nous ne comptons pas sur une une explosion je vous réponds aussi des déficits pour financer ce que nous allons proposer nous croyons plus au fait que développant la croissance ça va faire des rentrées fiscales ça va faire des rentré de cotisation qui vont financer en partie en plus des des des mesures fiscales que nous apprêtons à prendre qui concernent je le rassure qui ne concerne pas 92 % des Français et la grande majorité des chefs d'entreprise c'est pas eux qui seront concerné par les mesures fiscales et nous nous prenons nous considérons que la question du déficit ne sera pas principalement ce qui permettra de financer ça alors est-ce que pour autant on a l'idée de se dire qu'il faut à tout prix être à 3 % si ça a un effet récessif sur l'économie ça c'est des discussions qu'on va avoir il est possible qu'on qu'on réponde non mais ce n'est pas principalement ce qui va financer notre programme d'accord le choc fiscal il sera de combien juste là vous avez mais le le choc fiscal d'abord il faut le dire le cadre fiscal pour les PME c'estàdire pour 90 % des entreprises ça ne change pas d'ailleurs l'essentiel de la fiscalité que nous que nous abordons est sur une fiscalité sur le patrimoine des particulier plus que sur les entreprises mesurez bien une chose parce qu'il faut l'avoir à l'esprit je sais pas combien il y a de milliardaires dans la salle mais en tout cas leur taux d'effort fiscal au titre de l'è est à 2 % voyez c'est-à-dire un taux d'effort fiscal inférieur à la première tranche de l'impôt sur le revenu par ailleurs le le le l'effort fiscal moyen des Français est à 50 %. il est à 27 % chez les milliardaires quand vous regardez les travaux internationaux qui sont sont fait notamment dans le cadre du G20 porté par le Brésil mais aussi par la France dans des négociations internationales quand vous regardez les travaux de l'Observatoire de la fiscalité européennes les travaux de Gabriel zukman pardon mais quand on dit que en France on si nous devions taxer à 1 2 ou 3 % le patrimoine des milliardaires voyez je vous pouvez lever la main les milliardaires je m'excuserai auprès de vous de l'effort que je vous demande de solidarité et du patriotisme économique que je vous demande parce que vous avez bénéficié de nos écoles parce que vous avez bénéficié de nos services publics parce que vous avez bénéficié de nos subventions publiques et que nous sommes dans un moment de redressement national de réarmement productif d'affirmation de notre souverinté et nous le ferons ensemble ce sont des marchés en plus à travers la commande publique c'est aussi la protection contre une mondialisation sans règle et une mondialisation déloyale où nous avons été pendant des années les idiots utiles du village global nous imposant à nous-mêmes des règles coquin ni les Chinois ni les Américains oui mais j'avance pour donner l'esprit de ce que nous faisons oui nous allons recréer de la croissance non nous n'allons pas financer par le déficit pour la simple et bonne raison que nous créons des recettes fiscales nouvelles ce que ne fait aucun des autres aucune des autres offres politiques le la Commission européenne vient de faire le le le reproche extrêmement vif fait au gouvernement d'avoir abandonné 50 milliards d'euros sans contrepartie sans contreparti voilà je le dis et donc on a besoin la réalité qu'est-ce que c'est les classes moyennes payent les impôts des milliardaires qui ne les payent pas mais les PME payent les impôts des multinationales qui ne les payent pas 40 % des résultats des national sont consolidés dans les paradis fiscaux il manque à tous les paysunion européenne 20 % du produit de l'impôt sur les sociétés mais moi je vais vous dire la vérité c'est que avec de la justice fiscale on peut baisser les impôts des PME on peut être à leur côté on peut les protéger Boris V et leur réserver un certain nombre de marché et on pour y revenir sur l'allotissement sur on revenir si on a le temps malheureusement parce que ça ça va très vite et il y a beaucoup de questions à vous poser une question juste revient à l'instant sur sur les salaires une question qui devait être posée la personne peut pas être là donc c'est moi qui veis vous la poser qui est sur l'indexation des salaires qui est l'autre partie vous avez dit augmentation du Smic sur l'indexation des SMIC l'indexation des salaires c'est ce que vous voulez réinstaurer ça avait été abandonné je crois en 1983 non si mes souvenirs sont bons pourquoi est-ce que vous voulez la restaurer sachant que les salaires ils ont plutôt augmenté non les salaires alors le problème c'est que les salaires réels en réalité ils ont baissé en 2002 2223 du fait justement de pas avoir suivi l'inflation la question quand il y a pas d'inflation cette question là euh j'allais dire elle se pose pas quand il y a de l'inflation elle se pose et toute la question c'est de savoir qu'est-ce qui a provoqué l'inflation bon alors il y a les prix de l'énergie au départ nous savons après nous savons après que globalement c'est aussi les marges d'entrepris de certains secteurs d'accord c'est pas les salaires qui ont alimenté l'inflation et si à un moment donné on veut ne pas renier sur le pouvoir d'achat qui je rappelle est la première garantie aussi pour les entreprises de vendre leurs produits et ben il faut que les salariés ne perdent pas de pouvoir d'achat donc cette mesure elle est de bon sens quand l'inflation rebondit alors on on verra bien si si l'inflation se réduit là j'ai il y a eu des des des des échos très optimistes là j'ai vu que elle repartait un petit peu à la hausse tant qu'elle est un certain niveau il faut que les salaires so vous AZ vu comme moi les chiffres de l'INC qui montrent que le pouvoir d'achat il a légèrement augmenté depuis le pouvoir d'achat global moyen voilà mais quandul quand vous retirez il a pas de souci mais quand vous retirez les revenus du patrimoine vous apercevz que ce n'est pas vrai voilà donc ça veut dire que et c'est exactement ce qu'on explique ça veut dire que les grands gagnants en réalité depuis C ans c'est les revues qui se qui ne se traduisent pas en salaire qui ne se traduisent pas comme sont payés la plupart des Français une question très importante sur l'énergie parce que vous l'avez mentionné Boris valallot dans votre allocution tout à l'heure et c'est vrai qu'on a l'impression que cette transition écologique là on en parle plus du tout elle est disparu dans une trappe lors de cette élection élection législative la question elle est posée par au nom du Medef par Christine Gouem pardon si j'ai écorché votre nom bonjour je suis présidente de l'Union française d'électricité et co-présidente de la commission transition écologique et économique du Medef la compétitivité de nos entreprises et la sécurité d'approvisionnement énergétique et les les conflits et les rapports géopolitiques de plus en plus violent montre que ce sujet est un sujet d'importance stratégique la réindustrie réalisation de notre pays aussi vous l'avez évoqué qui est absolument nécessaire requierre exige un mix électrique décarboné et compétitif nous avons besoin d'accélérer le déploiement des énergies renouvelables et nous avons besoin d'énergie d'électricité pilotable du nucléaire de l'hydraulique et nous avons besoin de moderniser nos réseaux donc vous avez dans votre programme un projet de loi énergie climat effectivement qui donnerait une feuille de route stable et prévisible pour les entreprises et pour le secteur de l'électricité allez-vous réouvrir ce débat qui nous a monopolisé pendant 10 ans opposant les EnR et le nucléaire donc quelle est la place du nucléaire dans votre programme puisque vous ne parlez pas du tout du nucléaire dans ce programme que j'ai pu dont j'ai pu prendre connaissance pour la bonne raison c'est qu'on ne touche pas au programme actuel voilà c'est ce que nous nous avons nous sommes entendu d'accord parce qu'on sait que fabiien Rousel n'a pas forcément la même position oui mais je sais on on n pas forcément la même nous nous sommes pour la sortie nucléaire on le sait bon mais là le le le le le mandat que nous donnons c'est de ne pas toucher à au parc actuel de nucléaire et de remettre certainement les décisions pour la suite bah notamment aux élections présidentielles mais je vrais répondree c'est important ce que vous dites pardon les nouveaux pr les 6 pr et les PR qui sont dans les tuyaux si vous me permettez cette expression vous les suspendez mais vous vous inquiétez pas de toute façon là pour l'instant dans les 2 ans à venir ils sont pas en étap fonction mais je voudrais répondre juste à cette question parce que vous l'avez introduit et regardez grand angle par la bifurcation écologique la bifurcation écologique et y compris du coup la planification écologique de notre économie je parle pas de gos plan hein je parle d'une planification qui est plus dans l'esprit de ce qui a pu être fait par de Gaul que dans une économie dirigée elle est au cent de notre programme pourquoi au cent de notre programme c'est que nous revendiquons que nous ne pouvons plus avoir les modes de production et de consommation qui sont les nres actuellement sinon c'est au péril en réalité de l'humanité j'espère ne pas avoir à convaincre ici euh de des gens sur cette nécessité quand nous regardons le rapport Pisan ferry qui était quand même un économiste soutient d'Emmanuel Macron il estime que il faut près de 70 milliards à partir de 2030 d'investissements dont la moitié doivent être des investissements publ on est très loin du compte donc nous ce que nous entendons faire ensemble dans notre programme et nous le disons et c'est pour ça que cette question est centrale parce que moi j'ai coutume de dire que le la dette c'est financière c'est problématique mais enfin la dette écologique par contre là je vous assure que si on la lègue à nos enfants on aura ils n'auront que leurs yeux pour pleurer et elle sera autrement plus mortelle donc nous revendiquons d'avoir un investissement massif pour le rail pour le fret pour les énergies durables pour la pour l'isolation thermique de bannières séquencé ne serait-ce que pour pouvoir permettre au marché d'y faire face on sait que parisolation on peut pas le faire tout de suite si on voulait 700000 la première année on sait qu' on voudrait le faire mais on sait qu'on pourrait pas le faire donc on tient compte de ça mais c'est pour vous répondre que nous le mettons au centre de programme et ça fera marcher l'économie ça créera des emplois et ça remplira vos carnets de commande je juste mauce peut-être sur point là sur la question du nucléaire parce que c'est essentiel vous êtes d'accord avec moi ça va dépendre en fait du résultat des élections législatives savoir si est devant le PS et PC ou si c'est l'inverse et à partir de là vous allez choisir et déterminer votre politique nu je crois que vous êtes dans une forme de caricature on a un mur je vais vous répondre peut-être trop en l'occurrence je va essayer d'être plus subti ENF il faut quand même une réponse oui je je vais je vais le faire d'abord dire que la question de la compétitivité prix de l'énergie est fondamentale pour nos industries et que nous devons aussi voir le fonctionnement du marché de l'énergie tel que nous avons eu à le subir avec vous savez le prix de l'énergie qui était au montant de la dernière unité de production d'une centrale à gaz ce qui a coûté extraordinairement cher aux finances publiques en l'occurrence et j'étais pour que nous puissions instaurer en effet cette espèce de bouclier tarifffaire bénéficiant aux entreprises j'ajoute d'ailleurs que ce sont les députés socialistes avec les collègues du fond populaire qui nous sommes battus pour que pour les PME pour les entreprises de moins de 10 salariés et nous avons réussi à convaincre le gouvernement ils puissent avoir le rétablissement du bouclier tarifaire parce que nous étions interpellé partout dans nos territoires je pense en particulier au boulanger parce que leur four consommai tellement qu'ils étaient obligés de mettre la clé sous la porte donc oui la question de l'énergie est importante et la question de notre souveraineté ég énergétique on le voit avec la guerre en Ukraine les tout autant la priorité pour moi je le dis comme socialiste et c'est un débat que nous aurons non pas pour savoir qui a gagné qui a perdu mais comment nous arriv à la neutralité carbone en 2050 qui ne relève d'aucun programme électoral qui relève de réalité scientifique objective et indépassable la décarbonation avant la dénucléarisation et dans les 6 pr dont nous aurons à discuter le défi est d'ors et déjà considérable et il n'est pas prévu d'arrêter la réflexion et le chantier songez que sur il y a 100000 salariés dans ce secteur il y en a 10000 qui vont partir à la retraite chaque année dans les 10 prochaines années il faut en recruter 10000 chaque année il va falloir recruter 10 % des sortants d'école d'ingénieur pour y parvenir compous so queous est communècunram d'cunet d'aucun parti d'aucun résultat aux élections c'est le réchauffement climatique et tous les investissements que nous ne faisons pas aujourd'hui vous le savez ils sont à faire aucun tuple dans les 10 ans qui viennent c'est maintenant qu'il faut agir et c'est de l'activité pour vos entreprises de fermer un autre non d'accord voilà j'ai ma réponse r nous devons aussi travailler sur la question du Grand carage c'estd de l'extension de la de vie des centrales mais vous savez qu'il y a une part d'Ala parce que nous avons par convention dit que c'était 20 ans de plus mais si nous devions découvrir une fissure sur une cuve et bien c'est un mois de plus et pas et pas autre chose c'est clair une question maintenant sur le temps de travail d'Emmanuel Guichard pour le medf merci Emmanuel Guichard jeis porte-parole de la Fédération des Entreprises de la beauté qui représente les industries cosmétiques en France dans votre programme commun vous proposez de revenir sur les aménagements apportés ces dernières années sur les 35 he et même d'aller plus loin en abaissant la durée de du travail à 32h dans un premier temps pour certains métiers la question est simple comment conciliez-vous baisse du temps de travail augmentation des salaires et augmentation des prélèvement obligatoires pour les entreprises merci d'abord vous dire sauf si ne l'z pas entendu que pour les PME il n'y a pas de prélèvement obligatoirees supplémentaire vous avez même noté que la question des impôts de production n'est pas dans notre projet puisque nous ne le délions pas de la question tout aussi fondamentale du financement des collectivités locales qui font 80 % de l'investissement public en France et que nous ne devons pas désargenter ou amoindrir les capacités d'investissement dans nos territoires partout en France de ces collectivités locales sur la question du du temps du temps de travail au fond la question que nous nous posons c'est celle de d'une expérimentation autour d'une réduction du temps de travail pour les métiers pénibl parce que vous le savez que dans ces métiers pénibles très tôt arrivent des des de de des maladies incapacitantes qui en réalité pèsent sur les entreprises et bien ça nous nous engagerons un dialogue avec vous sur les modalités pour le mettre en œuvre et par ailleurs d'une manière générale je crois que nous aurons une réflexion à voir tous ensemble qu'avit eu Léon Bloom en 1936 qu'avait eu François mitteran en 1981 comment nous articulons le temps libéré avec la question de l'organisation du temps de travail des temps de vie vous savez qu'un certain nombre d'organisations syndicales posent la question des banques du temps ce sont des réflexions que nous nous devons avoir et quand nous vous disons que nous tenons au dialogue social c'est pas ce sera pas pour nous un exercice de style nous avons besoin de ce dialogue nous avons besoin de cette confiance nous avons besoin de vous vous savez la démocratie sociale elle n'est pas moins importante que la démocratie parlementaire et d'ailleurs je je note une chose dans notre programme vous l'AZ remarqué c'est que très rapidement nous ouvrons une conférence sociale sur les salaires avec vous mais également évidemment avec les organisations de travailleurs sur toutes les modalités que nous définissons sont comme des objectifs à atteindre mais que nous ne comment dire nous ne différencions pas de la question d'une conférence sociale autrement dit c'est pas des passages en force maintenant sur le fond je crois que nous avons à nous interroger à partir du moment où alors même si c'est un peu moins vrai depuis un ou 2 ans mais la compétitivité la pardon la productivité des travailleurs augmente oui nous avons à nous interroger à un moment donné sur la question du partage du temps de travail pour que tout le monde travail plutôt que avoir une masse de chômeurs comme nous l'avons aujourd'hui et ça ça se traduit à la fois par le départ à la retraite et à un moment donné par la réduction du temps de travail qui est une vieille revendication de gauche mais la question n'est pas de le faire sans avoir à un moment donné une vue sur sa faisabilité économique et puis et puis par ailleurs je pense que ça n'est pas à dissocier de la question du vieillissement au Travail de l'Emploi des seiors qui sont des sujets qui nous occupent qui nous préoccupent pour lequel nous avons des propositions j'en donne une si vous me permettez parce qu'elle est importante si vous augmentez de 10 % le taux d'emploi des seniors un certain nombre de nos déficits notamment sur les retraites seront comblés c'est ce qu'essaie de faire Emmanuel Macron il y a Bruno demande et puis nous on Essie Essie de faire effectivement il aurait pu la confier au partenaires sociaux qui sont pas moins compétents que lui juste simplement sur le travail des seniors là où il les taux d'emploi très fort comme dans les pays nordiques regardez quelle est la structure de la dépense de formation professionnelle est au bénéfice des plus agés de nos travailleurs pour gérer les transitions professionnelles le le le le les l'accumulation de compétences plus que sur les jeunes nous c'est l'inversion que nous avons fait et qui mène en des difficultés considérables une question on a encore évidemment on pourrait continuer il a la question des retraite si on a temps on dira un mot mais là il y a une question sur l'Europe c'est un point aussi important dont on a pas beaucoup parlé une question pour le meddef d'Alexandre farau bonjour Merci d'être ici alors le le grand test c'est 10 départements quatre pays frontaliers et l'Europe une grosse question avec Strasbourg donc vous dites refuser le pacte de stabilité et les règles budgétaires concrètement ça veut dire quoi sur nos 26 partenaires européens savez-vous qui vous suivra et enfin si vous n'avez pas de majorité cela signifie-t-il que vous souhaitez sortir de la zone euro non mer on souhaite pas sortir de la Z de sortir de la zone euro donc la réponse est claire maintenant il y a une il y a ne pas sortir et à un moment donné ne pas engager j'allais dire un rapport de force pour permettre de de se donner des marges de manœuvre la France c'est la deuxième puissance économique en Europe c'est bientôt le pays qui sera en tout cas le plus peuplé en tout cas le plus peuplé en relation avec avec la jeunesse de sa population donc nous avons un poids et nous aurons des alliés à partir du moment où nous remettrons en question certaines contrainte du budgétaire je vous fais remarquer d'ailleurs que ce gouvernement en réalité le fait c'est-à-dire que dans la loi de programmation des finances publiques il y a d'un côté ce qu' l'affiche et de l'autre côté ce qui sera la réalité des prix et nous savons tous que il ne sera pas à 2,9 % de déficit comme annoncé en 2027 donc là-dessus il y a effectivement quelque chose et nous avons des alliés vous savez il y a pas il y a pas très longtemps l'ancien président de la Banque centrale européenne expliquait que le système qui vise à faire en sorte sorte que la compétitivité se fait toujours quelque part sur le travail le système qui rend incapable l'Europe aujourd'hui de mettre suffisamment sur d'argent sur lespifcation écologique était interrogé vous savez comme moi qu'en Allemagne par exemple il y a un débat aujourd'hui sur le fait de savoir si réellement revenir au au cadre budgétaire contraint qui a été celui de mastrich est quelque chose qui profite à l'économie allemande l'an dernier on s'est tous satisfait du fait que la croissance française a été supérieur à la croissance allemande rappelez-vous les économistes pensaient que elle allit est palette finalement ça été 0,9 %. pourquoi la croissance française a été bien meilleure que la croissance allemande parce que il nous reste un matelas social dans ce pays qui fait que vaille que vaille la consommation populaire résiste un peu mieux que par exemple ça se passe en Allemagne et donc je pense que ces deux modèles sont interrogés on doit être aussi quelque part tout à l'heure toutes les aides de l'État pour dans le covid he Boris oui ou Boris tout à l'heure a parlé de Biden bien euh il faut quand même regarder ce qui se passe ailleurs on a alors je sais les États-Unis ont le dollar ils ont une puissance exorique mais enfin on a quand même sur le principe l'idée que ils ont mis la question des déficits au second rang pour mettre la question de la croissance au premier rang on doit s'interroger là-dessus on est en train de décrocher en Europe au niveau de la croissance donc moi je pense que ça interroge le modèle de compétitivité le modèle d'austérité qui a été la la la marque de l'Union européenne et je crois que là-dedans on aura des alliés si on on pèse si on veut peser ce que je regrette c'est que les gouvernements successifs du pays depuis des années n'ont pas voulu peser donc pour vous dire je crois qu'on peut à la fois desserrer les taux les contraintes sans sortir de l'Union européenne et sortir de la zone euro si je peux juste ajouter un un élément puisque on est là j'ai compris pour vous rassurer les deux seuls gouvernements qui ont réduit les déficits c'est le gouvernement de Lionel Jospin et de François Hollande ce n'est pas celui d'Emmanuel Macron et de je ne sais quel Mozart de de la finance la réalité c'est que tous les objectifs que les uns et les autres sétaient fixés recnaiss qu'il a eu la guerre en Ukraine il a eu la covid donc il a quand même eu de chocs absolument considérables et au début de son quard il avait réussi à réduire les déficits je par ceôle Madame il avait il avait bénéficié de ce qui lui avait été transmis c'estàd une protection sociale excédentaire au moment où il prend ses fonctions un déficit qui avait largement baissé au moment où il prend ses fonctions et évidemment ce que aujourd'hui la Commission européenne reproche c'est précisément le désarmement fiscal sans contrepartie qui n'est pas productif en terme de croissance et d'investissement la critique que nous formulons sur le pacte de de de stabilité tel qu'il a été conçu ça l''est pas au fond le sérieux budgétaire moi j'ai occupé des fonctions que ce soit dans les collectivités locales ou à l'état où je suis très conscient de la situation quand j'étais directeur général des services du Département de saéloire avec Arnaud mbourg il nous a fallu faire des éc économie il nous a fallu aussi augmenter les impôts parce que nous présentons des budgets en équilibre et nous l'avons fait et nous avons même remporté les élections en en l'ayant en l'ayant fait la critique que nous formulons c'est celle de jean-pisaniferi de dire que ces règles automatiques elles vont nous empêcher de financer la transition environnementale et un certain nombre d'investissements et que nous avons besoin dans le rétablissement de nos comptes aussi de créer de la croissance et d'affronter cette bifurcation écologique qui est impérative et que derrière c'est règles sociales et environnemental que nous voulons défendre aux portes de l'Europe à travers un protectionnisme cétait la campagne de rapael gxman vous le savez que j'ai défendu et et soutenu c'est au fond fixer des règles à une mondialisation qui n'en a pas c'est ne pas être dans la main des Chinois pour les panneaux solaires pour les véhicules électrique au moment où nos constructeurs automobiles français font des efforts absolument considérables c'est de ne pas être dans la dépendance du gaz russe ou du pétrole des pays du Golf de ne pas être dans la dépendance de la défense américaine c'est un moment de souveraineté que nous sommes en train de de construire et elle se fera évidemment au plan européen moi je suis un un un Européen ardent depuis toujours mais une Europe qui s'affirme comme une puissance qui se fait respectecter dans ce qu'elle défend parce qu'elle est le plus grand marché du monde une dernière question une question de Pierre Guillet pour les entrepreneurs chrétiens si où est-il le décès il est là il faut juste transmettre un micro et un micro qui marche ce serait encore mieux allez-y allez-y pierre Guillet entrepreneur et président des entrepreneurs et dirigeants chrétiens la subsidiarité est un des principes de la pensée sociale chrétienne que les entrepreneurs et dirigeants chrétiens mettent en œuvre tous les jours dans leurs entreprises la subsidiarité c'est laisser la prise de décision au plus près du terrain la subsidiarité c'est créer les conditions pour que chaque organisation apporte le meilleur d'elle-même la subsidiarité c'est libérer les énergies au bon niveau la subsidarité c'est enfin acceptter de n'intervenir que lorsque c'est vraiment nécessaire aujourd'hui les entrepreneurs eux-mêmes ne sont pas ou peu associés aux décisions qui les concernent cela freine la capacité d'entreprendre c'est exactement l'inverse du principe de subsidiarité pour g la subsidiarité s'appuie sur la confiance dans ses salariés et dans ses partenaires pour l'État ou le législateur la subsidiarité s'appuie sur la confiance dans les entrepreneurs comment comptez-vous agir pour instaurer cette confiance nécessaire à la bonne marche des entreprises merci Réponse vous plongez Eric cocrel dans un Abî de perplexité question je suis désolé mais la question est très philosopque la confiance d'abord pour moi me permettraz de dire que c'est la confiance dans les entrepreneurs mais aussi dans l'entité entreprise j'inclus tous ceux qui produisent aussi les richesses qui sont les salariés en fait d'accord je pense là-dessus d'après ce que vous dites donc j'allais dire que ce dialogue et cette confiance elle doit considérer l'entreprise comme at tout la deuxième chose c'est que confiance oui mais ça n'empêche pas à un moment donné nous le revendiquons de considérer qu'il doit y avoir des lois sociales qui permettent effectivement de réguler le rapport finalement entre le chef d'entreprise et les salariés et c'est quelque chose que nous avons critiqué dans la politique de Monsieur Macron notamment par rapport par exemple au code de travail qui a renversé j'allais dire la prise de décision qui autrefois partait de la loi et après partait vers les branches et les entreprise et qui inversé ça bon donc on peut travailler en confiance c'est pas le sujet mais il faut et l'histoire nous appris dans toute l'histoire sociale de notre pays il faut des lois pour permettre d'encadrer que euh les choses ne se fassent pas n'importe comment c'est aussi une réalité on arrive au terme je fais 15 secondes pour répond ça servira de conclusion alors ah oui bon oui ah oui c'est la conclusion ou la fin la réponse à la question mais c'est pas les deux bon ben je désolé désolé mais on on se on se reparlera vous discuter après simplement pour vous dire que ce que je comprends dans la question et dans un certain nombre d'interpellations qu même he ou c'est le souci d'être écouté d'être entendu et de trouver des espaces de dialogue et de dialogue social nous en prenons l'engagement la crainte qui est la vôtre c'est que au fond il y ait de la justice fiscal et sociale dans les mesures que nous prenons nous avons dit sur le cadre juridique et fiscal des PME qui sont 92% de nos entreprises rien ne va changer et nous serons d'ailleurs à vos côtés pour que la représentation des petites entreprises je sais que c'est une des revendications de lut de paix soit mieux prise en compte c'est une revendication depuis 2019 et depuis 2019 je la soutiens vous enê témoin je sais aussi que il y a des questions liées à la défense de l'indépendance autant que du salariat et le refus du tiers statut nous nous sommes battus contre ce tiers statut qui vous fragilise et nous continuerons de le faire et nous sommes prêts dans le cadre des conférences sociales que nous aurons y compris à interroger le statut des auto-entrepreneurs dont certains souhaitent qu'elle puisse être un trempelin vers l'entrepreneuriat plus classique nous voulons aussi par la commande publique être au côté des entreprises des petites entreprises par l'alotissement intelligent par le le le le la lutte contre la sous-traitance en cascade ce que nous sommes venus vous dire aujourd'hui c'est que nous pouvons faire ensemble que nous créons des recettes fiscales dans la justice pour desserrer les taux qui pèsent sur chacune et chacun d'entre vous par les responsabilités qui sont celles d'ériic coqurel aujourd'hui à l'Assemblée nationale par celles qui sont les miennes depuis longtemps je connais les entreprises et au moment même où nous nous parlons bien que plus député mais encore conseiller départemental je suis en train de me battre avec la BEI qui est en train de lâcher une très grosse entreprise de mon département dans un projet d'investissement nous les voyons tous les jours nos capitaines d'industrie qui ne dorment pas qui prennent des risques personnels qui ne se payent pas parce que c'était l'histoire de mon père pour payer ses salariés et bien nous continuerons demain dans ce même état d'esprit parce que je crois à la réconciliation de ce pays je crois à l'utilité des entreprises dans ce combat qui est le nôtre et je veux vous dire que vous pourrez nous trouver au rendez-vous de ces enjeux merci beaucoup Monsieur Merci Boris Vallot merci Éric cocrel je peux pas je peux pas av laissez-moi 30 secondes juste pour dire quelque chose je pense que je pense que la question du débat je veux pas être démagogique je je pense j'ai dit tout à l'heure je crois qu'ici y compris entre les entreprises patronnales vous n'êtes pas homogène c pas vrai et que oui nous assumons de dire que dans le partage de la plus-value ce qui aujourd'hui pose problème c'est qu'on a beaucoup trop avantagé les revenus j'allais dire la financiarisation d'une société et que très sincèrement cette financiarisation elle se fait au détriment des salariés mais elle se fait au détriment de la très grande majorité des chefs d'entreprise de ce pays il y a d'une manière ou d'une autre il va falloir qu'on rééquilibre les choses et je pense que c'est non pas entre les salariés et tous les chefs d'entreprise mais c'est entre tous ceux qui produisent des richesses dans ce pays et ceux qui regarde avant tout des cours de la bourse qui sont parfois déconnectés par rapport à l'économie réelle merci beaucoup

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